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"Accordéons diatoniques pour la première, violons pour la seconde, et tout un orchestre à elles deux tant les notes foisonnent, bourdonnent, virevoltent dans des bourrées, scottishs (dont une chantée), mazurkas, sautières, valses, marches et montagnardes du Limousin et de Marche. Energiques en diable mais d'une manière subtile grâce au phrasé, au toucher, aux attaques, au rythme mis dans les mélodies, les musiciennes s'entendent à merveille. Elles ont développé une connivence dynamique, un dialogue qui évolue sans cesse, passant de l'accompagnement rythmique à la mélodie, des secondes voix aux bourdons et aux petites variations qui font tout le plaisir de l'écoute. A écouter autant qu'à danser, en effet !"

- Marc Bauduin, Le canard folk, octobre 2016.
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Catarina Barba Fina est un spectacle en occitan pour tous publics à partir de 3 ans.

PRÉSENTATION

Catarina vit seule dans un décor en noir et blanc. Elle crochète depuis longtemps un service à thé, 
dans l’espoir d’avoir un jour des invités. Ce jour-là, alors qu’elle chante sa solitude et sa mélancolie, elle les voit. Ils sont là, dans le public : grands yeux écarquillés, joues rondes et mains potelées. Elle leur offre le thé bien sûr. Mais au moment d’offrir des gâteaux, il n’en reste qu’un dans la boîte. Qu’à cela ne tienne, elle décide d’en confectionner ! Seulement, il va se passer quelque chose qu’elle n’avait pas prévu : à chaque ingrédient versé dans le récipient, un personnage de son enfance va en surgir. Sa poupée, qui lui ressemble étrangement, son chat, le lièvre, le grillon. Ils vont l’entraîner dans l’univers de son enfance qu’elle avait oublié.
Construit autour de comptines en occitan, le spectacle est accessible à tous, même si l'on ne parle pas la langue. On y découvre des petits personnages tricotés qui évoluent dans un monde coloré de pop up en papier.

ÉQUIPE ARTISTIQUE 

 
Catarina : Patricia Eymard
Manipulation : Laurent Garnier
Lumières et son : Laurence Demars

FICHE TECHNIQUE 

Spectacle clés en main possible, consulter la compagnie. 
Plateau 
6m de large sur 8 m de profondeur
3 porteuses
Pendrollinage en allemande et fond noir
Salle pouvant être mise au noir
Son à fournir 
2 enceintes au lointain à cour et au jardin
1 console à mémoire pouvant recevoir un PC à la face
Lumière à fournir
1 console à mémoire
6 circuits 
1 direct au lointain
3 découpes 1kw
4 PC 1kw dont 2 sur pied
Durée du spectacle : 40 min

CONTACT DIFFUSION 

Cie Léonie Tricote : 13 rue Plaisance, 87260 Saint-Hilaire-Bonneval / leonietricote@laposte.net 
Site internet : cieleonietricote.com
Ostal Azalaìs
Venez découvrir le livre de Claude Assemat : "Belugas d'endacom Mai" (Etincelles pour un ailleurs).
A la médiathèque d'Aussillon, le 9 Mars. Entrée libre

Claude Assémat nous conduit à La Frucharié Haute volontairement détruite par l'homme. Il a mené un remarquable travail d'un point de vue historique et mémorial. C'est un bel hommage rendu aux générations précédentes. Il a su réunir, autour de lui, une petite équipe d'Aussillonnais et de Brespinols qu'il a conduit plusieurs fois sur ce site de la montagne noire.


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Carème de 1931 : pichon seminari Sant Francés Savièr
Estieu, Prosper (1860-1939)
M.B.
Bach, Johann Sebastian (1685-1750)
Séverac, Déodat de (1872-1921)
Libret editat jos l'egida del Pichòt Seminari Sant-Francés-Xavièr de Castèlnòu d'Arri a l'escasença de las celebracions del Carèma 1931.

Conten las datas e los tèmas dels presics de l'Abat Josèp Salvat, e mai doas particions de cants liturgics en occitan : Dius Poderos (Paraulas de Prosper Estieu) e un Cantic Eucharistic (Paraulas de M.D.).
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Le concert « Lengadòc als quatre vents » (Languedoc aux quatre vents) est conçu comme une promenade musicale ayant pour but de présenter cette partie de l’Occitanie, d’ouest en est et du nord au sud, par l’intermédiaire de ses sonorités et rythmes propres : « Fecas » de la haute vallée de l’Aude, complaintes de la Montagne Noire, bourrées lozériennes, airs des joutes sétoises, « caitos » du monde de la Bouvine, « sirventés » des troubadours, avec un hommage à quelques languedociens célèbres, notamment Trenet et Brassens, par l’adaptation en occitan de quelques unes de leurs oeuvres.

Ce tour d’horizon inclut également quelques créations, ainsi qu’un salut aux diverses immigrations qui ont fait aussi le Languedoc, avec la présentation de quelques rythmes venus des deux péninsules italienne et ibérique, mais interprétés aux instruments traditionnels.

