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Agach de femna
Blin-Mioch, Rose

Rose Blin-Mioch presenta una emission sus las ecrivanas occitanas del sègle 19.
L'objectiu es de far conéisser d'escrivanas occitanas, de femnas engagadas e sovent mesconegudas, que participèron a las reflexions d'aquela epòca.
L'emission foguèt registrada per Ràdio Lenga d'Òc (Montpellier) en 2007.

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Atlas sonore bourian
La Granja. Collecteur
Après l’Atlas sonore de la Moyenne Dordogne d’Argentat à Souillac, et l’Atlas sonore des Causses du Quercy « Paroles et sons du Causse », ce livret est le troisième de cette collection consacrée au patrimoine occitan lotois. Il est le fruit du travail mené par plusieurs acteurs culturels occitanistes. L’association la Granja, située à Soulomès dans le Lot, oeuvre à la valorisation des traditions orales du département à travers des activités d’animation, d’enseignement et de publication. La tradition orale de ce territoire touchant nécessairement à la langue occitane, elle travaille en étroite collaboration avec l’Institut d’Études Occitanes d’Òlt (IEO) dont la mission est la valorisation de l’occitan.
À partir des années 1980, Xavier Vidal, musicien et président de la Granja, accompagné des bénévoles de l’Association pour les Musiques de Tradition Populaire en Quercy (AMTPQ), a collecté des éléments du patrimoine sonore et musical de la Bouriane auprès des anciens, témoins de cette culture orale.
D’autre part, l’Institut d’Études Occitanes d’Òlt, en partenariat avec la Granja, a collecté des témoignages sur les animations autour des rites calendaires, la littérature orale et les savoir-faire...
Tous les sons présentés ici ont été récoltés en Bouriane. Vous entendrez, pêle-mêle, des chants et des paroles enregistrés auprès de personnes âgées et d’enfants des écoles, entrecoupés de morceaux instrumentaux joués par des musiciens de La Granja.
Le Pays Bourian a inscrit dans son schéma de développement culturel la valorisation de l’identité culturelle du territoire. Son objectif est de conduire des actions de connaissance et de découverte des patrimoines du territoire.

Entre les départements du Lot et de la Dordogne, la Bouriane étend sa mosaïque de paysages, collines verdoyantes et forêts de châtaigniers. Malgré cette ressource qui alimente une importante économie locale, on ne trouve aucune référence au bois dans l’étymologie du nom « Bouriane », qui est sans doute bòria (la ferme, en occitan).
Ce territoire se définit donc aussi par l’agriculture grâce à une terre lourde et fertile, l’albuga. Même si elle côtoie les sols acides des châtaigneraies, cette terre riche, alliée à la douceur du climat, fait de la Bouriane un pays d’opulence et de bien-être L’activité de la région était liée à la ville principale, Gourdon, si bien que l’actuel Pays Bourian s’étend à toute la zone d’influence du Gourdonnais, au-delà de la Bouriane historique.
Un territoire ne se pense jamais seul mais en lien avec les autres.
Ce n’est pas un hasard si la Bouriane est aussi nommée par les géographes le « Sarladais », si les moissonneurs bourians poussaient vers le Causse à l’est, et si les équipes de vendangeurs et feuillardiers se dirigeaient vers le sud et la vallée du Lot. Ces mouvements de population ont marqué de leur empreinte la langue occitane.
Dans ses enquêtes, l’ethno-musicologue Xavier Vidal a recueilli auprès du poète Raoul Moulet, à Labastide-du-Vert (dans la vallée du Lot), des vers écrits de sa main avec la mention « Écrit en patois de la Bouriane ». Un patois qui n’est autre, bien sûr, que la langue historique et millénaire parlée dans la moitié sud de la France : l’occitan.

Collectés auprès de personnes âgées, les chants et témoignages de ce livret abordent les thématiques liées à la jeunesse, de la naissance à l’autonomie. Loin de répondre à une commande, les témoins ont spontanément évoqué la jeunesse : la leur, et celle qu’ils voient pétiller dans les yeux de leurs petits-enfants. Car la jeunesse est au coeur de la transmission et de l’acquisition des savoirs, et c’est pour les jeunes que les anciens livrent leur expérience.
La transmission (sens premier du mot « tradition ») commence dès la petite enfance : comptines et chansons accompagnent l’éveil du corps et des sens, la découverte de la nature, la confrontation à la peur... Puis, des chants et des rituels encouragent la prise de responsabilités dans le cadre du travail, de la fête et du mariage, conduisant les jeunes gens à l’orée de l’âge adulte.
Ce collectage est complété de chants d’enfants des écoles du territoire qui font une sensibilisation à l’occitan.

