Les lettres de Frédéric Mistral à sa femme présentées dans cet ouvrage sont parvenues par hasard entre les mains de Pierre Fabre. N’ayant pas été destinées à être publiées, elles sont absolument inédites. L’auteur s’est posé bien des questions avant de les réunir dans ce recueil : par exemple sur leur intérêt, quand il s’agit de sujets en apparence anecdotiques, ou sur leur apport à notre connaissance de la philosophie mistralienne, en comparaison avec d’autres déjà publiées.
Pourtant, ces lettres constituent un ensemble nouveau significatif pour notre connaissance de la vie et de l’œuvre de Mistral. C’est en effet l’occasion d’approcher Frédéric Mistral au-delà des discours convenus, en lui rendant un peu de son humanité. Connaissait-on Mistral dans son quotidien ? Et connaissait-on celle qui avait partagé presque quarante ans de son existence, en dehors de son seul statut de « noble veuve » après le décès de Mistral ?
« L’ouvrage qui est présenté prend en considération un corpus total de 453 lettres originales, constitué de 287 lettres de Frédéric Mistral à Marie Rivière et de 166 lettres de Marie Rivière à Frédéric Mistral. Il n’est pas une nouvelle biographie. Il n’a d’autres prétentions que de vouloir simplement compléter celles existantes ou en corriger certains points par un ensemble de touches successives. Le lecteur n’en deviendra peut-être pas plus ou pas moins « mistralien ». Nous ne croyons pas pour autant qu’il y restera insensible. Tout comme nous supposons qu’il visitera désormais différemment la maison du poète, berceau de l’intime, nous subodorons aussi qu’il (re)découvrira ses écrits avec un regard renouvelé. » (Extrait des « Notes liminaires ».)
Les lettres de Frédéric Mistral à sa femme présentées dans cet ouvrage sont parvenues par hasard entre les mains de Pierre Fabre. N’ayant pas été destinées à être publiées, elles sont absolument inédites. L’auteur s’est posé bien des questions avant de les réunir dans ce recueil : par exemple sur leur intérêt, quand il s’agit de sujets en apparence anecdotiques, ou sur leur apport à notre connaissance de la philosophie mistralienne, en comparaison avec d’autres déjà publiées.
Pourtant, ces lettres constituent un ensemble nouveau significatif pour notre connaissance de la vie et de l’œuvre de Mistral. C’est en effet l’occasion d’approcher Frédéric Mistral au-delà des discours convenus, en lui rendant un peu de son humanité. Connaissait-on Mistral dans son quotidien ? Et connaissait-on celle qui avait partagé presque quarante ans de son existence, en dehors de son seul statut de « noble veuve » après le décès de Mistral ?
« L’ouvrage qui est présenté prend en considération un corpus total de 453 lettres originales, constitué de 287 lettres de Frédéric Mistral à Marie Rivière et de 166 lettres de Marie Rivière à Frédéric Mistral. Il n’est pas une nouvelle biographie. Il n’a d’autres prétentions que de vouloir simplement compléter celles existantes ou en corriger certains points par un ensemble de touches successives. Le lecteur n’en deviendra peut-être pas plus ou pas moins « mistralien ». Nous ne croyons pas pour autant qu’il y restera insensible. Tout comme nous supposons qu’il visitera désormais différemment la maison du poète, berceau de l’intime, nous subodorons aussi qu’il (re)découvrira ses écrits avec un regard renouvelé. » (Extrait des « Notes liminaires ».)