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Camina que caminaràs : al davant dels estatjants de Lodevés-Larzac
Brees, Aimé

Primièra partida d'une emission realizada al micrò-caminaire en 2009, al près d'una quinzena de personas en país Lodevès-Larzac.

Nos racontan lor vida, a travèrs lor descobèrta de la lenga occitana, los provèrbis, los sovenirs d'escòla, los jòcs, cançons e enfin, lor relacion actuala a la lenga.

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Lo Ramelet moundi de Pèire Godolin (1617)
Goudelin, Pierre (1580-1649)

Le document est disponible sur Rosalis, Bibliothèque patrimoniale de Toulouse

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Description physique de l'exemplaire

Titre gr.s.c. aux armes d'Adrien de Monluc

Epître dédicatoire adressée à Adrien de Monluc

Bandeaux, lettres ornées gr.s.b.

Privilège royal daté du 14 janvier 1615

Achevé d'imprimer daté du 4 novembre 1617

Etiquette de la librairie Maisonneuve et Cie à Paris (contreplat)

Reliure veau fauve18e s., dos doré à cinq nerfs, gardes couleurs doubles, tranches peintes

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Montaigne Occitan / Fausta Garavini
Garavini, Fausta
Fausta Garavini est docteure en littérature française et occitane, traductrice et écrivaine italienne.

Née à Bologne, elle a fait une grande partie de sa carrière d'enseignante-chercheuse à la Faculté des Lettres de Florence. Fausta Garavini joua un rôle important à la fin des années 1960 pour le renouveau des études occitanes en Italie avec la publication de sa thèse consacrée à la renaissance littéraire occitane, L’Empèri dóu Soulèu, puis, en 1970, de La letteratura occitanica moderna.

Fausta Garavini a fait don de ses archives de travail et de sa bibliothèque d'études occitanes au CIRDÒC-Mediatèca occitana, complétant le legs de Robert Lafont, personnalité majeure de la modernité littéraire et scientifique occitane, avec qui elle partagea sa vie.
Fausta Garavini est également spécialiste de l’œuvre de Michel de Montaigne, dont elle a réalisé la traduction italienne de référence.

En avril 2013, Fausta Garavini était invitée par l'Université de Toulouse-II Le Mirail à donner une conférence consacrée à la langue occitane chez Michel de Montaigne. L'article publié ici est issu de cette conférence qui est également visible sur Occitanica  et le  site de l'université Jean Jaurès : ici.

Notes et références

Fausta Garavini, L'empèri dóu soulèu : la ragione dialettale nella Francia d'oc, Milano,Napoli, Riccardo Ricciardi, 1967.
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Mots recueillis par Rochegude chez des auteurs languedociens et gascons

Recueil de mots issus des productions littéraires de différents auteurs.

"Ancienne collection Frix Taillade. Achat à sa fille 1906/1907"

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Lo Congrès permanent de la lenga occitana
CIRDÒC-Mediatèca occitana
Né le 16 décembre 2011, le Congrès Permanent de la Langue Occitane a pour objet de gérer et de socialiser les formes stables de la langue occitane d’aujourd’hui et de fournir les outils linguistiques indispensables à une transmission efficace en direction des jeunes générations. Il s’est doté d’un Conseil linguistique chargé de la recherche scientifique appliquée et de la création d’outils linguistiques de référence.

Lo Congrès regroupe toutes les grandes associations qui défendent la culture et la langue occitanes et s’est donné les moyens d’être représentatif de la plus grande partie des locuteurs actuels de cette langue millénaire. Ce faisant, il s’est doté d’une légitimité qui lui permet d’organiser le plus largement possible une régulation linguistique explicite.Cette institution structurante, et si nouvelle de par sa conception pour l’occitan, s’inscrit pleinement dans l’esprit et la lettre de la Charte de coopération inter-régionale et transfrontalière de développement de la langue occitane, signée en décembre dernier par différentes régions. Organisme indépendant, solidement étayé au niveau scientifique, le Congrès Permanent de la langue Occitane est le fruit des travaux et consultations menées pendant deux années par l’APORLOC (Association de préfiguration de l’organisme de régulation de la langue d’oc). Il fédère les énergies et rassemble les bonnes volontés afin de contribuer à stabiliser et surtout à sécuriser les locuteurs et les scripteurs de langue occitane en régulant les choix à faire à partir d’un solide travail scientifique prolongé par un effort pédagogique et de communication. Soutenu par un large collectif de régions parmi celles qui sont concernées par la langue occitane, le Congrès Permanent comprend l’institution publique qu’est le CIRDÒC et la plupart des associations historiques de promotion de la langue occitane. Le Congrès Permanent de la Langue Occitane a également ouvert ses travaux, à titre consultatif, à des représentants de l’État français (Ministère de la Culture et de la Communication, Délégation générale de la langue française et aux langues de France) et aux partenaires des vallées occitanes d’Italie ou du Val d’Aran.

