Explorer les documents (15458 total)

Sirigauda.jpg
Joanna Cassoudesalle - CIRDÒC

STAGE ouvert à tous :
lecteurs ou non de la musique : l'apprentissage passera par l'oralité mais les textes et partitions serons fournis.

CONTENU du STAGE :
Les musiciens de Sirigauda vous proposent de venir vous plonger dans l'univers des chants traditionnels en langue d'oc de la Drôme et des Alpes, chansons et rigaudons chantés, et même dansés !
Vous serez accompagnés au son du violon, et pourrez mettre en pratique les chansons à danser apprises lors du concert-bal donné par Sirigauda le dimanche après-midi.

Sources : livre-CD « Chansons traditionnelles et populaires de la Drôme » et « chansons populaires des Alpes françaises » (1903) de Julien Tiersot

Rencontre :
Rencontre avec Han Schook, Jean Bernard Plantevin et Patrick Mazellier auteurs du livre Chansons traditionnelles de la Drôme vendredi 21 octobre soir

Sirigauda :
Sirigauda s'attache à mettre en valeur et transmettre les chansons et airs à danser des Alpes, principalement en langue d'oc, autour bien sûr de cette danse emblématique qu'est le rigaudon. Sirigauda s'appuie sur différentes sources de collectages, du XIXe siècle à nos jours, voire certaines sources même plus anciennes sur le propre répertoire de Thierry Cornillon, reçu en tradition orale, tant en chant qu'au fifre.

www.facebook.com/sirigauda

https://youtu.be/lnr8G8LmT6E
Blancaflor_1.JPG

BLANCAFLOR vous emmène au XVIème siècle, à la Renaissance, à la découverte de chants, danses, chansons à danser,...

Les musiciens de BLANCAFLOR, issus de Flor Enversa et nourris de leur expérience en musique traditionnelle, musique renaissance et recherches en lutherie, ont à coeur de transmettre ce patrimoine poétique et musical de la Renaissance, au son des liras da braccio, violons, luth, viola da mano, rebec, flûtes,...

Blancaflor s'attache tout particulièrement à développer trois axes:

- la mise en valeur du patrimoine musical et poétique en langue d'oc de la Renaissance (l'ensemble est basé en Provence et s'intéresse au répertoire de la Provence, mais aussi de toute l'Occitanie)

- retrouver le lien si évident entre musique traditionnelle et musique renaissance, tant par les timbres de voix, par l'énergie de la danse que par l'art de l'improvisation.

- travail de lutherie: reconstitutions d'instruments d'après les sources de l'époque par les membres de Blancaflor eux-même (viola da mano, liras da braccio, rebec...)

Les musiciens de Blancaflor sont issus de l'ensemble Flor Enversa, ensemble spécialisé dans l'art des troubadours du XIIe et XIIIe s.

Mai d'infos : aquí

Flor_enversa_duo.jpg

Flor Enversa (la fleur inverse, d'après une chanson de Raimbaut d'Orange) chante la lyrique courtoise des troubadours, et emmène son public 800 ans en arrière, dans l'Occitanie du Moyen Âge, dans ces cours du sud de la France habitées par la cortesia et la fin’amor.

Les troubadours y composent poésie et musique en langue d’oc, et proposent dans leurs chants un nouvel art de vivre guidé par l’amour. Ils louent jeunesse, beauté, générosité, courage, instruction et intelligence, sincérité et noblesse de cœur, qui embellissent la dame désirée, le troubadour lui-même et son chant.
Des dames composent aussi, telles Clara d’Anduza ou la Comtesse de Die.

De toutes origines sociales, humbles jongleurs à leurs débuts ou de sang royal comme Richard Cœur de Lion, les troubadours investissent les cours et les châteaux d’un immense élan créatif, qui atteindra un sommet tel qu'il influencera les trouvères au nord, les minnesänger en Allemagne et même Dante en Italie.

Flor Enversa, c’est Domitille Vigneron et Thierry Cornillon, des passionnés de la lyrique courtoise des troubadours. Chanteurs, instrumentistes et chercheurs, ils font revivre avec un souci d’authenticité et de sincérité les œuvres de ces poètes du XIIème et XIIIème siècles, véritables joyaux de notre culture.