Instruments utilisés : Hautbois du bas-Languedoc, cornemuse de la Montagne Noire tarnaise et audoise (craba o bodega), cornemuse du Rouergue et du Gévaudan (cabreta), flûte de pan camarguaise (frestèu), accordéon diatonique, mélodéon, guitare, tamborinet (petit tambour du Bas-Languedoc).
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Biscam Pas avec leur nouvel album Le bal Queb’Oc vous propose un voyage de l'Occitanie au Québec... Une rencontre et un voyage en clin d’oeil au travers des styles musicaux, instruments et des danses de ces deux contrées. Les danses : Contredanse, danse ronde, set carré, valse, quadrille, polka, cercle et cotillon (livrets des chorégraphies pour les danses Québécoises et Acadiennes sur demande). Comment est né le Bal Queb’Oc ? De la rencontre de trois passionnés de musiques à danser, venus d’horizons musicaux différents. Ce CD est né de l’envie de partager cette passion avec les danseurs en dehors des bals et ateliers qu’ils animent...
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ACPPG

Soirée musicale à Auch 



Daunas de còr - polyphonies occitanes 


« Dans la discographie occitane et dans la discographie tout court d’ailleurs, il est des disques qui « resclantisson » :
autrement dit, qui retentissent de façon éclatante. Ces disques-là, quand on les écoute, vous donnent des
petits frissons sur les bras et dans le haut du dos. Ces disques-là vous font s’envoler en un instant. C’est
un peu comme un grand bol d’air frais qui vous remplit les poumons, qui vous remplit
le coeur. » (extrait du blog de VIURE AL PAIS – novembre 2016)

Avec :
Laurence Bénac, Nadèta Carita, Mimi
David, Emilie Manescau, Valérie Vedère

Suivi de :

Bal la Sonsoni 

Groupe catalan de la région de la Seu d'Urgel, qui joue un répertoire basé sur les chansons, musiques et danses de « l’Alt Pirineu », que le groupe adapte en fonction des occasions : concert, accompagnement musical ou bal avec des danses collectives et des danses de couple.

Avec:
Erika Weigand, Mariona del Carmen, Elies Porter, Pep Lizandra


Informations pratiques :

Tarifs : Entrée générale 10 € - Tarif réduit 8€ - gratuit pour les moins de 12 ans
Renseignements, contacts : ACPPG - 05 62 65 61 94
acppg.org – acppg@laposte.net




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Danís Chapduelh
Chronique écrite à la suite du concert du groupe Asondar a l'Ostal d'Occitània (Toulouse), le 23/02/2017.

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(photo Ostal d'Occitània / La Topina)

Asondar : inonder. Mot à mot « recouvrir par les ondes », avec toutes les acceptions du terme. Ou bien « se déverser » : le trop-plein d'un cours d'eau, ses débordements, ses emportements, comme ceux d'une culture trop riche. Nos oreilles pourront y entendre aussi « Al son d'ara », au son et au diapason d'aujourd'hui, et elles ne s'y tromperont pas tant le groupe Asondar ressemble à son époque. Avec seulement 4 musiciens Asondar nous fait déjà faire un bon demi-tour de planète : Bretagne, Corse, Turquie, et bien sûr Occitanie, sans doute le point de rencontre de tout ce petit monde. Derrière l'apparente jeunesse du quatuor apparaissent les voyages personnels de chacun : il s'agit de Dupain, Du Bartàs, la Kreiz Breizh Akademi et Erik Marchand, Laf Duo, Bayati, Jacky Molard, Bijan Chemirani ou encore Carlo Rizzo, autant de références de prestige qui placent la musique d'Asondar dans ce nouveau paysage des musiques traditionnelles débarrassées d'une certaine tradition, mais profondément ancrées, terrestres, ethniques. La liberté du jazz, de l'improvisation, le dialogue à quatre : Asondar permet à chacune de ses composantes d'exprimer son plein potentiel au service du collectif, dans un jeu permanent où chacun va tirer l'autre vers ce qui lui est propre et cher, pour l'offrir au partage.
Le flûtiste Gurvant le Gac est à l'image du groupe : semblant être fait du même bois que ses instruments, il garde les pieds accrochés au sol alors que tout le haut de son corps se meut, ondule et s'élève lentement sans jamais quitter sa place. Oscillant entre la terre et le ciel, sa musique jaillit continuellement. On y voit là des traces de la Sòrga de Dupain (2015), groupe que Gurvant le Gac rejoignit pour développer ce répertoire : la même force brute et sensible, ce même folk progressif entêtant.
Thomas Lippens, le percussionniste « maison », suit les envolées mélodiques : rodé aux danses exaltées et exaltantes de la Méditerrannée (farandole, tarantelles...) il sait marquer d'un coup de cymbale résonnant tel un gong le début de la transe, lorsqu'après s'être cherchés, reconnus, jaugés, les musiciens s'emportent vers d'autres hauteurs dans un tourbillon qui retombera plus tard, plus loin, lent et calme.
Une force puis un calme maintenus et soulignés à demi-voix par Pauline Willerval. A demi-voix et à demi-violoncelle, les deux se rejoignant souvent : on sait la ressemblance du son de l'instrument avec celui de l'organe humain. Avec le bruit de certains éléments naturels aussi, et la musicienne passera régulièrement de la rythmique de cordes à la douceur mélodico-mélancolique de la gadulka, une vielle à archet bulgare, colorant l'ensemble d'airs turcs, des Balkans ou du bassin méditerranéen.
Au cœur du groupe et du projet, Titouan Billon, musicien poly-instrumentiste qui n'use ici que de sa voix, tout à la fois jeune et incroyablement forte et assurée, et que l'on avait déjà pu apprécier dans Du Bartàs ou encore Lo Barrut. De son expérience poético-polyphonique, il en a gardé l'amour pour les mots de Léon Cordes, surtout ceux de la terre, qu'il se plaît à chanter, déclamer, lancer à la volée. Ce sont eux qui « asondan » régulièrement le concert, en constituent le cœur, avec d'autres, de traditionnels revisités, voire recréés.
Folk progressif, jazz digressif, avec une base traditionnelle très assurée, à tel point que les musiciens finissent par redécouvrir, presque à leur insu, des liens cachés entre les répertoires et apprennent petit à petit à les exploiter et les porter en commun avec des spécificités qui ne sont à aucun moment des différences.
L'ensemble, pas si hétéroclite, prend le temps de se construire, de se créer sous nos yeux et dans nos oreilles à force de boucles rythmiques et mélodiques d'où s'échappent par à-coups des petites improvisations et variations personnelles. Asondar progresse par vagues, frêles mais sûres, un va-et-vient constant qui donne l'impression d'à peine nous effleurer alors même que nous sommes déjà, sans l'avoir senti venir,...asondats.

