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Viaule, Sèrgi (Trad.)
Bilbo, comme tous les hobbits, est un petit être paisible et sans histoire. Son quotidien est bouleversé un beau jour, lorsque Grandalf le magicien et treize nains barbus l’entraînent dans un voyage périlleux. C’est le début d’une grande aventure, d’une fantastique quête au trésor semée d’embûches et d’épreuves, qui mènera Bilbo jusqu’à la Montagne Solitaire gardée par le dragon Smaug... Prélude au Seigneur des anneaux, Bilbo le Hobbit a été vendu à des millions d’exemplaires depuis sa publication en 1937, s’imposant comme l’un des livres les plus aimés et les plus influents du XXe siècle. 
John Ronald Reuel Tolkien (1892-1973) né à Bloemfontein, écrivain, poète, philologue, essayiste et professeur. Mondialement connu pour ses romans Bilbo le Hobbit et Le Seigneur des anneaux.

Traduction en occitan languedocien par Serge Viaule.

En savoir plus :
https://editions-des-regionalismes.com/TOLKIEN-J-R-R-Bilbon-lo-Hobbit-o-un-anar-torna
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Magre, Maurice

Lo tresaur dels Albigeses, tout comme La sang de Tolosa, est un roman de la geste médiévale occitane. Le légendaire et la mythologie y tiennent une place importante. Il s’agit d’un genre littéraire pas encore assez développé dans les Lettres occitanes. Pourtant, le riche et passionnant passé occitan est matière à évocations romanesques et poétiques. Maurici Magre l’avait comprit et sut se l’approprier. Tellement que pour l’auteur toulousain, cette geste glisse rapidement vers la quête spirituelle. Grâce à son caractère fantastique, et même ésotérique, ce roman fascinant nous plonge dans l’étrangeté d’un monde où la magie est permanente. Maurici Magre nous offre là une œuvre envoûtante qui entre dans la tradition du roman occitan au XXe siècle.
La traduction de Miquèla Cabayé-Ramòs sait faire vivre cette œuvre initiatique dans une langue occitane des plus justes et dynamiques qui soit. Maurici Magre méritait bien cet hommage.

Maurice Magre naquit le 2 mars 1877 à Toulouse. Il mourut le 11 décembre 1941 à Nice. Remarquable romancier. Toutes ses œuvres narratives mériteraient d’être traduites en occitan, langue dans laquelle il dira son regret de ne pas les avoir écrites. 

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CIRDOC
Vendredi 14 septembre 2018
18h30-20h

Le CIRDOC et l’Institut national de l’audiovisuel lancent un partenariat inédit autour de la création de « 50 ans de borbolh occitan », un site web qui retracera un demi-siècle d’histoire, d’actualité, de culture occitane à travers les archives de la télévision et les collections du CIRDOC.

Désireux de porter au grand jour – et au plus grand nombre ! – les pépites que renferment les archives télévisuelles, l’Institut National de l’Audiovisuel et le Cirdoc s’associent pour créer une plateforme interactive en ligne autour de 50 ans d’histoire sociale, culturelle, artistique et politique vue au prisme de l’occitan et de la culture occitane. Véritable point d’entrée dans la langue et la culture « oc » de ces cinquante dernières années, cette fresque entièrement bilingue, fruit d’une collaboration entre l’Ina, le CIRDOC et un comité de spécialistes et d’historiens, s’appuiera sur les fonds d’archives de la télévision publique pour documenter des thématiques variées (art, littérature, mouvements sociaux, éducation, politique…).

Articulée avec l’encyclopédie numérique Occitanica , c’est une offre unique qui se dessine sur le web, pour mettre à la portée de tous la langue et la richesse culturelle occitane ! 

