Nos recherches pour l’édition des poésies de Paul Froment nous ont fait découvrir du même auteur, une douzaine de contes et récits en prose et une variante en vers de chanson populaire, publiés dans le petit journal de Villeneuve Lou Calel, entre les années 1893 et 1895. Nous avons recueilli ces pages ignorées et nous les offrons en toute confiance au public qui a si favorablement accueilli les Poésies complètes. Ces morceaux, d’inspiration diverse, de valeur inégale, écrits parfois un peu vite, échappent toujours à la banalité, et, s’ils n’ajoutent rien à la gloire du poète, ils n’en révéleront pas moins à plus d’un le conteur alerte qu’était ce petit paysan de dix-huit ans. A ce titre, ils méritaient d’être sauvés de l’oubli (extrait de l’Avertissement, édition originale de 1934).
Paul Froment (1875-1898) né à Floressas (Lot), valet de ferme : « pichon païsan », poète et prosateur en langue occitane. Il se noie, à 23 ans, dans le Rhône, alors qu’il fait son service militaire à Lyon, dans des conditions jamais clairement élucidées (« l’humble et charmant poète laboureur, tombé, comme un fils de roi, sous le poignard de quelque assassin stupide » déplorera Frédéric Mistral). Auteur de deux recueils, à l’époque très remarqués, A trabès régos, rimos d’un pitiou paysan, et Flous de Primo, rimos d’un pitchou paisan.
Depuis 1972, son nom illustre un prix de littérature en langue d’oc : Prèmi Pau Froment.
Les contes en occitan sont présentés en graphie occitane classique et dans l’orthographe d’origine de l’auteur.
Les Ivernales de Cabardés, à l'iniciative de l'IEO-Aude et du Service Culturel de Pennautier, vous donnent rendez-vous le vendredi 26 et le samedi 27 janvier pour son édition 2018
L'an dernier, le public avait apprécié les contes sortis du placard par Florant Mercadier. Le conteur revient cette année avec sa création récente : « L'Occitanie pour les nuls ! ». L'objectif de l'artiste est de raconter l'histoire de l’Occitanie, la petite et la grande. Florant Mercadier s’appuie sur la musique, l'humour et une bonne dose de mauvaise foi pour avancer une authenticité certaine qui transformera la vision de chacun sur le passé du pays d'Oc.
Un repas amical, en liaison avec les Ampélofolies du Cabardès aura lieu le samedi 27 janvier à 20 h 30, salle de la Tour.
Le 27/01 à 19:00 - Salle Na Loba
(Spectacle : 5 € ; repas : 15 € ; spectacle et repas : 18 € sur réservation : 04.68.25.19.78 ou ieo11@ieo-oc.org)
IEO-Aude
Ostal Sirventés
ostal.sirventes@wanadoo.fr ; ieo11@ieo-oc.org
04 68 25 19 78
occitan-aude.over-blog.com
Adreiça novèla : IEO-Aude BP 51042 11860-Carcassona Cedex
Las Ivernalas de Cabardés sont organisées par l'IEO-Aude et le Service Culturel de Pennautier, avec le soutien du Conseil Régional Région Occitanie-Pyrénées Méditerranée, du Conseil Départemental de l'Aude, de la Mairie de Pennautier, de l'Office Public pour la Langue Occitane en collaboration avec le Cercle Occitan del País de Carcassona, la Calandreta de Carcassona et les Ampélofolies du Cabardès.
Les Ivernales de Cabardés, à l'iniciative de l'IEO-Aude et du Service Culturel de Pennautier, vous donnent rendez-vous le vendredi 26 et le samedi 27 janvier pour son édition 2018
Ce spectacle pour les plus jeunes, met en présence le curieux Quesaquò et le chercheur Mascomprés, suivis du petit Marchadedins. Tous les trois aiment écouter les histoires du «Chivau drapèu». Face à ce monde coloré de bleu, de vert et d'orange... se trouve un monde tout gris, où règne le Glomi, qui n'aime pas trop les histoires, qui ne veut pas rêver et souhaite tout uniformiser, numéroté, rationalisé … L'affaire se nouera autour d'un caddie multi-fonction ! Un spectacle interprété par Jean-Louis Blénet (auteur du texte) et Yves Durand, qui mettent tous leurs talents de comédiens et de conteurs au service d'une pièce rythmée, drôle et créative.
