À partir des répertoires musicaux profanes et de dévotion d’occitanie, la musique de Jéricho se constitue comme un Oratorio populaire dans lequel corps et voix sont mis en mouvement. Le son brut y est perçu comme un préalable, à partir duquel nous imaginons les chemins qui amènent la rencontre du chant (non mesuré) avec des motifs mélodiques cadencés, créant ainsi un espace vierge offert à l’auditeur.