Venez assister au lancement du projet ! Rencontres et projections sont au programme.
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Intégré l’héritage des illustres ainés comme Massilia ou les Fabulous : ils sont la génération suivante, celle qui a grandi naturellement avec ce sound system à l’occitane, sans complexe. Droits, ils avancent sur leur propre chemin d’un rap ou d’un reggae engagé, radical, conscient et festif. Les chansons sont souvent sociales, elles parlent de notre quotidien, de nos barrières et des clichés qu’on traîne. Elles ont toujours cette pointe, ce fil acéré qui fait tout voler en éclat et pousse à la réflexion. Son dins una lenga sens estat, sens policia, sens termièra, per crear e recampar. Mauresca a son propre «blues», son propre «punk» et permet d’échapper à la centrifugeuse du centralisme. Mauresca rêve d’Occitanie comme les beatnik rêvaient de Big Sur en Californie, ils tracent leur route, la portent sous leurs pas, la déroulent…
Fai la rota minòt !

Rens. www.mauresca.fr
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exposition / appel à collecte
CIRDOC
Du 14 septembre au 12 octobre
10h-18h du lundi au vendredi

« Pas Jamai Vist ! » est une exposition qui explore la mémoire visuelle régionale. C’est aussi un appel à collecte : chacun peut participer en apportant ses propres photos ou vidéos.

Contribuez à la mémoire visuelle régionale ! Vous détenez des photos retraçant la vie quotidienne, les événements sociaux ou culturels, les transformations du paysage et des modes de vie en pays biterrois et en Occitanie? Venez les faire numériser gratuitement au Cirdoc, elles enrichiront une exposition de documents inédits sur l’histoire contemporaine de la région !

Nous recherchons particulièrement des photos ou vidéos portant sur les thèmes suivants : Manifestations et événements sociaux régionaux, Traditions festives locales (fêtes patronales, Carnaval, feux de la Saint-Jean…), Cultures de la vigne et du vin, Vie culturelle occitane (spectacles en occitan, balèti, etc.)

Sortons notre mémoire des placards !
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Formé en 2015 par Louis Pezet et Hugo Collin, Feràmia est un groupe toulousain de musique actuelle en occitan. Ses influences éclectiques, de l'electro à la chanson, en passant par le jazz et quelques excursions éthiopiennes, donnent à entendre une lecture originale de l'occitan et de ses univers. Le premier album de feràmia, "Lo drac pòt èsser tanben una soca", parait en septembre 2016. « Feràmia », « bête sauvage » en languedocien, mais le terme a ici une connotation mythologique, fantastique. Le mot Feràmia fait ainsi référence à ces créatures que les fantasmes des hommes ont amenées à la vie au cours des âges. Plus qu’une identité, encore en construction, c’est une ambition que porte ce nom. L’ambition de retravailler la littérature occitane, la langue, son bestiaire, bref, son univers, à travers une musique vivace et multiple… Cependant, ici, nulle « fossilisation » nostalgique des racines perdues, Feràmia n’entend pas reconstituer un enième musée, visant à défendre une « culture », ou un « patrimoine », qui se substituerait à la mémoire des hommes. Le but est plutôt de s’introduire nuitamment dans ces musées, d’en briser les vitrines, de voler tout ce qu’elles contiennent, de les emporter dans une île, et, fidèles aux enseignements du docteur Monroe, de les reconstruire, de les hybrider, de leur insuffler de la vie et de la sauvagerie, pour créer de nouvelles « Feràmias », de nouvelles créatures fantastiques. La musique portée par Feràmia se veut elle aussi pilleuse de tombes. L’auditeur n’entendra pas ici de musique traditionnelle occitane, et il sera certainement surpris par le décalage entre le contenu des textes, par exemple des poèmes occitans du début du XXe, et le langage musical utilisé dans l’interprétation. Car il en ressort quelque chose qui s’apparente plus à Frankenstein qu’à la récitation de poème avec accompagnement musical. Et c’est tant mieux : Feràmia voudrait échapper à une tendance actuelle de l’industrie culturelle, qui nous abreuve de titres dont on connait tout avant même de les avoir écoutés parce qu’ils répliquent inlassablement des recettes, des façons de faire, dont notre oreille est familière. Feràmia n’est ni du « pop-rock », ni du « jazz métissé », ni de « l’electro-lounge-world-tendance Haïti » ou que sais-je encore, ce n’est pas non plus de la musique « fusion ». Leur musique, ils la voudraient louvoyante, surprenante, inconfortable puis sereine, entrainante puis déstructurée. Ici et là, on pourra donc reconnaître l’influence de la musique ethiopienne, la puissance des instrus dub, des refrains aguicheurs, des rythmiques électro, ou encore l’influence de grands noms jazz américain, et on pourra même assister à une conférence de volatiles. C’est donc la prosodie de la langue, et l’univers mental qu’elle porte qui intéresse Feràmia, et musicalement, tout ce qui leur passe sous la main. Ainsi dans le premier album, "Lo drac pòt èsser tanben una soca" , à côté des poèmes du début du XXeme siècle, comme Lafont, Rouquette, Camproux, Cordes, Gualtier ou Allier, figurent trois textes originaux, qui s’inspirent de l’imaginaire occitan. Pour Feràmia, c’est un langage qui peut servir à exprimer tout autant ce qui a été que ce qui va être. La pastourelle, la bergère de « Quora vendrà », peut être une véritable bergère, mais aussi une anarchiste végano­maniaque, une caissière au poignet meurtri, une geek surmenée, une actionnaire qui scrute anxieusement les présages de la bourse, ou même ta mère. A l’auditeur d’en décider. Feràmia c’est un groupe modeste et encore jeune, qui ne demande qu’à partager et à construire un univers nouveau, avec vous public adoré qui va acheter notre album et venir voir nos concerts. Feràmia chante en occitan mais ne se fait pas conservateur de musée. C’est la prosodie de la langue et l’univers mental qu’elle porte qui a motivé ce choix. Si de nombreux morceaux sont issus du patrimoine littéraire occitan (adaptations de poèmes de Robert Lafont, Léon Cordes …), le but est d’emmener cette langue vers de nouveaux territoires sonores. Musique en occitan, mais non musique occitane, le quintet traite cette langue comme un instrument à part entière. Il en va de même pour l’imaginaire occitan, et notamment son bestiaire fantastique. Avec Feràmia, La tarasque, monstre hybride dont on raconte en Provence qu’elle fut domptée à coup d’eau bénite, se rebiffe, et part pour sa propre croisade qui la mènera jusqu’au rivage de l’Uruguay, où elle rencontrera les tambours du Candombe. Et pendant ce temps, le Drac, le diable occitan, est sorti de l'étable et joue maintenant des tours dans le métro toulousain.

