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L'Hérault dans les années 1950 : Colombiers
Cans, Michel

Film noir et blanc muet réalisé par Michel Cans à Colombiers dans les années 1950. Fait partie de la collection "Les villages de l'Hérault dans les années 1950".

 

Conservation des films de Michel Cans au CIRDÒC :  

Le CIRDÒC conserve à Béziers l'ensemble des films tournés par Michel Cans dans une soixantaine de villages de l'Hérault dans les années 1950. Les bobines 16 mm d'origine ont été transférées d'abord sur VHS et ont été ensuite numérisées entre 2010 et 2011.  

L’ensemble du fonds et des droits qui y sont attachés ont été cédés par le réalisateur au CIDO entre 1989 et 1991. Le CIDO en a ensuite fait don au CIRDOC en 2000.  

 

Contenu des films de Michel Cans conservés au CIRDÒC :  

Occitanica va vous permettre progressivement d'accéder à l'ensemble de ce fonds audiovisuel en ligne. Ces documents illustrant la vie des villages de l'ouest héraultais ont acquis avec les années un intérêt patrimonial mais aussi sentimental pour les habitants de l'Hérault. Ces archives brutes sont des films non montés et muets, tournés la plupart du temps en noir et blanc.  

On peut y voir par exemple la Fête-Dieu à Cesseras, le carnaval à Laurens ou Boujan, la danse des treilles à Montblanc, la fête à Nissan, des Agathoises portant la coiffe, etc.

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Marcel Tayrac, batelièr d'Òlt
Chahuneau, Yves

Ce film documentaire noir et blanc de 24 min env., en occitan, a été réalisé en 1988-1989 pour le Musée du Rouergue et l’association CALER par Yves Chahuneau.

On y découvre toutes les étapes de la construction artisanale d’une barque traditionnelle dans la vallée du Lot (Òlt en occitan), de la sélection des matériaux à la mise à l’eau festive. Marcel Tayrac, le batelièr ou constructeur, y dévoile son savoir-faire : joignant le geste à la parole, il commente les techniques qu’il emploie et se remémore ce grand-père qui les lui a transmises, évoquant la place essentielle occupée par la navigation dans la vie des riverains du Lot.



Savoir-faire et point de langue !

Parmi les conseillers techniques du film, on note la présence de Zéfir Bosc, majoral du Félibrige, auteur de plusieurs ouvrages sur les territoires et populations du Quercy et du Rouergue.

Il décrit dans Les Gabarriers de la Haute Vallée d’Òlt le processus de construction des anciennes gabarres marchandes, qui correspond point par point au protocole suivi par Marcel Tayrac pour la construction de sa barque.


- ‘De longues planches de chêne, d’une ou deux pièces au maximum, aussi larges que possible, formaient le fond plat (“sòla”) et les côtés (“espondièrs”).’ [Voir film à 01:09]

- ‘Elles étaient réunis par des corbeaux (“corbas” dits aussi “pèds de melet”) provenant de grosses branches appropriées de châtaignier.' [8:30]

- ‘L’avant (“musèl” ou “morre”) et l’arrière (“cachor”) étaient confectionnés avec deux épaisses pièces de bois (“tabòts”) où se rejoignaient les pièces du fond et des côtés.’ [13:50]

- ‘Le tout était assemblé par des chevilles et grosses pointes en fer forgées (“tachas”).' [16:30]

- ‘Les jointures étaient calfatées avec de la filasse de chanvre, parfois graissée, mélangée à de la mousse et recouverte de baguettes de saule refendues (“latas”) dénommées “jumberlats”. L’ensemble du bâtiment recevait une couche, éventuelle, de bitume saupoudré de sable fin.’ [20:00]




Repères contextuels : les Tayrac, la batellerie et la navigation fluviale en vallée du Lot

Pareis que lo darrier que partiguèt amb las gabarras, aquò se tròba lo grand-paire de Tairac de Sent-Chaupice”, “Il paraît que le dernier à être parti avec les gabarres, c’était le grand-père de Tayrac de Saint-Sulpice”. (Emile Combettes, propos recueillis pour l’ouvrage Conques / Al canton, Christian-Pierre Bedel, 1993).

