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L'album Transrural Beat est issu de la rencontre entre l'Art à Tatouille et le chanteur de Regg'lyss, Roland Ramade, qui viendra apporter au groupe ses textes finement ciselés. L'Art à Tatouille se fait davantage électro-acoustique, avec l'arrivée de samples, percussions, et toujorus des isntruments traditionnels.

Sur cet album figure la Chanson des Cigales, sortie en single 2 ans plus tôt, et qui eut un certain succès.
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Le premier CD de l'Art à Tatouille, Petitjean comprend des morceaux traditionnels occitans arrangés et des compositions personnelles, et fut accompagné d’une tournée ou se mélange bal populaire et arts du cirque.
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Musique traditionnelle à danser de haute et basse auvergne. Musique composée de mélodies extraites des collectages ainsi que de créations des différents musiciens. La musique de l'Armoire Bleue est pétrie de sons et des couleurs du Massif Central. Elle est marquée par la poésie de sa culture et porte en elle l'énergie caractéristique des musiques à danser. Ces trois musiciens offrent un bal ancré, cadencé et puissant où les bourrées grondent et roulent.
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Clémence débute le violon en 1997 au conservatoire de Clermont-Ferrand. Bercée par les musiques traditionnelles, elle débute très tôt la pratique en bœuf et en bal au sein de l’association « les Brayauds ». En 2004 « Komred » se forme, 5 jeunes brayauds qui prennent pour base le répertoire traditionnel auvergnat avec comme danse maîtresse la bourrée à 3 temps. Elle jouera par la suite avec « L’armoire bleue », trio de musique d’Auvergne colorée des cultures arabo-andalouse ou yiddish. En 2008, à la suite de deux heureuses rencontres, naissent les Poufs à cordes (duo violon violoncelle pour un bal auvergnolimousinoaphrodisiaque) et LamZé (duo harmonica violon, musique à danser d’Auvergne et de Gascogne). En février 2009 Komred enregistre son premier disque (« Komred, Musiques d’Auvergne »). Enfin, en mars 2009 Clémence rejoint Babayaga et enregistre dans la foulée 2 pistes sur leur CD. En mai elle obtient son DEM de violon au conservatoire. Pendant l’été elle joue dans divers festival de musiques, notamment celui de St Chartier au château d’Ars, où les Poufs à cordes sont lauréates du concours des maîtres sonneurs dans la catégorie « petites formations ».

Elle travaille depuis 2013 avec la Compagnie l’Auvergne Imaginée et elle intègre l’Orchestre Symphonique des Dômes en 2015.

Elle est titulaire des Diplômes d’Etat de Professeur de violon et de Professeur de musiques traditionnelles depuis 2013.

Passionnée par les musiques et danses traditionnelles, elle continue aujourd’hui de les pratiquer et elle commence à les enseigner, à les transmettre, en donnant des cours, ou des stages, ou à l’occasion de master class.

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La Clica Dròna balance et fait sonner le bourdon. Expérimentation d’une musique à danser ancrée, tantôt sauvage ou apprivoisée, elle évolue sur les pas des passeurs gascons engagés. Voici un groupe à la pointe de l'archaïsme, ancré dans l'expérimentation, qui mêle boha, vielle, tountoun, voix, effets, bourdons, Gascogne et Quercy pour fabriquer un son brut et dense. Imaginez un parquet de bal recouvert de sève de pin sur une zone sismique pendant une éruption volcanique. Ou encore un couple virevoltant au son d'un orchestre de cors de chasse pendant le naufrage d'un paquebot gigantesque. Après trois ans d'aventure Drònesca et un premier album en 2013, notre petite abeille (Adeline Quentin) s'envole vers de nouveaux horizons et nos trois bourdons continuent leur chemin, bourdonnant brut et dense sur un nouveau disque: Op.dus !
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Un trio gastronomique des familles, on les inviterait bien à notre table. Ici on aime le bon goût, tout ce qui a du goût, même les petits bouts, même surtout les tout petits bouts. Tripoux vous ambiance le bal “sauce occitane”, avec bourrées d’Ariège, bourrées d’Auvergne, branles et sauts béarnais, rondèus et congòs de Gascogne, rondes du Quercy, branlons… ainsi que vos paso-doble préférés, marches, marzurkas, polkas, scottishes et autres valses. Increvables, inoxydables, inépuisables, les Tripoux vous embringuent dans plus de 3h de bal.
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Ayant vécu en Egypte les cinq premières années de sa vie, les timbres des mizmars (hautbois égyptiens) et des arghûls (cornemuses primitives sans poche) des Musiciens du Nil, lui ont laissé des empreintes sonores indélébiles, réveillées plus tard par les cornemuses et hautbois populaires. De quoi faire de lui un timbré du timbre. Il y avait aussi une cassette de Fela Anikulapo Kuti, écoutée en boucle, et plus tard vers l’âge de douze ans, John Coltrane, qui fût une révélation. Le saxophone s’est imposé alors, laissant le piano qui l’avait accompagné jusque là.