Afin de mener à bien les missions qui lui sont confiées, le Congrès Permanent dispose au quotidien, d’une association gestionnaire et d’un bureau administratif. Il s’appuie sur deux conseils assesseurs: le Conseil linguistique et le Conseil des usagers. Ce dernier est composé de délégués des associations et se compose de « transmetteurs » (regents, professeurs, formateurs) et d’usagers ayant une parole publique (médias, auteurs etc…).
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Cossí se ditz : « coquille Saint-Jacques » en occitan ? Comment dit on « coquille Saint-Jacques » en occitan ?
Centre interrégional de développement de l'occitan (Béziers, Hérault)

Sommaire

1. Un symbole sacré
2. Vocabulaire et expressions en occitan
3. Pour en savoir plus : bibliographie sélective

La coquille Saint-Jacques (pecten maximus de son nom savant, donné par le naturaliste Linné au XVIIIe siècle) est un coquillage de l'Atlantique Nord. En France, c'est sur les littoraux bretons, normands et du Nord-Pas-de-Calais que la production en est la plus importante. Associée au pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle, la coquille est également le symbole du Mont-Saint-Michel, comme en témoignent les nombreuses coquilles figurant sur les parures et vêtements des chevaliers de l'ordre de Saint-Michel dans les représentations du XVe siècle (voir ci-contre). La Méditerranée a aussi sa coquille : le pecten jacobaeus (qui doit justement son nom à saint Jacques), petite sœur de la véritable « grande coquille » . 

1) Un symbole sacré 

Dans l'Antiquité

Dès l'Antiquité, la coquille Saint-Jacques est un symbole de fécondité, qu'on retrouve notamment associé à la déesse Aphrodite (chez les Grecs) ou Vénus (chez les Romains). Aphrodite / Vénus est née de l'écume, selon Hésiode ; le motif de la coquille géante enfantant la déesse apparaît plus tardivement. On le trouve par exemple dans la célèbre fresque, datée du IIIe siècle, de la Maison de Vénus à la coquille à Pompéi (voir ci-dessous).

Copie de la "Vénus anadyomène" de Pompéi / Source : Wikimedia


Un symbole de piété chrétienne

Assez naturellement, la coquille est adoptée par les chrétiens comme symbole de résurrection. Elle constitue un motif d'ornementation très courant des édifices et du mobilier religieux, mais c'est avec l'extraordinaire développement du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle, à partir du XIe siècle, qu'elle devient un emblème religieux majeur de l'Occident chrétien. Pendue à leur cou ou cousue sur leurs vêtements et chapeaux, elle représente un signe distinctif permettant aux pèlerins de Saint-Jacques qui sillonnent la France et l’Espagne de se désaltérer, de se nourrir et de mendier durant leur périple. La coquille devient dès lors un symbole de grande piété. On la retrouve sur les blasons des cités et les armoiries des croisés.  C'est à cette période qu'elle devient « coquille Saint-Jacques ».

Les premières mentions de la coquille comme attribut du pèlerin de Saint-Jacques figurent dans le Codex calixtinus et suggèrent que la tradition remonterait au XIe siècle. L'auteur du sermon du « Veneranda dies » fait de la coquille en forme de mains ouvertes un symbole des bonnes œuvres. Il indique plusieurs noms donnés par les pélerins à ces coquillages que l'on trouve sur le littoral de Saint-Jacques-de-Compostelle : « veras » ou « vieiras », appellation locale encore en usage en galicien aujourd'hui ; « crusillas » en français ; « nidulas » pour les « Provençaux » (terme désignant tous les pèlerins de langue d'oc, pas seulement ceux issus de la Provence moderne). Nous n'avons pas trouvé d'autres occurrences du terme « nidulas » évoqué par l'auteur du sermon.  