Asondar sort de résidence de création au Chantier à Correns (Centre de création des nouvelles musiques traditionnelles & musiques du monde) et font partie du Collectif marseillais FeM, qui devrait livrer d'autres surprises et créations de haute volée dans les années à venir.
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Les almanachs occitans
CIRDÒC-Mediatèca occitana
La fin del sègle XIX vei se multiplicar los almanacs en lenga d’òc sus l’ensems del territòri occitan. Publicacion periodica annadièra contenent un calendièr, d’entresenhas astronomicas, meteorologicas e practicas (datas de fièras e mercats per exemple), l’almanac es un mèdia popular per excelléncia. Serà lo biais ideal per far dintrar la lenga dins totes los fogals, dins totes los mitans, mai que mai lo mond rural, e tocar un public dels largs.

[imatge id=13365]Lo primièr almanac entièirament redigit en occitan es l’Armana prouvençau, publicat a comptar de 1855 pel Felibritge jos la direccion de Frederic Mistral. D’aquela data fins a la debuta del sègle XX, desenas de publicacions van eissamar dins Occitània tota e participar a la renaissença de la lenga. Per ne citar pas que d’unes, en Gasconha : l’Armanac bourdelés (1869), l’Armanac gascoun (1873), puèi l’Almanac de la Gascougno (1898), en Auvèrnha : l'Olmonat d'Oubèrgno (1895), l'Armanac d'Auvernha (1931), en Lemosin : L'Annada lemouzina (1895), en Lengadòc : l'Armagna cevenòu (1874), l'Armana de Lengadò (1876), l'Armanac mount-pelieirenc (1893), l'Almanac illustrat de Toulouso (1904), l'Almanac narbounes (1913), en Vivarés : L'Ormogna d'éi Féçouyrié (1886) e en Provença : Lou Franc Prouvençau (1873), l'Armana marsihés (1889), Lou Bartavèu (1902), l'Armanac niçart (1903).

[imatge id=13368]Totes aqueles almanacs an assegurat una difusion larga de la lenga occitana. D’un punt de vista linguistic s’i pòt seguir l’evolucion de la grafia dins los diferents dialèctes e los debats intèrnes qu’aquel subjècte soslèva sovent dins lo mitan. Lor interès etnografic es tanben pro important, la màger part de las publicacions presentan de tèxtes eiretats de la tradicion orala e del folclòre local, transmés a còps per los quites legeires que participan atal a la collècta e a la reconeissença del patrimòni.
La literatura publicada dins aqueles recuèlhs es estada sovent criticada car jutjada tròp populara. D’unas d’aquelas publicacions durèron gaire, d’autras existisson encara, una pichòta desena d’almanacs occitans contunhan de paréisser a l’ora d’ara.
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Luc Vinciguerra
Luc Vinciguerra
Conta'm
Il était une fois, un petit, tout petit chevalier qui parcourait le vaste monde en compagnie de Grosbec, son fidèle cuisinier et Picanier, le fou du roi. Vaillant, tolérant et curieux, Pepin Trespomas trouvera toujours la solution aux problèmes que rencontreront les trois amis.

Avec les voix de Ives Durand, Laurenç Labadia, Pèir Arnaut Grosclaude–Lapléchère, Caroline Dufau, Cecila Chapduelh, Olivier Pijasson, Monica Burg, Guilhem Surpas, Emilie Esquerré, Violette labadie, Philippe Neyrat, Eliane Tourtet, Marie-Hélène Peyresaubes, Jòrdi Besombes.
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