Du Moyen Âge au XIXe siècle, la voie d’eau constitue un axe majeur de circulation de matériaux et de denrées dans le Quercy et le Rouergue, comme en témoigne le vieux proverbe occitan cité par Zéfir Bosc dans Les Gabarriers de la Haute Vallée d’Òlt : “De la Sant Marin a la Sant Jòrdi, l’aiga es merchanda.”

Les échanges fluviaux connaîtront des bonheurs divers au cours de ces huit siècles. Si, en 1669, l’intendant Claude Pellot écrit à Colbert :“Il est peu de rivières dont la navigation soit plus intéressante pour le commerce que celle du Lot ; c’est la seule voye par laquelle les provinces du Rouergue et du Haut Quercy puissent envoyer leurs productions à Bordeaux et se procurer en retour sels, épiceries et autres marchandises du commerce maritime”, l’interdiction par le Parlement de Bordeaux d’affréter dans son port les vins de Cahors et du Fel lui avait déjà nui au XVIe siècle.

Avec le développement de nouvelles techniques et moyens de transport, au milieu du XIXe siècle, c’est l’importation des bois étrangers qui sonnera le glas de ce commerce fluvial en concurrençant le merrain (bois de construction) devenu la principale marchandise transportée sur le Lot.


En 1927, le fleuve est déclassé comme voie navigable mais il continue à faire partie intégrante de la vie de ses riverains. Les embarcations encore largement utilisées dans la première moitié du XXe siècle pour la navigation locale descendent en droite ligne de celles construites pour les échanges commerciaux : “Les dernières barques de passage et de pêche, de 6 à 7 mètres, construites par Tayrac [...] sont les modèles en réduction de ces imposantes nefs, dénommées gabarres.” (Z. Bosc, Les Gabarriers de la Haute Vallée d’Òlt)


La batellerie est principalement une affaire de famille. Les Tayrac, Tairac en occitan, n’y font pas exception. “Les pus gròsses batelièrs qu’ai vistes, les Tairac, aquelses d’aquí, acquò’s totjorn estat de paire en enfant.” “Les plus gros bateliers que j’aie vus, les Tayrac, ceux-là, ça a toujours été de père en fils.” (Albert Valette, propos collectés pour l’ouvrage Entraygues / Al canton, Christian-Pierre Bedel, 1995)

Une barque construite par Marcel Tayrac est conservée au musée du Rouergue de Salles-la-Source.

Éléments bibliographiques

BOSC, Zefir, Les Gabarriers de la Haute Vallée d’Òlt, 1989 - Cote CIRDOC CAD 322.

BEDEL, Christian-Pierre, Entraygues, Enguialès-Le Fel, Espeyrac, Golinhac, Saint-Hippolyte / Al canton,  Mission départementale de la Culture, 1995 - Cote CIRDOC 392.482.9 BED.

BEDEL, Christian-Pierre, Conques, Grand-Vabre, Noailhac, Saint-Cyprien-sur-Dourdou, Saint-Félix-de-Lunel, Sénergues / Al canton, Mission départementale de la Culture, 1993 - Cote CIRDOC 392.482.9 BED.

BOMBAL, Eusèbe, La Haute Dordogne et ses gabariers, éditions Les Monédières, 1991 - Cote CIRDOC CAC 5894.

BOSC, Zefir, Cançonièr de la ribieira d’Òlt, 1995 - Cote CIRDOC 789.489 BOS.

BEAUDOUIN, François, Bateaux des fleuves de France, Editions de l’Estran, 1985 - Cote CIRDOC CAD 1047.

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Lenga d'Òc/Lengo d'Ò du 03/12/2009 : Anem òc a Carcassona
Gros, Lise (1943-....)
Reig, Philippe
Gravier, Michel
Paul, Claudine
Queyrel, Claude

Lenga d'òc/Lengo d'O est un magazine d'actualité en langue occitane. Présentée sur TéléMiroir, chaîne locale de la région nîmoise, par Lise Gros et Claudine Paul de 2007 à 2010, l'émission continue sur TVSud depuis la fusion de TéléMiroir et de 7L TV, chaîne montpellierraine.

 

Venues rejoindre les collections du CIRDOC-Mediatèca occitana en 2012, les archives des diffusions sur TéléMiroir seront progressivement mises en ligne sur Occitanica.