Un cheminement musical très diversifié : jazz, musique des Balkans, funk, musique concrète, rock alternatif et progressif, chanson française, hip-hop, musiques de films, musique mandingue, musique médiévale et Renaissance, musiques traditionnelles d’Occitanie, du Centre-France, d’Alsace, de Bretagne, d’Espagne, d’Italie, Bulgarie, Suède, Grèce… Il vit de la musique depuis 2009 avec différentes formations durables et éphémères (Tripoux, Total Ferum, DuoBois, La Petite Flambe, la Vespa Cougourdon Ourchestra, Attentat Fanfare, Branca bodegaires, Iridium, la Horde des hautbois… ). Il s’est spécialisé dans les cornemuses et hautbois populaires occitans, qu’il enseigne au Centre Occitan des Musiques et Danses Traditionnelles de Toulouse.

Diplômes et expériences en vrac : Enfant acteur de cinéma ; diplômé de l’école des Arts décoratifs de Strasbourg ; formé à la musicothérapie au CIM à Aix en Provence, pour poser un autre regard, une autre oreille sur la musique, sur l’humain ; réceptionniste dans un camping naturiste de la Drôme ; titulaire du DEM de musiques traditionnelles, promo 2015 avec Xavier Vidal ; vendangeur en Champagne ; collectionneur de perruques et déguisements ; compositeur pour des films d’animation et spectacles de marionnettes, à partir de sons d’objets, de jouets, de matériaux… etc.

En juillet 2016, il sort son premier album solo chez l’AEPEM : “Quand la craba crabidarà” à base de bodega/craba, cornemuse de la Montagne Noire et du Lauragais.

Solo

Seul en scène accompagné de ses multiples instruments, Maxence propose plusieurs formules pour grands, enfants, animaux, plantes… et façonne des moments musicaux de découverte ou d’approfondissement, de rencontre et d’échange, autour des cornemuses et hautbois populaires.
En concert, bal ou conférence gesticulée, en initiation à la facture d’anches sculptées, ou encore, pleins feux sur la craba/bodega, la cornemuse de la Montagne Noire et du Lauragais à laquelle est consacré l’album “Quand la craba crabidarà”… le musicien-pédagogue s’adapte à la demande, pour faire de chaque présentation un beau moment de musique partagée.

Stages

Maxence donne des cours d’aboès, hautbois ariégeois du Couserans au Conservatoire Occitan de Toulouse les jeudi à 18h ainsi qu’à domicile.

À la demande, Maxence donne également des stages de pratique de craba/bodega et de hautbois populaires en abordant la respiration, la posture, l’écoute, le réglage de l’instrument, les ornementations et du répertoire transmis de manière orale.

Pour celles et ceux qui souhaiteraient apprendre à fabriquer ou se perfectionner dans la fabrique des anches, Maxence propose deux formules :

–anches montées sur tubes pour l’autboi du Languedoc, le hautbois de Vahourle, le graile des Monts de Lacaune, l’aboès d’Ariège, et le clarin de Bigorre.

-anches dites “creusées” ou “sculptées” pour la craba/bodega, le graile des Monts de Lacaune et l’aboès d’Ariège.

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Jean Alambre né le 16 mai 1946 à Paris Butte Montmartre, est un écrivain et un auteur compositeur, membre de la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de Musique (SACEM). Il vit aujourd’hui en Limousin.

Après une enfance et une adolescence vécues à Paris, rue Championnet, dans le XVIIIe arrondissement, Jean Alambre garde la nostalgie et les souvenirs des « Années 50 », c’est à dire la marque et le petit goût d’allumettes suédoises superbement décrits par Robert Sabatier ; c’est le temps des caramels à 1 franc, des roudoudous, des mistrals gagnants merveilleusement chantés par Renaud ; c’est l’immédiat après-guerre et l’on peut encore voir les traces des derniers bombardements de 1944 sur les boulevards des Maréchaux, entre les Puces de Saint-Ouen et la Porte de La Chapelle.

La seconde facette de l’enfance de Jean Alambre sera la Corrèze, berceau de ses aïeux. On la retrouve dans la plupart de ses romans, comme dans ses chansons. Ce département et la région limousine sont pour lui une seconde matrice culturelle. C’est dans cette logique qu’il deviendra véritablement un écrivain régionaliste français amoureux de ce septentrion occitan.

