Compte-rendu manuscrit d'une conférence donnée par Théodore de Wyzéwa. Elle eut lieu à l'association scientifique et littéraire de Cannes le 20 février 1893. Le thème portait sur la littérature française et provençale. L'auteur, Théodore de Wyzéwa, polonais d'origine installé en France, était un critique d'art, critique musical et critique littéraire. Il fut également écrivain et traducteur.
Conférence donnée le 21 février 2013 par Jean-Jacques Casteret à l'Usine des Tramways (Pau)
Dans les Pyrénées gasconnes, la polyphonie s'impose à tous, des messes dominicales jusqu'aux fêtes patronales. Elle est pourtant longtemps restée dans l'angle mort de la recherche.
À l'occasion de la publication de ses travaux aux éditions L'Harmatttan, Jean-Jacques Castéret, ethnomusicologue, nous invite à découvrir cette pratique sociale.
Conferéncia balhada lo 19 de genèr de 2012 per Joan Eygun a l'Usina deus tramways (Pau)
Precision de Joan Eygun : La conferéncia de Joan Eygun qu'èra ua prosejada de vulgarisacion en direccion deu public bearnés, dens las condicions tecnicas de l'endret (impossibilitat d'estupar la lutz, per exemple).
Prepaus de la conferéncia
Qu'existeish en Bearn un patrimòni lingüistic hèra ric qui a deishat traç pregonds e duradís dens lo paisatge, dab los noms deus vilatges, deus arrius, de las maisons... Ua passejada en imatges au demiei de las vaths, montanhas, gaves e costalats bearnés qu'obrirà la conferéncia, dab explics de las honts deus toponimes bearnés.
Puish que s'i illustrarà lo riquèr documentari de la lenga d'òc escriuta en Bearn despuish mei de 750 ans, deu temps deus Sénhers de Bearn a l'Edat Miejancèra dinc au sègle XXIau en tot caminar capvath los archius de las comunitats bearnesas. Aqueth riquèr que serà illustrat tanben per la literatura e las expressions popularas (cançons, arreproèrs...) tostemps vivas uei lo dia.
Conférence donnée le 22 septembre 2011 par Patricia Heiniger à l'Usine des Tramways (Pau)
Jean-Maximin Palay (1874-1965) le plus béarnais des Bigourdans, issu d’une longue lignée d’artisans tailleur-couturier, familialement instruit pour suivre l’autre tradition des hommes de la maison qu’était la maîtrise du verbe et du rythme. Instructeurs de pastorale et joueurs de violon, telle était la réputation des Palay entre Montaner et Vic-en-Bigorre.
À 16 ans, il découvre le félibrige et se lie d’une amitié profonde avec le jeune Michel Camelat. Ensemble, ils œuvreront à la reconnaissance de la langue d’oc en fondant une école félibréenne, l’Escole Gastoû Fèbus et une revue, Reclams de Biarn e Gascougne. À 27 ans, Maximin quitte l’atelier de Vic pour les bureaux de la rédaction du journal palois Le Patriote. Déjà reconnu pour sa pratique du chant et sa maîtrise de la rime dans ses compositions poétiques et théâtrales, sa venue dans la cité béarnaise et sa place de journaliste lui offrirent des conditions inespérées pour poursuivre la tâche qu’il s’était fixée dans l’illustration de la langue et la culture d’oc.
Conférencier, animateur d’une chronique, « Las batalères » dans les colonnes du Patriote, auteur de très nombreux articles, poèmes, pièces de théâtre, nouvelles, chansons, d’un roman et du célèbre Dictionnaire du Béarnais et du Gascon modernes, il participa à la création du Musée Béarnais et à la fondation du groupe folklorique du « Cèu de Pau ». Une exemplaire destinée de félibre à l’image de son modèle provençal Frédéric Mistral.
Si rétrospectivement, le parcours est sans accrocs, il est toujours très intéressant d’en connaître son élaboration et de comprendre la portée des termes utilisés par son auteur pour pouvoir saisir ce qui n’est pas noté. Une lecture des traces laissées par Simin Palay nous dévoile une représentation d’un Béarn rural, traversé par les crises d’émancipation d’une jeunesse attirée par la ville, ici Pau. Chez ce conservateur, la ville sera le lieu de toutes les perditions et, au centre de l’abandon supposé des valeurs et vertus se place « la Langue ».
Captation vidéo de la conférence donnée le 12 juin 2011 au CIRDOC-Mediatèca occitane (Béziers) par Peter T. Ricketts.
Elle se propose d'examiner le Breviari d'amor "à travers la tradition encyclopédique et la place qu'il occupe dans cette tradition, en réunissant dans un seul texte la théologie à côté d'un traité courtois."
En plaçant l'amour à l'origine du monde qu'il décrit et en associant influence courtoise et tradition encyclopédique, Matfre Ermengaud réalise une œuvre unique, ancrée dans son temps.
Captation vidéo de la conférence donnée le 12 juin 2011 au CIRDOC-Mediatèca occitane (Béziers) par Peter T. Ricketts.
Elle se propose d'examiner le Breviari d'amor "à travers la tradition encyclopédique et la place qu'il occupe dans cette tradition, en réunissant dans un seul texte la théologie à côté d'un traité courtois."
"Certains éléments de l'encyclopédie ne seraient pas si étrangers aux aspirations de la cortezia qui, pour une fois, a donné une encyclopédie, le Breviari, qui se révèle courtoise."
Captation vidéo de la conférence donnée le 12 juin 2011 au CIRDOC-Mediatèca occitane (Béziers) par Peter T. Ricketts.
Elle se propose d'examiner le Breviari d'amor "à travers la tradition encyclopédique et la place qu'il occupe dans cette tradition, en réunissant dans un seul texte la théologie à côté d'un traité courtois."
Matfre Ermengaud livre un plan de coupe de la société, commentant les vices et péchés de chaque strate sociale.
Captation vidéo de la conférence donnée le 12 juin 2011 au CIRDOC-Mediatèca occitane (Béziers) par Peter T. Ricketts.
Elle se propose d'examiner le Breviari d'amor "à travers la tradition encyclopédique et la place qu'il occupe dans cette tradition, en réunissant dans un seul texte la théologie à côté d'un traité courtois."
Comment les thèmes abordés et leur traitement situent-ils le Breviari d'amor dans la tradition didactique ?
Captation vidéo de la conférence donnée le 12 juin 2011 au CIRDOC-Mediatèca occitane (Béziers) par Peter T. Ricketts.
Elle se propose d'examiner le Breviari d'amor "à travers la tradition encyclopédique et la place qu'il occupe dans cette tradition, en réunissant dans un seul texte la théologie à côté d'un traité courtois."
Matfre Ermengaud plaçant l'amour à l'origine de la création du monde, l'Arbre d'amour figure et résume le plan de l'auteur pour son ouvrage.