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Défense et promotion des langues de France s'adresse à Mmes et MM les Députés Européens, les Ministres et les Commissaires de la Communauté Européenne
Keravel, Armand (1910-1999)
Dorandeu, Jean
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L'A.I.D.L.C.M. aux associations culturelles des régions minoritaires de France
Keravel, Armand (1910-1999)
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Association internationale de défense des langues et cultures menacées : une association au service des cultures minoritaires
Association internationale de défense des langues et cultures menacées
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Aux associations et personnes membres de l'A.I.D.L.C.M. : 23 avril 1978
Keravel, Armand (1910-1999)
Armand Keravel est délégué pour la France de l'Association Internationale de Défense des Langues et Cultures Menacées
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Emgleo Breiz à son excellence l'ambassadeur d'Italie à Paris : 31 mars 1978
Emgleo Breiz
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Circulaire n° 0403-78 de l'Association internationale de défense des langues et cultures menacées
Association internationale de défense des langues et cultures menacées
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Petit, Jean-Marie
François, Pierre. Ill.
De la Sarda a l’òli (la sardine à l’huile) à la Luseta (le vers-luisant), du Gabian (de Seta) à la "Vache qui rit dans sa tête en triangle” ce bestiaire s'affiche autant en tant qu'œuvre plastique que littéraire, grâce au travail du peintre sétois Pierre François qui réalisa des illustrations au fur et à mesure de la rédaction des poèmes par Jean-Marie Petit.
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Lettre d'Armand Keravel à Robert Lafont : avril 1978
Keravel, Armand (1910-1999)
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Gonfroy, Gérard
Les troubadours du Limousin ont inventé l’amour, la chanson, la chanson d’amour. Météore aussi prodigieux que fugace, on a vu naître à l’orée du XIIe siècle sur les terres limousines une poésie lyrique en langue d’oc qui s’émancipe des thèmes religieux. Il s’agit d’un phénomène culturel inouï, sans équivalent, et dont le retentissement va parcourir l’Europe entière : l’amour courtois chanté par les troubadours limousins résonna de l’Angleterre à l’Allemagne, de l’Espagne à l’Italie et même jusqu’à la lointaine Hongrie ; il accompagna les Croisés jusqu’aux terres arides de la Palestine. Cette plongée au sein des châteaux limousins (Ventadour, Turenne, Comborn, Ussel, etc.) va aussi nous permettre d’entrevoir quelques éléments de la vie quotidienne d’une époque.
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Las cançons de vilatges, les chansons de village, sorte d’hymnes locaux, se sont multipliées en Occitanie – à l’instar d’autres régions – essentiellement entre 1850 et 1950. L’une des plus anciennes, la Tolosenca, composée par Lucien Mengaud en 1844 a influencé sans nul doute nombre de compositions postérieures. Chanter sa ville ou son village (en occitan en l’occurrence) reste encore aujourd’hui une façon de se positionner par rapport aux autres, aux villes voisines, mais aussi de revendiquer sa culture vis-à-vis de la langue dominante. Au-delà des clichés inhérents à ce type de compositions, on y découvre de poignants et passionnants témoignages historiques, ethnographiques et linguistiques, qui sont autant d’invitations au voyage dans l’espace et dans le temps.


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