Journaliste à Limoges de 1971 à 1989, après avoir quitté Paris en 1969, Jean Alambre, n’a qu’un modeste pas à franchir pour passer le gué séparant chanson et écriture. C’est ce qu’il fait à partir de 1995. On lui doit ainsi en 2003 Le Petit Vin paillé de la Défense ; en 2004 Souvenirs d’école, des écrivains racontent (ouvrage collectif) aux Éditions des Monédières ; en 2005 Chemins d’octobre, Éditions Les 3 Epis ; en 2007 : Chansons/Je connais un arbre (Intégrale de ses textes chantés depuis 1966) aux Éditions Le Bruit des Autres ; en 2007, il collabore à Corrèze par Monts et par Mots/Paroles d’auteurs corréziens (photographies Pascal Rabot), avec les Éditions Mines de Rien ; en 2008 : Les Souffleurs d’Etoiles – Roman historique, publié aux Éditions Lucien Souny, qui ramène au cœur de la Corrèze du XVIIIe siècle, dans la vicomté de Turenne, et met en scène une farouche poche de résistance au pouvoir du Roi Soleil. Ce livre se voit décerner le Prix Panazô en 2009. Pour le théâtre, Jean Alambre a également écrit La revanche de Dédale en 2009.

Côté discographie, on retiendra De Chalusset à Ventadour ( 33 tours) en 1971 et les albums Réfrac… Terre d’Oc en 2006 et Estivances en 2009.

Jean Alambre s’est produit en région parisienne dès 1966, notamment aux Relais de la Chanson Française ; en 1967 au Petit Conservatoire de la Chanson de Mireille (ORTF) et dans plusieurs cabarets : Le Mikado, L’Ecluse, La Contrescarpe…(Paris). Lauréat du « Diapason d’Or de la Chanson Vivante » (ORTF) au Festival national de Cognac (Charente) en 1970, il participe en 1976 au Festival International de Confolens (Charente) et met en scène, la même année, le spectacle Le Massacre des Primevères, au Petit Théâtre de La Visitation de Limoges, en tant qu’invité du Centre Théâtral du Limousin dirigé à cette époque par Jean-Pierre Larruy ; en 1978, il est sur scène à la Fête de l’Humanité, en première partie du groupe Tri Yann (La Courneuve). Plus tard, on retrouve Jean Alambre, en 2003 au Festival Régional des Étangs Scènes et Cultures (Corrèze), en 2005 au Festival URBAKA (Limoges), 2006 au Festival aux Champs (Chanteix, Corrèze) ; en 2007 et 2008, il anime plusieurs soirées du bar-cabaret « Le Gousset » (Limoges), en 2009, la ville d’Uzerche (Corrèze) l’accueille en concert et, en 2010, le poète Matthias Vincenot le programme dans le cadre de son festival Déc’Ouvrir de Concèze (Corrèze). Une très belle consécration pour un parcours que les modes de l’éphémère ne sont jamais parvenues à interrompre.

Auteur, compositeur, interprète

Habité par les mots et la musique, qu’il fait couler d’une façon unique et poignante, Jean Alambre aborde la chanson franco-occitane dans son expression la plus pure. Avec chaleur et sobriété, il charme de sa voix exceptionnelle, interprétant les chansons qu’il écrit et compose depuis plus de 40 ans et qui lui valurent un « Diapason d’or de la Chanson Vivante » dès 1970. 
Parolier de qualité, héritier des Brassens, Brel, Ferrat, Ferré ou Mouloudji, il n’a cessé de porter ses rages, jusqu’à être « ignoré » sur bon nombre d’ondes et dans bien des médias, y compris ceux de sa région limousine. Ses chansons n’en ont que plus de force. Pour ce « troubadour barde », le travail d’écriture et d’interprétation prend toute sa dimension en spectacle.

Sur scène et sur ses albums, Jean Alambre est entouré de musiciens au talent exceptionnel : Gilles Puyfagès (accordéon), Jérémie Astor (contrebasse/violoncelle), Jean-Marc Lajudie, Julien Soleilhavoup (batteries), Eléonore Roiffé (violon), Chris Dair (guitares), Philippe Destrem, Luc Vaillant, Jean-Michel Ponty (cornemuses, flûtes, vielles à roues)… pour n’en citer que quelques-uns.

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En totale rupture avec le premier (Le Bal des vendanges, Phonothèque Méditerranéenne), La Nueit e lo jorn est plus que jamais "dansable", bourré d'arrangements, et plein de surprises agréables, comme par exemple deux morceaux enregistrés en public à Sommières pendant les trad'Hivernales 2008, ou encore le duo de hautbois Florence Garau/Laurent Audemar (Une Anche passe) sur les Bourrées Sarrazines de Bernard Connac...
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Premier petit tour de la fanfare de poche en studio, mélodies entraînantes et colorées...Bon voyage !
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