IEO-Aude
Ostal Sirventés
ostal.sirventes@wanadoo.fr ; ieo11@ieo-oc.org
04 68 25 19 78
occitan-aude.over-blog.com
Adreiça novèla : IEO-Aude BP 51042 11860-Carcassona Cedex
Las Ivernalas de Cabardés sont organisées par l'IEO-Aude et le Service Culturel de Pennautier, avec le soutien du Conseil Régional Région Occitanie-Pyrénées Méditerranée, du Conseil Départemental de l'Aude, de la Mairie de Pennautier, de l'Office Public pour la Langue Occitane en collaboration avec le Cercle Occitan del País de Carcassona, la Calandreta de Carcassona et les Ampélofolies du Cabardès.
C’est un spectacle arc-en-ciel pour reprendre la formule dont Mandela peignit l’Afrique du Sud post-apartheid. Un spectacle fait de théâtre, de musiques, de danses, mais aussi, mais surtout métissé de langues que la mondialisation culturelle menace.
Au début, il y avait un petit garçon qui enregistrait son grand-père quand il parlait une langue pour lui fascinante : l’occitan. La lenga nostra, disait le vieux monsieur. Aujourd’hui, Christophe Rulhes est devenu anthropologue, musicien et, avec l’acrobate, chorégraphe, scénographe, Julien Cassier, co-fondateur du GdRA, cette unique troupe de théâtre toulousaine.
Unique car leur projet ne ressemble à aucun autre. En témoigne cet étrange et vivifiant spectacle évidemment baptisé Lenga. On y voit, on y entend un acrobate de rue de Madagascar (Maheriniaina Pierre Ranaivoson), un initié Xhosa d’Afrique du Sud (Lizio James), un comédien Toulousain, un musicien Occitan jouant de la cabrette et des platines. On y parle un occitan débarrassé de sa gangue folkloriste, on y entend des langues, malgaches, sud-africaines, que le rabot culturel amoindrit chaque jour un peu plus. On y suit, entre Le Cap et Tananarive, les destins de grand-mères qui semblent venir d’un monde en pleine mutation…
Lenga, c’est de l’anthropologie joyeuse.
Durée : 01:40
À partir de 7 ans.
Tarifs : 17€/13€/11€/6€
Sortie Ouest
Détails et billetterie : https://www.sortieouest.fr/saison/spectacle/theatre/lenga.html
C’est un spectacle arc-en-ciel pour reprendre la formule dont Mandela peignit l’Afrique du Sud post-apartheid. Un spectacle fait de théâtre, de musiques, de danses, mais aussi, mais surtout métissé de langues que la mondialisation culturelle menace.
Au début, il y avait un petit garçon qui enregistrait son grand-père quand il parlait une langue pour lui fascinante : l’occitan. La lenga nostra, disait le vieux monsieur. Aujourd’hui, Christophe Rulhes est devenu anthropologue, musicien et, avec l’acrobate, chorégraphe, scénographe, Julien Cassier, co-fondateur du GdRA, cette unique troupe de théâtre toulousaine.
Unique car leur projet ne ressemble à aucun autre. En témoigne cet étrange et vivifiant spectacle évidemment baptisé Lenga. On y voit, on y entend un acrobate de rue de Madagascar (Maheriniaina Pierre Ranaivoson), un initié Xhosa d’Afrique du Sud (Lizio James), un comédien Toulousain, un musicien Occitan jouant de la cabrette et des platines. On y parle un occitan débarrassé de sa gangue folkloriste, on y entend des langues, malgaches, sud-africaines, que le rabot culturel amoindrit chaque jour un peu plus. On y suit, entre Le Cap et Tananarive, les destins de grand-mères qui semblent venir d’un monde en pleine mutation…
Lenga, c’est de l’anthropologie joyeuse.
