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Contributeur : Société archéologique de Béziers

Epitro V de Junior Sans

Sans, Junior (1820-1905)

Mention sur la page de titre indiquant : "Aqueste vers tiro cent cinquanto-dos rimos"

Pour plus d'informations sur Junior Sans, consulter l'article biographique qui lui est consacré sur Vidas, los actors de la renaissança d'òc

Correspondance de Junior Sans adressée à Frederic Donnadieu en 1889

Sans, Junior (1820-1905)

Lettre de Junior Sans adressée à Frédéric Donnadieu datée du 15 novembre 1889.

Pour plus d'informations sur Junior Sans, consulter l'article biographique qui lui est consacré sur Vidas, los actors de la renaissança d'òc

Correspondance de Junior Sans adressée à Frederic Donnadieu en 1887

Sans, Junior (1820-1905)

Envoi "Al Sindic de la mantanenso del Lengadoc en Frederic Donnadieu, Majoural del Felibrige [...] Beziés, lou lendema del bèl jour de Sant Jousèp"

Pour plus d'informations sur Junior Sans, consulter l'article biographique qui lui est consacré sur Vidas, los actors de la renaissança d'òc

Contributeur : CIRDOC - Institut occitan de cultura

Patric La Vau

Filmé en 2019, André Rablade (1933-2020) est issu d'une longue lignée de métayers-gemmeurs et de bergers landais de la commune de Sore. Son excellente mémoire, son souci du détail, son talent de conteur, son histoire personnelle et la qualité de son expression en gascon font d'André Rablade un témoin exceptionnel de la vie à Sore et dans la Grande-Lande au cours du XXème siècle.

Il évoque la société landaise d'autrefois, son enfance, l'école, son métier de berger, son grand-père, Jouanès Rablade (1875-1951), joueur de vielle réputé dans la Grande-Lande ou encore sa passion pour l'accordéon chromatique.

Source : Patric La Vau / Les Nuits Atypiques

Hélène Bussière

"J'ai grandi en région parisienne, le français est ma langue maternelle. Il y a quelques années, j'ai pris conscience que mon grand-père n'avait pas été élevé dans la même langue que moi. Sa langue maternelle à lui, c'était l'alsacien. Pourtant, il ne l'a jamais transmis à ses enfants. Dans ma famille, comme dans des milliers d'autres familles en France, les langues se sont éteintes en silence. Que sont devenues aujourd'hui ces langues dites « régionales » ? Que représentent-elles dans le cœur des gens qui les parlent encore ? Que disent-elles de notre culture, de notre identité, de notre diversité ? J'ai pris la route, avec toutes ces questions en tête, pour aller découvrir de plus près cinq d'entre elles : l'alsacien, le breton, l'occitan, le corse et le basque."

Hélène BUSSIÈRE

Source : 4e de couv. de l'édition DVD

En lo progrès que fai la medecina ...

Son inédit
Domaine : Littérature orale
Provenance : Dordogne - Périgord
Descripteur(s) : Conte
Situation de l’enregistrement : En studio
Qualité du document : bon

Caderousselle

Son inédit
Domaine : Littérature orale
Provenance : Dordogne - Périgord
Descripteur(s) : Conte
Situation de l’enregistrement : En studio
Qualité du document : bon

Correspondance de Junior Sans adressée à Frederic Donnadieu en 1887

Sans, Junior (1820-1905)

Envoi "Al felibre majoural en Frederic Donnadieu sindic de la Mantenenso del Lengodoc"

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Correspondance de Junior Sans adressée à Frederic Donnadieu en octobre 1886

Sans, Junior (1820-1905)

Envoi "Al felibre majoural en Frederic Donnadieu sendic de la Mantenenso del Lengadoc [...] Souvené de bouno amistat"

Le poème adressé à Louis Heirissoun (Heirisson) est daté du 14 juin 1865.

Le poème dédié à Melchior Barthès est daté de 1886, année de son décès. Il est l'auteur de Flouretos de Mountagno, poésies languedociennes et fut proclamé majoral du Félibrige. C'est Frédéric Donnadieu qui lui succéda.
Fernand Barthés est le fils de Melchior Barthès : sa lettre écrite en français, reproduite ici par Junior Sans, a été écrite quelques jours avant le décès de Barthès père.

Le poème adressé à Auguste de Margon, auteur de Mes moments perdus (1870) est daté du 16 octobre 1886.

Le poème écrit à l'occasion de la naissance de Marguerite, fille du couple Adrian Jaloux, est daté du 17 décembre 1884.

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Al felibre majoural en Frederic Donnadieu sendic de la mantenenso del Lengadoc de Juniòr Sans

Sans, Junior (1820-1905)

Le premier poème adressé à Frederic Donnadieu est daté du 27 mai 1886.
Le second poème A nostro coupo est daté du 24 mai 1882.

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