De la cité hypertechnologique au désert post-apocalyptique, une idée reste invaincue : la Vie ne peut être réduite au silence. Elle se révolte toujours, elle s’incarne, être après être. Autant de petits tisserands, convaincus ou malgré eux, œuvrant tous sur le métier de la tragédie humaine.
De la ciutat ipertecnologica au desèrt postapocaliptic, ua idea que s’està invençuda : la vita ne’s pòt pas estofar. Que’s susmauta tostemps, que s’incarna èste après èste. Tisneròts qui, a despieit d’eths o convençuts, òbran tots suu telèr de la tragedia umana.