2) Vocabulaire et expressions en occitan

Bien qu'absent de la littérature culinaire occitane (il semble normal que la coquille Saint-Jacques, mets de luxe caractéristique des régions de l'Atlantique Nord, ne figure pas dans les écrits gastronomiques anciens), le terme générique idoine serait « cauquilha de Sant Jaume (ou Jacme) ». Mais on relève également des termes spécifiques et historiques, en particulier « pelerina » (ou « pelegrina »), présent notamment dans le Trésor du Félibrige de Frédéric Mistral : « coquillage dont les pèlerins ornent leur pèlerine ». Une étude sur les coquilles Saint-Jacques parue en 1930 (E. PRIOL) suggère qu'on les appellerait dans la région de Port-Vendres des « patcharinas » (publiée dans : Revue des Travaux de l'Institut des Pêches Maritimes (0035-2276) (ISTPM), 1930-06 , Vol. 3 , N. 2 , P. 143-173). Ce terme, inconnu des autres sources lexicographiques, semble cependant erroné. Il est probable que l'auteur est transcrit phonétiquement "pagelina" qui désigne effectivement sur le littoral languedocien et provençal un petit coquillage dont la forme est proche de la coquille Saint-Jacques.

On trouve parfois dans les dictionnaires occitans le terme « arcèli » mais il s'agit d'un autre coquillage, de type palourde : le « lavignon » ou « lavagnon », très courant en Charente-Maritime.

À noter, cette expression relevée dans le Trésor du Félibrige : « A pelerin fau pas vèndre couquiho » (graphie originale de l'auteur, en graphie classique « A pelegrin fau pas vendre cauquilha »).

Coquilles Saint-Jacques dans d'autres langues romanes (source WORMS) :

vieira galicien, petxina de pelegrí, peregrina (catalan), conchiglia di San Giacomo, conchiglia dei pellerini, cappasanta, capa santa (italien)

Qualques cauquilhatges corrents en Occitània mediterranèana : 

- Clausissa o clauvissa : les fameuses « clovisses », très courantes dans la cuisine du littoral provençal et languedocien, spécialité du bassin de Thau (Sète), qui se cuisinent en persillade.

- Los muscles : les moules

- Las tenilhas ou telinas : devenues « tellines » ou « ténilles » en français (en Languedoc, on emploie plutôt « ténilles », d'après le terme occitan original). Le plus petit des coquillages qui vit dans le sable. Il se cuisine traditionnellement en persillade.

- Las ustras : les huîtres 

3) Pour en savoir plus  : bibliographie sélective 

Le vocabulaire occitan des poissons et coquillages

- Un lexique occitan très complet des termes de pêches, des poissons et des coquillages de la région marseillaise (occitan provençal, graphie phonétisante)

L. PILA, Pei e Pesco daou gou de Marsiho ; Marsiho : Louis Pally ; Nice : J. de Fays, 1911. (Consultable sur le site du Ciel d'oc)

- Le Trésor du Félibrige :  contient également de nombreux termes liés à la pêche, aux poissons et aux coquillages

Quelques livres de recettes en occitan 

BERTINO (Andrée) e VALLA (Fredo), 18 menú d'Occitània dediats a 18 grandas fremas de l'estòria occitana, Roccabruna : Chambra d'òc, 2006. (occitan/italien/français/anglais)

-  MONTAGNE (Prosper), Le festin occitan, Villelongue d'Aude : Atelier du Gué, 1980. (contient des textes et du vocabulaire en occitan)

- MONTAGNE (Prosper), Gastronomie méridionale : littérature, art culinaire et recettes,Villelongue-d'Aude : Atelier du Gué, 1999. (contient des textes et du vocabulaire en occitan)

 - REBOUL (Jean-Baptiste), La cuisinière provençale, Marseille, Tacussel, 1985 (contient du vocabulaire et un lexique des termes de cuisine en provençal)

  

 Languedoc

- BRAS (Mireille), Afogassets, o l'art de beure pas tot sol, Carcassona : Institut d'Estudis Occitans Aude, 1996. - DUCONQUERE (Marie-Paule), La cosina occitana del país d'Agde, Picapol : Escòla Occitana d'Estiu, 1987. (occitan/français)  - GUILHEM (Henriette), La cosina a vista de nas, Valence d'Albigeois : Vent Terral, 2000.  - MOULY (Charles), La cuisine de Catinou, Portet-sur-Garonne : Loubatières, 2000. 