Un spectacle : GdRA - Christophe Rulhes & Julien Cassier
Durée : 1h40
Dès 7 ans
Spectacle en partie surtitré
Tarifs : 18€ / 16€
Spectacle co-accueilli avec la Ville de Mende
Site, présentation et billetterie : http://www.scenescroisees.fr/LENGA
Les Assortis vous invitent à la chanson d’amour à deux voix!
Le répertoire d’Alibert - Scotto, Boby Lapointe, Brassens, Bourvil, Nougaro, Trenet, de Boum à Un Jour tu verras, du Petit bal de la belle de Mai au Petit bal perdu... vous tend les bras !
Pour s’égayer les oreilles, ils vous proposent de cheminer en chantant en passant par Miette, Magali, Tchi Tchi, Rosalie...
En spectacle, tour à tour chanteur, musicien, à l'orgue de barbarie, à l'accordéon, aux saxophones, flûtes, percussions... Sur scène ou dans la salle, ils évoquent avec humour et tendresse, leur histoire d’amour : la rencontre, le premier rendez-vous, les grandes déclarations, les enfants...
Pour les accompagner le public est de la partie... en chansons, danse, ou pour un petit tour de carrousel …
C’est par l’évocation des fêtes carnavalesques, du bestiaire totémique occitan et du boi brésilien, des animaux de la garrigue et d’Amazonie, des festas juninas et des feux de la Saint Jean que Pife Canto s’adresse aux plus jeunes (de 3 à 12 ans) dans le but de leur se dépatouiller pieds, jambes et bras ! Les oreilles toujours à l’écoute du forró et du balèti.
En grand cercle, petite ronde, chaîne, galop et danses jeux divers, l’énergie du chant et des percussions sur le souffle des flûtes entraîne les jeunes danseurs à la découverte de leur corps et de celui de leur voisins.
Ce bal enfant à été conçu par les cinq musiciens de Pife Canto. Mais afin d’être accessible au plus petites structures il peut être proposé en version modulable (à partir de 3 artistes).
Originaire du bassin méditerranéen, le pois chiche trouve ses racines dans l’Antiquité. Le nom latin de cette légumineuse est « cicer » (prononcer kiker) et Cicéron devait son surnom à la verrue en forme de pois chiche qu’il portait à son nez. La légende raconte que le pois chiche fut implanté dans notre région par les romains (ceux du Pont du Gard) et sa culture connut une vaste expansion sur ce terroir.
La tradition orale et très légèrement romancée parle d’un certain Cireri Montarenum à l’origine de la création du village de Montaren où se déroule la Fête.
S’appuyant sur cette tradition, une joyeuse bande d’allumés réunis dans un Kollectif (avec un K comme Kiker) d’associations décidait de remettre cette légumineuse en lumière par une fête de village joyeuse et déjantée…la fête du pois chiche était née.
Cette légitime consécration et son folklore poischichesque font aujourd’hui partie du petit patrimoine immatériel du village où l’Occitanie trouve toute sa place.
Montaren & Saint Médiers fut alors reconnue comme la Kapitale Internationale du Pois Chiche et héberge le temps d’un week-end une fête à part réunissant concerts, bals, parades, spectacles, Poischicheland ainsi que l’hilarant Musée International du Pois Chiche que Paris, New york et Pekin nous envient !
Sourd-muet et borgne de naissance Pierre Avezard exerce des activités de vacher et de bûcheron dans des fermes du Loiret. Dès 1947 (à 28 ans), il commença la réalisation de son œuvre la plus connue, le « manège de Petit Pierre » à la Coinche, la ferme où il s’installe définitivement.
Nous sommes en présence d’un long poème qui s’écoute, un monologue conté à deux voix où se mêlent la grande histoire et la petite histoire : Pierre Avezard, dit « Petit Pierre » face au monde qui s’emballe : les guerres, les crises, la modernité …Un texte à deux voix, deux langues côte à côte, le français et l’occitan.
Centre culturel René Char de Digne (04)
45, avenue du 8 mai 1945
04000 Digne-les-Bains
Tél. : 04 92 30 87 10
culture@dignelesbains.fr
www.centreculturelrenechar.fr