Rens. www.feramia.com
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Vox Bigerri, chœur d’homme spécialisé dans les polyphonies du sud de l’Europe, et des Pyrénées en particulier, s’associe à Jim Black, batteur incontournable de la scène jazz new-yorkaise.
Au programme : des chants à danser de Gascogne, des chants de veillées de la Bigorre et du Bearn, des standards du Jazz, des pièces de création.

Sortie de l'album Tiò

Pascal Caumont : voix
Fabrice Lapeyrere : voix
Régis Latapie : voix
Bastien Zaoui : voix
Jim Black : batterie


Rens. www.voxbigerri.com
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ACEOC

Dimanche 23 septembre - ouverture à 10h30

Démonstration de quilles. Un jeu permettra gratuitement de se familiariser avec les règles ou de s’essayer à ce jeu. Un autre jeu de taille plus réduite permettra aux enfants de s’essayer eux aussi.
10h30 à 12h30 Balades à poney sur le site avec «Cheval Découvertes» (gratuites)
10h30 à 12h30 Démonstration et initiation exercices d'équilibre et d'adresse par l'école de cirque « Tout un cirque » (boules d'équilibre, rola bola, pedalgo, fil d'équilibre acrobatie, jonglage (balles, massues, foulards, diabolo, bâtons du diable...) puis un atelier acrobatique (portés acrobatiques)
11h  Concours de quilles :
Le concours sera doté de lots de valeur :
1er prix un jambon sec,
2ème prix un panier garni.
Tous les joueurs auront un lot.
Le principe : un engagement à 2€ ouvre droit à trois tirs. Les quilles sont « requillées » après chaque tir. Le joueur ayant réussi le plus grand nombre de quilles en trois coups, à la fin de la journée, est déclaré vainqueur du concours. C’est le seul jeu qui sera payant dans l’enceinte de la fête.
14h00 Reprise concours de quilles
16h00 Tir à la corde par équipes adultes
16h30 Mât de cocagne pour les jeunes et enfants Nombreux lots à gagner
17h00 Clôture et proclamation du gagnant de la pesée du jambon

