Explorar los documents (15420 total)

vignette_57658.jpg
Almanac patoues de l'Ariejo. - 1928
Cada almanac compren un calendièr e las datas dels mercats e fièras dels departaments d’Arièja, d’Aude e de Nauta-Garona. Lo recuèlh conten tanben tèxtes de tradicion orala : cançons, contes e provèrbis.


vignette_57657.jpg
Almanac patoues de l'Ariejo. - 1892
Gadrat, Léon (1847-1906). Directeur de publication
Cada almanac compren un calendièr e las datas dels mercats e fièras dels departaments d’Arièja, d’Aude e de Nauta-Garona. Lo recuèlh conten tanben tèxtes de tradicion orala : cançons, contes e provèrbis.


vignette_agendajppop.jpg
L'Alambic des Arts
PRESENTACION 

Irena es perduda. Pendent una collècta de racontes en occitan, la daissem pas dire son istòria, se compren l'occitan, Irena lo parla pas. Estabosida per la violéncia d'aquela exclusion, va refusar de causir entre lo francés e l'occitan. A comptar d'aquel moment, debuta per aquela vagabonda de l'entre-dos, una quista onirica e amusanta a l'encontre de sos aujòls, descendents, amors o... emplegaires. 

INFORMACIONS PRACTICAS


L'Alambic des Arts -  Place de la Poste 105 Rue Lutter Sondersdorf 40190 Villeneuve de Marsan
Entresenhas e reservacions : culture@cc-vdm.com / 05 58 93 08 00.
vignette_LAF-O-45-A-73.jpg
Lettre du député du Gard M. Paul Béchard à M. Keravel : 19 novembre 1959
Béchard, Paul
vignette_LAF-O-45-A-72.jpg
Lettre au sujet des langues admises au Baccalauréat
Keravel, Armand (1910-1999)
vignette_LAF-O-45-A-71.jpg
Lettre d'Armand Keravel à Robert Lafont : 13 novembre 1959
Keravel, Armand (1910-1999)
vignette_LAF-O-45-A-70.jpg
Lettre d'Armand Keravel à Robert Lafont : 30 octobre 1959
Keravel, Armand (1910-1999)
vignette_LAF-O-45-A-69.jpg
Lettre d'Armand Keravel à Robert Lafont : 24 octobre 1959
Keravel, Armand (1910-1999)
vignette_OmeBlanc.jpg
L'òme blanc de Fernand Sarran (Lou Cascarot)
Sarran, Fernand (1873-1928)
vignette_57649.jpg
Fraisse, Chantal
« La petite troupe de Notre-Seigneur se dépêchait d'aller chanter matines. Toute la nuit un vent mauvais avait ramassé des gerbes de pluie pour les jeter avec rage contre les fenêtres du dortoir. Les moines les plus vieux n'avaient pas beaucoup dormi. Il ne faisait pas froid mais les corps et les esprits étaient encore enveloppés de la couverture tiède du sommeil. A la queue-leu-leu les bénédictins de Saint -Pierre s'en allaient vers le chœur de l'église. Cette nuit d'avril où le printemps attendait, encore caché quelque part sous terre, tout valsait, feuilles, branches et manteaux. Le vent qui sifflait poussait au derrière et puis, d'un coup, se retournait pour vous gifler au visage. Tout était sens dessus dessous : même le jeune moine si docile qui aidait le sacristain et qui devait allumer les torches le long du mur avait oublié de les abriter. Une sur deux ou presque s'était éteinte. Alors le pavement trempé de la longue galerie ressemblait à un serpent géant : un anneau luisant et l'autre obscur. Les hommes entraient un instant dans la lumière pour plonger aussitôt dans la nuit. Pas sûr que personne n'ait disparu, avalé par le grand serpent. En approchant de l'église on y voyait mieux, avec la lueur rousse des cierges qui gardaient l'autel. Le sacristain n'avait rien dit à l'enfant qui avait oublié de protéger les lumières, le novice Bertrand, celui qui boîtait bas. C'était le fils de la dame de Lagarde -Dieu, qui vivait depuis quelques mois dans le quartier des femmes du couvent. Il y avait quand même quelque chose qu'il ne comprenait pas : pourquoi ce jeune n'était pas resté avec les autres novices et leur maître, dans les bâtisses du nord ? »
sus 1542