Ce duo s'enrichit volontiers de la collaboration d'autres artistes, chanteurs et musiciens.

Flor Enversa se base dans son interprétation sur une langue d'oc vivante et sur la manière de chanter en chant traditionnel pour retrouver ce chemin de l'oralité qui était celui des troubadours.

L'ensemble utilise lors de ses concerts des instruments reconstitués pour la plupart par les musiciens eux-même d’après sculptures, enluminures de manuscrits, recherches archéologiques, textes et traités, ceci afin de faire revivre les sonorités du Moyen Age.

L'accompagnement instrumental est improvisé comme il l'était à l'époque. (vièles à archet, vièle en huit, rote, harpe, psaltérion, flûte,...)

Flor Enversa propose de nombreux programmes de concert autour de l'art des troubadours.

Flor Enversa a enregistré trois disques: les chansons de Raimbaut de Vaqueiras, troubadour provençal (Savis e fols, 2009), celles du troubadour auvergnat Peirol (Senher Dalfin, 2010) et un album autour du seigneur et troubadour Blacatz (Blacatz de Proensa, 2013, Bravo Trad Mag).

Depuis sa création en 2006, Flor Enversa s'est produit dans de nombreux festivals en France et à l'étranger: Italie, Allemagne, Musée du Moyen Age à Paris, Abbaye de Vignogoul, Les Estivales du Conseil Général des Alpes Maritimes, en Provence, Alsace, Bourgogne, Normandie, Auvergne, sud-ouest...et notamment dans le Festival Trobarea dont Thierry Cornillon est le directeur artistique et fondateur, autour de l'art des troubadours.

Par ailleurs, Flor Enversa a aussi animé des stages autour de l'art des troubadours et des instruments qui peuvent accompagner le chant à cette époque. (sources manuscrites, langue d'oc, archéo-lutherie, modes de jeu , improvisation instrumentale,...)

Les membres de Flor Enversa, Thierry Cornillon et Domitille Vigneron ont également été invités à parler de leurs travaux autour des troubadours ou de leurs recherches en lutherie lors de colloques, séminaires ou tables rondes: colloque Philologie et musicologie (Rome, 2015),
colloque « Restitution du son-l'instrumentarium du Moyen Age » (Paris et Chartres – 2014), séminaire Musiconis (Paris Sorbonne,2014), festival de Largentières...
Mais également lors d'émissions de télévision ou radio (FR3 émission « Vaqui » en langue d'oc, France Culture, Radio Pays (émission en langue d'oc, Paris), radio argentine, ou dans des entretiens avec la presse: articles dans Histoire et Images Médiévales, Inf'oc... et lors de conférences (festival Trobarea, Abbaye de Vignogoul, les Amis de la Langue d'oc à Paris...)

Les membres de Flor Enversa poursuivent, en parallèle de leur activité de concert, une activité de recherche en lutherie qui leur permet d'aller au plus près des sources de l'époque et de recréer régulièrement des instruments qui seront ensuite joués en concert: nombreuses vièles à archet de différents modèles dont plusieurs sans touche, rebec, rote (sorte de harpe double avec caisse centrale), mais aussi psaltérions, harpe, flûtes, frestel,...

Les musiciens de Flor Enversa ont également créé BLANCAFLOR, ensemble qui se consacre aux musiques de la renaissance, et Sirigauda sur les chants et musiques à danser des Alpes (rigaudons,...).

Mai d'infos : aquí

 
tintin.jpg
Hergé
Rabasse, Thérèse. Trad.
Rabasse, Claude. Trad.
Cette traduction du quatrième volume des aventures de Tintin en occitan, dialecte languedocien, est réalisée dans le cadre de la VAPAL, l'association pour la VAlorisation du PAtrimoine de Leucate (Aude). Elle sort à l'occasion de la grande exposition Tintin programmée à Port-Leucate de juillet à septembre 2016.
delpastre.jpg
Stenta, Miquèla
Camberoque, Charles. Photogr.
Née et morte à Germont, commune de Chamberet en Corrèze où elle a toujours vécu, Marcelle Delpastre (1925-1998), est un auteur majeur de la littérature occitane contemporaine. En occitan comme en français, elle s’est illustrée dans tous les genres : poésie, contes,
 mémoires, ethnographie, etc.