Durant toute la fête :
Jeux permanents en intérieur et extérieur : Quilles, Billards de table, Monte paille, Fer à cheval, Chamboule tout, Jeux de massacre, Casse noix, Tape pointe, Cerceaux, Jeux de tapis pour les tout petits, jeux d'astuces (casse-tête) en grandes dimensions, jeux d'adresse, jeux de stratégie, jeux de "convivialité", etc.
Démonstration autour d‘un jeu de quilles qui permettra gratuitement de se familiariser avec les règles ou de s’essayer à ce jeu. Un autre jeu de taille plus réduite permettra aux enfants de s’essayer eux aussi
Buvette et gâteaux
Stand d’ouvrages, CD et DVD, occitans et régionaux de Découvertes occitanes
Stand autour des jeux et de la transmission par les anciens avec l’école bilingue Calandreta del vernhat
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Festival Itinérance
Immergé dans la pratique conviviale de la polyphonie spontanée qui vibre lors des fêtes pyrénéennes, Vox Bigerri est un chœur professionnel de cinq artistes chanteurs qui se consacrent aux polyphonies des Pyrénées, de Bigorre, Béarn, Pays Basque et Catalogne. Créé en 2004, le groupe a donné plus de 200 concerts en France et au-delà. Attaché à l’authenticité de la voix pyrénéenne, travaillant sans cesse les nombreux placements de la voix minérale libérant des harmoniques, baignant dans le phrasé à la fois fluide et vigoureux du chant pyrénéen, Vox Bigerri s’affirme aujourd’hui comme l’un des groupes majeurs pour la polyphonie, étant invité dans de nombreux festivals, permettant de révéler à un nombreux public cette richesse musicale et culturelle. Groupe de tradition et de création, le travail sur le son traditionnel minéral lui sert de matière pour développer une approche d’aujourd’hui, alliant héritage et modernité, de façon décomplexée et ludique ; les chanteurs de Vox Bigerri sont ainsi engagés dans une démarche innovante, marchant sur les traces des maîtres anciens qui, à l’aide du son, créent des instants uniques, des versions uniques, des moments à vivre. Combinant profondeur, aisance, humour et fusion des voix, ainsi que l’envie de nourrir les racines et de faire pousser les branches d’avenir, Vox Bigerri voit la tradition comme un oiseau en vol et non pas comme un oiseau en cage, permettant la liberté et le partage sans modération.

Concert dans le cadre du Festival Itinérance.

Rens. www.voxbigerri.com


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ACEOC
Samedi 22 septembre - ouverture à 15h30

15h30 Démonstration de jeux et jouets par des anciens
16h00 Chasse au trésor
17h00 Goûter des enfants
17h30 Jeu du casse toupines
18h Apéritif en musique pour clôturer la première journée
18h30 Apéritif dansant avec "Les enfants du Trad"
19h30 Repas partagé : Chacun amène, entrée, plat ou dessert

Durant toute la fête :
Jeux permanents en intérieur et extérieur : Quilles, Billards de table, Monte paille, Fer à cheval, Chamboule tout, Jeux de massacre, Casse noix, Tape pointe, Cerceaux, Jeux de tapis pour les tout petits, jeux d'astuces (casse-tête) en grandes dimensions, jeux d'adresse, jeux de stratégie, jeux de "convivialité", etc.
Démonstration autour d‘un jeu de quilles qui permettra gratuitement de se familiariser avec les règles ou de s’essayer à ce jeu. Un autre jeu de taille plus réduite permettra aux enfants de s’essayer eux aussi
Buvette et gâteaux
Stand d’ouvrages, CD et DVD, occitans et régionaux de Découvertes occitanes
Stand autour des jeux et de la transmission par les anciens avec l’école bilingue Calandreta del vernhat
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