- Secrets de cuisine : à la recherche des spécialités culinaires traditionnelles, Gruissan : MJC, 2012. - Còcas e cocons : pâtisseries occitanes : Quercy-Rouergue-Albigeois, Cordas : Association Cordae-La Talvera, 1998. (occitan/français)

 - Liquors e confiments : Liqueurs et confitures occitanes : Quercy-Rouergue-Albigeois, Cordas : Association Cordae-La Talvera, [2000]. (occitan/français)- Sopas e menudalhas : recettes occitanes de soupes et légumes : Quercy, Rouergue, Albigeois, Cordes : Association Cordae-La Talvera, [200?]. (occitan/français) - Carns e salvatgina : recettes occitanes de viandes et de gibier : Quercy, Rouergue, Albigeois, Cordes : Association Cordae-La Talvera, [2003?]. (occitan/français) 

Limousin

- ROSSI-LAGORCE (Régine), Bouligou et farcidure : le cahier d'une gourmande en Limousin, Lamazière-Basse : Maï͏ade, 2004. (occitan/français) - ROSSI-LAGORCE (Régine), Brejauda e clafotis : le nouveau cahier d'une gourmande en Limousin, Lamazière-Basse : Maï͏ade, 2004. (occitan/français) 

Périgord

- VERGE-ALLARD (Gisela), Cosinar dens la cheminea, Puylaurens : IEO ; Ribérac : Novelum ed., 2007.

Gascogne

 - PALAY (Simin), Autour de la table béarnaise : traditions, coutumes, terminologie, proverbes et dictons, Pau : Princi negue : Institut béarnais et gascon, 2004. (contient des textes et du vocabulaire en gascon) 

Vallées occitanes d'Italie

- BERTINO (Andrée) e VALLA (Fredo), Recetari occitan : 50 recetas de las valadas occitanas, Venasca : Ousitanio vivo, 1997. (occitan/italien/français)

Provence

- CHANOT-BULLIER (Calistino), Vieii receto de cousino prouvençalo, Marseille : Tacussel, 1976 (occitan/français) - NAZET (Marion), Misé Lipeto : le calendrier gourmand de la cuisine provençale d'hier et d'aujourd'hui , Marseille : J. Laffitte, 2005 (2 vol.) (français/occitan) 


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Recueil de pièces éparses écrites par Frédéric Mistral
Mistral, Frédéric (1830-1914)

Recueil écrit par Frédéric Mistral conservé par l'Académie des Sciences Lettres et Arts de Marseille. C'est une ébauche du discours de Frédéric Mistral aux Jeux floraux d’Apt en 1862, publié dans l’Armana prouvençau de 1863, p. 13-26.

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Mont-Segur
Estieu, Prosper (1860-1939)
Perbosc, Antonin (1861-1944)
La revue Mont-Segur est Fondée en 1896 par Prosper Estieu et Antonin Perbosc, deux instituteurs.
D'abord imprimée à Foix (1re série, in 8°), puis directement par Estieu (2e série, in-16), qui s'est doté d'une presse, Mont-Segur compte au total 50 Numéros. 

Au départ, la revue se présente ainsi : "revisto mesadiero des Felibres del païs de Fouich e del Lauragues" : elle est une publication de "L'Escolo de Mount-Segur". 
Une de ses particularités est le culte de Montségur, capitale de la résistance occitane à la fin de la croisade contre les Albigeois. 