[Atlas sonore bourian, p. 5-11]
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Atlas sonore - D'Argentat à Souillac, Limousin et Quercy (Moyenne-Dordogne)
Vidal, Xavier. Collecteur
Bonin, Dominique. Collecteur
« D'Argentat à Souillac » est un voyage sonore, le long de cette Dordogne toujours sauvage, entre Limousin et Quercy.
À la rencontre des mémoires à propos de la navigation, de la pêche ou de l'agriculture traditionnelles, à l'écoute des récits, des contes, des chants et des musiques, nous percevons toujours l'attachement des populations à l'histoire du fleuve.

Le réseau des musiques traditionnelles poursuit son travail de mise en valeur du paysage sonore de la Dordogne. Faisant suite au premier atlas « De la source à Argentat », édité par l'AMTA et le CRMT Limousin, nous reconstituons le parcours historique de la descente du fleuve, avec la nécessité de confirmer les liens interrégionaux culturels et associatifs.

Atlas sonore - D'Argentat à Souillac, Limousin et Quercy (Moyenne-Dordogne), p. 2-3 :

Après avoir quitté son berceau encaissé de la montagne auvergnate et limousine, la Dordogne se découvre à la lumière des pays corréziens et quercynois. Pays luxuriants et lumineux d'arbres fruitiers, de vignes et de noyers.

La ville d'Argentat est le point de départ de ce nouveau voyage. Elle représente un point géographique et historique important avec ses gués et ses passages (« Lo Bel », « Port Soustrot », « Port Vieux » ou « Port Saulou ») reliant les pays tulliste et briviste aux bourgades des Xaintries et aux cités de Mauriac et d'Aurillac.

La Dordogne devient sinueuse. Elle s'étale de tout son lit mouvant qui balaie la plaine. Elle fait et défait le paysage, les rives et les îles au gré de son humeur changeante. Parfois, elle a une fausse allure tranquille. Gare au nageur ou au navigateur naïf ! Parfois, au contraire, elle se déchaîne avec un violent courant.

Le bassin de la Dordogne, avec ces affluents, devient industrieuse (métallurgies de la Cère, conserveries de fruits et fabriques de traverses de chemin de fer de Biars) et la densité humaine s'amplifie. La population devient plus diverse. Les communautés d'origine immigrée (italiens, espagnols, manouches, gitans catalans) laissent davantage leur empreinte.

Au fil de la Dordogne, villes et bastides riantes se succèdent, avec leurs histoires riches et leurs activités agricole et artisanale anciennes entièrement axées sur la vallée : Beaulieu, Bretenoux, Puybrun, Bétaille, Vayrac. C'est le débouché sur la plaine et malgré le faible dénivellement, la rivière reste sauvage, toujours prête à changer son lit à la moindre montée des eaux. Les crues endémiques ont disparu depuis la construction des barrages en amont, mais le souvenir des inondations historiques est toujours vigoureux.

Plus loin, à Carennac, la Dordogne vient buter contre le plateau calcaire du Quercy, le coupant en deux causses, celui de Martel au Nord, celui de Gramat au Sud. Les passages au pied des falaises deviennent dangereux. La rivière devient encore plus sinueuse. Les cingles se rétrécissent. La pierre calcaire éblouit par sa blancheur et se reflète dans l'eau. L'implantation de l'homme date ici de la préhistoire.

Enfin, après un parcours tortueux, Souillac apparaît, ville des communications modernes du chemin de fer et de la route, mais également ville ancienne de l'artisanat sur l'eau des moulins et des tanneries, ancien centre du tabac, étapes des anciens gabariers, porte du Périgord.

C'est ce voyage que nous vous proposons de faire à l'écoute d'une palette de sons rencontrés sur ce territoire.

L'évocation sonore des activités humaines des gens de la vallée de la Dordogne représente matière à souvenirs et également matière à imaginer.
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Cronica Istorica : las cronicas de Felipe Martel
Martel, Philippe (1951-....)

Seria d'emissions sus l'istòria d'Occitània (aira culturala) animada per Felipe Martel, professor emerit d'istòria al departament occitan de l'Universitat Pau Valéry de Montpelhièr. Cada emission presenta d'eveniments, personatges o tèmas que caracterizan l'istòria occitana. 

L'emission foguèt registrada a Ràdio Lenga d'Òc (Montpelhièr) e co-animada de la debuta a 2009, per Aimée Brees, puèi de 2009 e 2011, per Henry Hammel.

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La Granda Charadissa
Blénet, Marius

La Granda Charradissa es un programa radiò de discutida sus l'actualitat presentat per Marius Blenet e difusat de 2015 a 2017 en dirècte sus Radio Occitania e Ràdio Lenga d'òc, e en diferit l'endeman sus Ràdio País.

Per de questions de dreches, los extrachs musicals difusats dins las emissions podon pas èsser mes en linha, fogèron doncas talhats dels enregistraments.

