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Né en 1950, Jean Bonnefon est le vétéran du groupe Peiraguda.

Baby-boomer, enfant de Brassens et des Beatles, il a chanté en français et en anglais avant de se découvrir enfant de la culture occitane. Co-fondateur de Peiraguda avec Patrick Salinié et Jean Louis Garrigue en 1977.
Parallèlement, il fait de la radio locale (à France Bleu Périgord qu'il a dirigée entre 1997 et 2004), de la télé locale (à AquiTv, première télévison de pays en 1991), écrit des nouvelles, joue des contes seul ou avec Daniel Chavaroche (Compagnie des Arts Modestes), chante Brassens avec les Peiraguda, préside l'Association Voix du Sud à Astaffort...
Quand on lui dit : « ça part dans tous les sens. » Il répond : « Non, ça fait feu de tout bois ! »
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Patrick Salinié est né à Sarlat dans la nuit du 31 décembre 1955. Il commence à chanter en langue d’Oc en 1974 avec son copain Jean-Louis Garrigue sous l’impulsion notoire de Michel Chadeuil et Joan Pau Verdier. Dans le cadre de leurs enfances sarladaises, Patrick et Jean-Louis côtoient Jean Bonnefon depuis longtemps, notamment au Centre de Loisirs ou au Club des jeunes. Ils créent ensemble Peiraguda en 1977. Patrick Salinié est travailleur social. Investi dans la vie associative et politique, il est élu à Sarlat puis à Saint-André-d'Allas, commune limitrophe dont il est à présent maire adjoint. Il participe de 1991 à 1999, en tant qu’animateur, à l’aventure d’Aqui TV, la télévision du Périgord. Avec Peiraguda et Joan Pau Verdier, il chante Brassens... Auteur de plusieurs ouvrages sur l’histoire locale, il écrit également des nouvelles.
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Peiraguda est un groupe du Périgord fondé en 1978 par Jean Bonnefon, Patrick Salinié et Jean-Louis Garrigue. Le groupe chante exclusivement en occitan et choisit une orientation musicale résolument folk (deux guitares, deux chants, une basse) pour la large majorité de ses chansons.

Les Peiraguda se démarquent à l'époque par le fait de ne pas mettre en avant seulement des textes militants occitans mais également des chansons dites de variété. Ils se font remarquer alors pour leur richesse poétique et la qualité de leurs arrangements harmoniques autour des guitares et des voix, privilégiant les timbres naturels aux compositions électriques, plus en vogue à l'époque.

Séparés en 1988 (notamment pour monter le projet parallèle Bigaròc avec Joan-Pau Verdier), ils se reforment en 2003 et jouent toujours depuis.

Depuis ses débuts, le groupe a suivi une évolution lente, au gré de l'arrivée et du départ de musiciens, toujours autour des duos de base Salinié/Bonnefon et chanson/guitare. On peut compter ainsi plusieurs "périodes" dans la vie du groupe :

-De 1977 et le premier concert de ce groupe alors inconnu mais bien accueilli à Albi jusqu'à 1980 le groupe est un trio résolument folk acoustique, faisant simplement intervenir Gilbert Guillaume à la flûte sur quelques morceaux (il composera Campesino dans le premier disque Leberon).

-De 1980 à 1983, Peiraguda se fait davantage folk-trad, avec notamment l'arrivée de Bernard Gilet à l'accordéon, au violon et à la contrebasse. Il donnera la coloration musicale de l'album Raiç (1980). Sur La dama pijonièra (1982) Peiraguda se dirige davantage vers les chansons traditionnelles, ils y enregistreront également La Perinqueta avec des enfants de Calandreta.

-En 1983, Jean-Louis Garrigue, un des trois fondateurs de Peiraguda, quitte le groupe pour suivre sa carrière de médecin. Autour du duo restant interviennent des musiciens professionnels et reconnus, tels Jean Laguionie à l'accordéon ou au piano (Varsovia), ou encore Jean-Marc Pernon à la guitare électrique, donnant un aspect davantage folk-rock audible en particulier sur le disque De mai en mai. Ce dernier sera à l'origine de la rencontre entre Peiraguda et Francis Cabrel, et de l'amitié, notamment musicale, qui s'ensuivit. Le groupe se sépare finalement en 1988-1989.

-Lorsque Peiraguda se reforme en 2003, on retrouve autour du duo Salinié/Bonnefon le guitariste Jacques Gandon ainsi que le bassiste François Paoli. Ils enregistreront un disque à quatre, Lo temps de la memòria (2004) où Peiraguda reviendra à son folk-chanson occitane souligné de guitares mélodiques.

-Depuis 2003, Peiraguda a changé plusieurs fois de formation, à l'occasion de concerts-événements où ils se produisent aux côtés du Choeur des Hommes du Périgord, de Joan de Nadau, de Marti...

Le groupe est aujourd'hui composé de Jean Bonnefon (guitare, chant, composition), Patrick Salinié (guitare, chant, composition), Jacques Gandon (guitares), Laurent Chopin (batterie), Patrick Descamps (basse) et Thierry Roques (accordéon).

Une bonne partie du groupe Peiraguda participe également à "L'Affaire Brassens", un spectacle musical (en français cette fois) autour du chanteur de Sète.
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Armanac de la Gascougno. - 1906
Sarran, Fernand (1873-1928)
L'Armanac de la Gascougno est une publication périodique annuelle. Chaque numéro comprend un calendrier en occitan et des textes (contes, chansons) principalement issus de la tradition orale. En fin de volume les dates des foires et marchés de toutes les villes du Gers sont mentionnées.
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Professeur oc et son fidèle serviteur Igor tombent en panne de solex-baignoire à Aureille en Provence. Heureusement l'O.R.L Frédéric Mistral est là pour leur venir en aide...
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C'est l'histoire d'un professeur d'occitan qui part à la découverte de l'Occitanie dans son Solex-baignoire accompagné de son fidèle assistant Igor. « Le sein » est tout simplement la version occitane de la naissance de Jésus.
Verdié, Antoine (1779-1820)
Appartient à l’ensemble documentaire : Aquit1
Verdié, Antoine (1779-1820)
Appartient à l’ensemble documentaire : Aquit1
Verdié, Antoine (1779-1820)
Appartient à l’ensemble documentaire : Aquit1
Verdié, Antoine (1779-1820)
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