 Dans ces pages, obéissant au genre biographique, il s’agit d’approcher une personnalité originale, paysanne et poète, et d’en permettre la connaissance à un large public. Et au-delà de la Marcelle de l’œuvre littéraire, de celle des sept tomes de ses Mémoires, amplement citées, dans son occitan limousin d’origine et traduites en français, ce qui évite la glose et l’interprétation, au prix de la vérité et d’une vérité assumée par elle-même.

Elles s’enrichissent d’un reportage photographique inédit, véritable portrait en images réalisé chez elle à la fin des années Soixante-dix par le photographe Charles Camberoque.

libre-del-causse.jpg
Gairaud, Pau (1898-1994)

En 1968 sortís Lo Libre del Causse, seguit en 1970 pel Segond Libre del Causse. Pèire Escodornac : l’eròi del libre, ronfut, espatlut, tan larg coma naut, escaissat Palfèrre. Es segut entre dos gendarmas al palatz de justícia de Riòm d’Auvèrnha. Per de qué ? O saurem pas qu’a la tota fin del libre segond.

Dos libres que ne fan qu’un, dins un vestit flame nòu. Tant per la lenga coma per l’escritura, pel debanar e la mestresa de l’accion coma per la riquesa psicologica de sos personatges, un dels melhors romans de nòstra literatura modèrna.


De la Bèla Epòca a 1968, de la Guèrra de 14 a l’Occupacion, a la Resisténcia, e al reviscòl de las Trentas Gloriosas, una saga familiala sus très generacions ont, del Causse roergàs fins a Montpelhièr, es pas solament question de trabalh e de bòrias a sauvar, mas d’argent, de sèxe e de passion.

Transcripcion en grafia normalizada de Domenja BLANCHARD
HCL2015-3complet_Page_1.jpg
Les origines de la Guerre de Cent Ans / Guilhem Pépin
Pépin, Guilhem
Guilhem Pépin est docteur en Histoire, membre de l'Université d'Oxford et du programme de recherche des rôles gascons de l'Université de Southampton
HCL-2015-4_Page_00.jpg.jpg
Religion, croyances et superstitions à Montpellier pendant la guerre de Cent Ans à travers les annales occitanes du Petit Thalamus / Pierre Joan Bernard
Bernard, Pierre-Joan
Montpellier est l'une des villes qui a le plus souffert en Languedoc durant la Guerre de Cent ans. La peste, la guerre et la pauvreté ont marqué durement la population montpelliéraine (Montpellier perd plus de la moitié de ses habitants). Ces malheurs étaient perçus par beaucoup comme un châtiment divin. On observe ainsi à Montpellier à cette époque un retour du religieux et du sacré, dans une sorte de mouvement d'expiation collective, dont les Annales occitanes du Petit Thalamus se font l'écho. La vie quotidienne est alors rythmée par de longues processions où participent tous les corps civiques. Les Montpelliérains vibrent à l'écoute des prêches enflammés du dominicain de Vicente Ferrer. On fait brûler un cierge de la longueur des murailles de la ville pour faire cesser les épidémies. Des moines voient même apparaître le diable dans leur couvent ! Montpellier, ville maudite ?

Pierre-Joan Bernard est assistant de conservation du Patrimoine aux Archives municipales de Montpellier.
HCL2015-2complet_Page_01-2.jpg
L'appréhension de la guerre : l'exemple rouergat à la fin du Moyen-Âge / Guilhem Ferrand
Ferrand, Guilhem
Guilhem Ferrand est enseignant contractuel à l'Université de Pau et des Pays de l'Adour et membre du laboratoire Framespa - Terrae
HCL2015-1complet_Page_1.jpg
La vie de château pendant la guerre de Cent Ans / Monique Dunoyer-Luche
Dunoyer-Luche, Monique
Monique Dunoyer-Luche, agrégée d'Histoire, présente dans cette contribution les caractéristiques de la vie de château durant la Guerre de Cent Ans.
sur 1546