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Lo JT de Manaset : la vertadièra falsa informacion occitana
Valentin, Stéphane. Metteur en scène ou réalisateur

Lo jornau televisat de Manaset.fr, sit d'informacions parodic en lenga occitana.

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Bonnemason, Jean
Cassou, Albert
Albert Cassou a prêté un ensemble de 4 cassettes audio contenant des témoignages de son père, Henri Cassou (1916-2003), afin qu'elles soient numérisées. Ces cassettes ont été numérisées par le CIRDOC-Institut occitan de cultura en décembre 2017, sous le nom « Fonds Albert Cassou ».

Ces enregistrements, réalisés par Jean Bonnemason en 1992 et 1994, ont été réalisés à Lembeye dans la cuisine pièce à vivre d'Henri CASSOU; Jean Bonnemason a fait parler Henri CASSOU et son cousin René CANTON (tous deux originaires de Juillacq) sur les moeurs, façons de vivre et particularités linguistiques du parler local.

Par ailleurs, Albert Cassou a exploité et traduit les écrits de son père (partiellement écrits en gascon mais majoritairement en français) dans le livre "Au Vilatjòt", dont une copie numérique a été déposée avec les présents enregistrements. En début de livre se trouve la présentation d' Henri Cassou.
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Hons Peir de Buganda
Bigué, Pierre (1906-1987)
Giannerini, Pierre-Louis

Le fonds Peir de Buganda (Pey de Bugando)

Présentation des producteurs


Professeur d'Histoire à Oloron Sainte-Marie, Pierre-Louis Giannerini est attaché à l'histoire de sa ville et de sa région. Cet Oloronais a été le premier président de Radio Oloron à sa création en 1981. La même année, il créera l'association « Trait d'Union », qui a pour objectif de promouvoir la connaissance et la conservation du patrimoine local. Il a mis un point d'honneur à ce que la langue et la culture occitanes soient présentes sur les ondes de Radio Oloron. Pour cela, il a fait appel à diverses personnes comme Marcelin de Lurbe, conteur et auteur de chansons, Jean Lassalle, présentateur du Festival de Siros et maire de Lourdios-Ichère (puis conseiller général et, à partir de 2002, député), Nathalie Menvielle et Robert Laborde, enseignants et créateurs de la Calandreta oloronaise, et Pey de Bugando, ancien instituteur, passionné par la vie locale.

Peir de Buganda (ou Pey de Bugando), de son vrai nom Pierre Bigué, est né à Aramits en 1906 où il décède en mars 1987. Dans les années 20, il entre à l'École Normale de Lescar où il suivra des cours de langue avec l’auteur Simin Palay. Cette rencontre le pousse à améliorer sa pratique de l'occitan et son écriture. Tout au long de sa vie, il cherchera à perfectionner son niveau et s'intéressera aux différents parlers des vallées pyrénéennes. Cette expérience avec Simin Palay fera l'objet d'une chronique conservée dans le fonds. A sa sortie de l'École, il est nommé instituteur dans le Vic-Bilh. Puis, vers 1932, Peir se rapproche du Béarn et enseigne de 1932 à 1951 à Féas (ouest d'Oloron). Même s'il n'a pas transmis l'occitan à ses enfants, – car à l'époque il valait mieux parler un français correct que l'occitan –, Pey continuait d'utiliser cette langue qu'il chérissait tant lorsqu'il allait faire un tour à la foire ou au marché d'Oloron.

Avant de réaliser des chroniques pour Radio Oloron, Peir a beaucoup écrit pour le journal La Dépêche de Toulouse dans les années 1982-1983. Il a également été pendant de nombreuses années correspondant pour le journal La République des Pyrénées à Aramits. Ses articles et brouillons d'articles sont précieusement conservés par son fils. Le chroniqueur s'est beaucoup intéressé à la politique nationale mais surtout locale dans ses articles, thèmes que l'on retrouve à plusieurs reprises dans le fonds (chronique sur la carrière d'Henri Laclau, maire d'Oloron de 1977 à 1983, les élections législatives de 1924 et 1928 ou encore le parcours politique d'André Labarrère). Par ailleurs, il s'adonnait à l'écriture de portraits de personnalités (Louis Barthou, etc.), d'ami(e)s proches (André Mariette, l’un des créateurs du Festival de Siros et Henricou) et d'habitants d'Oloron (notable, agriculteurs, voisins, etc.)

La notoriété grandissante de Peir de Buganda a tout naturellement conduit Pierre-Louis Giannerini à le contacter pour faire des chroniques sur la toute nouvelle radio Radio Oloron. Chaque semaine, les deux hommes se retrouvaient chez Peir pour l'enregistrement. Selon les dires de Jean-Claude Bigué, son fils, le surnom initialement choisi par son père était Peir de Buganga. Bugangue est un bois situé à Aramits dans lequel Peir et son père avaient pendant une quarantaine d'années chassé la palombe ensemble. Le nom « Peir de Buganda » aurait été inscrit par erreur (coquille journalistique) en signature des articles dans La Dépêche de Toulouse. Peir ne l'aurait jamais modifié par choix.