On distingue deux périodes dans sa publication : 
- 1re époque (1896-1899) : Imprimée à Foix, sa publication est interrompue 2 ans "le temps de la réflexion et de la radicalisation semble-t-il" (voir Hervé TERRAL, De la revue Mont-Segur (1896-1904) à la revue Occitania (1905)[...] dans "La voix occitane : actes du VIIIe Congrès de l'AIEO,...," 2009) 
- 2e époque 1901-1904 : Imprimée à Rennes-le-Château, à domicile chez Estieu, comme "revista mezadiera de la letradura occitana", "Le travail mené, huit ans durant, autour de la revue fut toutefois primordial pour l'affirmation d'une identité occitane, par delà la diversité spatiale des "pays" et la singularité temporelle des périodes historiques convoquées." "une entreprise à la fois grandiose par la visée et presque misérable par ses moyens." (source : Hervé Terral, ibid.)   

Quatre points essentiels se dégagent de la revue Mont-Segur
1/ La restauration de la langue dans son unité (avec la référence aux troubadours notamment) 
2/ La création littéraire 
3/ Une relecture de l'histoire de France 
4/ L'innovation pédagogique et le combat pour l'apprentissage de l'occitan en classe

Le travail initié dans Mont-Segur va se prolonger après 1905 dans une revue très éphémère, catalano-occitane : Occitania (Prosper Estieu et Joseph Aladern), éditée à Toulouse et Barcelone "Revista literaria y social de les Terres de Llenga d'Oc". La spécificité de la revue sera de faire connaître les grands auteurs sous la rubrique "Occitans célèbres" et à l'occasion les "monuments occitans". 
"En dix numéros, Occitania va prendre place dans un combat complexe : celui que mènent Estieu et Perbosc pour fonder une culture "occitane"." (source : Hervé Terral, ibid.) 

Mont-Segur est l'occasion pour ses deux membres fondateurs de publier certains de leurs textes. Ainsi, Perbosc fait notamment paraître son poème Lauraires e Trobaires dans le numéro de janvier 1904, avant de le publier dans le recueil L'Arada en 1906.

Références bibliographiques : 
- Hervé TERRAL, « De la revue Mont-Segur (1896-1904) à la revue Occitania (1905) : de la "petite patrie" aux "terres de langue d'Oc ». dans La voix occitane : actes du VIIIe Congrès de l'Association internationale d'études occitanes, Bordeaux, 12-17 octobre 2005 / réunis et édités par Guy Latry,.... - Bordeaux : Presses universitaires de Bordeaux, 2009 

- Hervé Terral, « Autour de la revue Mont-Segur (1896-1904) : la genèse de l'occitanisme culturel et politique ». dans "Annales du Midi", N°254, avril-juin 2006, p. 233-250.
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Du Bartàs - Lenga d'Òc/Lengo d'Ò du 24 janvier 2013
Gravier, Michel
Paul, Claudine
Reig, Philippe
Gros, Lise (1943-....)
Queyrel, Claude

Lenga d'Òc/Lengo d'Ò es una magazina d'actualitat en lenga occitana. Presentada sus Télémiroir, cadena locala de la region nimesenca, per Lisa Gròs e Claudina Paul de 2007 a 2010, l'emission contunh sus TVSud dempuèi la fusion de Télémiroir e de 7L TV, cadena monpelierenca.

Vengudas jónhert las colleccions del CIRDÒC-Mediatèca occitana en 2012, los archius de difusions de Télémiroir seràn progressivament botats en linha sus Occitanica.

Contengut de l'emission

Emission difusada lo 24 de genièr de 2013 e consacrada al grop Du Bartàs, rescontrat per son concèrt de Nadau donat pel IEO30 al teatre Christian Liger de Nimes.

Presentacion : Claudina Paul

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La polyphonie dans les Pyrénées gasconnes : traditions, évolutions, résilence
Casteret, Jean-Jacques

Conférence donnée le 21 février 2013 par Jean-Jacques Casteret à l'Usine des Tramways (Pau)

Dans les Pyrénées gasconnes, la polyphonie s'impose à tous, des messes dominicales jusqu'aux fêtes patronales. Elle est pourtant longtemps restée dans l'angle mort de la recherche.

À l'occasion de la publication de ses travaux aux éditions L'Harmatttan, Jean-Jacques Castéret, ethnomusicologue, nous invite à découvrir cette pratique sociale.

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