Présentation du contenu


Le fonds est divisé en trois parties :
- Patrimoine culturel ;
- Société ;
- Programmes radiophoniques généralistes.

Peir de Buganda choisissait librement ses interventions pour chaque chronique. Le plus souvent, au début de chaque enregistrement, Pierre-Louis Giannerini, alors animateur/journaliste, faisait un décompte (3-2-1-0) pour lancer la cassette avant de présenter Peir de Buganda, le thème du jour ainsi que la date et l'heure.

Peir lisait d'abord sa chronique en occitan, avant de la traduire en français. Il arrivait que l’animateur pose des questions au moment de l’introduire. Des programmations musicales (chansons ou enregistrements de concerts) viennent compléter certains enregistrements de chroniques. Des journaux d'informations locales ou nationales ainsi que des reportages sur la vie oloronaise sont également conservés dans le fonds.
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Hons Yvan Bareyre
Bareyre, Yvan

Le fonds Yvan Bareyre - Lous Cantayres de Came

Présentation du producteur


Yvan Bareyre est spécialiste de la restauration du bâti ancien, collecteur, chanteur, producteur de radio, acteur associatif, mais aussi membre de l'Académie gasconne (Academia gascona de Baiona – Ador). Acteur majeur du paysage culturel et patrimonial en Bas-Adour, il a réalisé de nombreuses collectes de mémoire notamment au sein de l'association Mémoire Vivante.

Le groupe Lous Cantayres de Came est né en 1972, porté par la volonté de Georges Bourdalès (1934-2014) et d’Yvan Bareyre de retrouver la culture et les chants du Bas-Adour. Ils ont ainsi réalisé un travail de collecte ethnographique auprès des anciens du village et créé et animé l’émission Adishatz monde de 1981 à 1985 sur Radio Adour Navarre. De 1977 à 2013, ils ont enregistré sept disques et cassettes retraçant les moments forts de leurs spectacles de chants et de contes.

Présentation du contenu


Le fonds sonore comporte trois axes.
L’essentiel des enregistrements d’émissions de radio porte sur l’émission en gascon Adishatz Monde sur Radio Adour Navarre. Elle est alors le reflet de moments de vie enregistrés chez l’habitant évoquant les traditions et les coutumes d’autrefois. En parallèle, l’émission rediffuse les spectacles de chants et de contes des Cantayres de Came.
Une partie du fonds est consacrée à l’enregistrement des soirées des Cantayres de Came. Dans ces soirées, le conte prend une grande place avec Georges Bourdalès et le merveilleux Maurice Pocheluberry (1905-1989). Aussi, de nombreuses répétitions des chanteurs réalisées chez des anciens du village témoignent de la démarche ethnographique et de la volonté de mettre en valeur l’histoire locale et de maintenir le lien entre générations.
Les collectes ethnographiques menées auprès des anciens de Came et des villages voisins ont notamment permis de révéler l’histoire du village et de découvrir le patrimoine particulier des chants de bateliers et de l’Adour. Empruntant à la tradition du chant gascon, ces chants de marins à deux voix égales sont principalement en français mais toujours d’origine populaire.
L’ensemble du fonds se situe entre 1977 et 1996.

Historique de la conservation


Le présent fonds a été déposé par Yvan Bareyre aux Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques.
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Hons Dussau-Nebout
Dussau-Nebout, [Madame]
Boudet, Louis

Le fonds de Madame Dussau-Nebout

Présentation du producteur


L'Abbé Louis Boudet fut curé de Vielleségure puis d'Arzacq dans les années 1950 et 1960. Il était vidéaste amateur.

Présentation du contenu


Ce fonds est à mettre en relation avec le fonds Boudet (5 Num 9), conservé également aux Archives Départementales des Pyrénées-Atlantiques. Il s'agit d'un même fonds d'archives ayant été fractionné, ainsi certains enregistrements des deux fonds sont à mettre directement en relation (fichiers sonores correspondant aux enregistrements vidéo muets).

Historique de la conservation


Madame Dussau-Nebout est une professeur à la retraite, très investie dans la sauvegarde et la valorisation du patrimoine matériel et immatériel.
Elle posédait les enregistrements (vidéo et audio) que l'Abbé Boudet, ancien curé de Vielleségure puis d'Arzacq, a réalisés. Il lui a légué ce fonds dans les années 1990.
Le fonds a été fractionné par Madame Dussau-Nebout d'où son entrée en deux temps aux Archives départementales.
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