 

Sommaire de l'émission du 03/12/2009

[La manifestation Anèm Òc à Carcassonne le 24 septembre 2009]

 

- Présentation par Claudina Paul à Carcassonne

- 01:46 Interview de Ricard Cathala (Radio Lenga d'Òc Narbona)

- 03:30 Interview de Mans de Breish

- 05:41 Interview de Pèire Costa et Didier Amiel (Equipa nacionala d'Occitania de fotbòl)

- 09:28 Interview de Felip Martel (FELCO)

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L'Hérault dans les années 1950 : Capestang II
Cans, Michel

Film noir et blanc muet réalisé par Michel Cans à Capestang dans les années 1950. Fait partie de la collection "Les villages de l'Hérault dans les années 1950".

Conservation des films de Michel Cans au CIRDÒC :  

Le CIRDÒC conserve à Béziers l'ensemble des films tournés par Michel Cans dans une soixantaine de villages de l'Hérault dans les années 1950. Les bobines 16 mm d'origine ont été transférées d'abord sur VHS et ont été ensuite numérisées entre 2010 et 2011.  

L’ensemble du fonds et des droits qui y sont attachés ont été cédés par le réalisateur au CIDO entre 1989 et 1991. Le CIDO en a ensuite fait don au CIRDOC en 2000.  

Contenu des films de Michel Cans conservés au CIRDÒC :  

Occitanica va vous permettre progressivement d'accéder à l'ensemble de ce fonds audiovisuel en ligne. Ces documents illustrant la vie des villages de l'ouest héraultais ont acquis avec les années un intérêt patrimonial mais aussi sentimental pour les habitants de l'Hérault. Ces archives brutes sont des films non montés et muets, tournés la plupart du temps en noir et blanc.  

On peut y voir par exemple la Fête-Dieu à Cesseras, le carnaval à Laurens ou Boujan, la danse des treilles à Montblanc, la fête à Nissan, des Agathoises portant la coiffe, etc.

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L'Hérault dans les années 1950 : Capestang I
Cans, Michel

Film noir et blanc muet réalisé par Michel Cans à Capestang dans les années 1950. Fait partie de la collection "Les villages de l'Hérault dans les années 1950".

Conservation des films de Michel Cans au CIRDÒC :  

Le CIRDÒC conserve à Béziers l'ensemble des films tournés par Michel Cans dans une soixantaine de villages de l'Hérault dans les années 1950. Les bobines 16 mm d'origine ont été transférées d'abord sur VHS et ont été ensuite numérisées entre 2010 et 2011.  

L’ensemble du fonds et des droits qui y sont attachés ont été cédés par le réalisateur au CIDO entre 1989 et 1991. Le CIDO en a ensuite fait don au CIRDOC en 2000.  

Contenu des films de Michel Cans conservés au CIRDÒC :  

Occitanica va vous permettre progressivement d'accéder à l'ensemble de ce fonds audiovisuel en ligne. Ces documents illustrant la vie des villages de l'ouest héraultais ont acquis avec les années un intérêt patrimonial mais aussi sentimental pour les habitants de l'Hérault. Ces archives brutes sont des films non montés et muets, tournés la plupart du temps en noir et blanc.  

On peut y voir par exemple la Fête-Dieu à Cesseras, le carnaval à Laurens ou Boujan, la danse des treilles à Montblanc, la fête à Nissan, des Agathoises portant la coiffe, etc.

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L'Hérault dans les années 1950 : Bessan I
Cans, Michel

Film noir et blanc muet réalisé par Michel Cans à Bessan dans les années 1950. Fait partie de la collection de vidéos "Les villages de l'Hérault dans les années 1950".

Conservation des films de Michel Cans au CIRDÒC :  

Le CIRDÒC conserve à Béziers l'ensemble des films tournés par Michel Cans dans une soixantaine de villages de l'Hérault dans les années 1950. Les bobines 16 mm d'origine ont été transférées d'abord sur VHS et ont été ensuite numérisées entre 2010 et 2011.  

L’ensemble du fonds et des droits qui y sont attachés ont été cédés par le réalisateur au CIDO entre 1989 et 1991. Le CIDO en a ensuite fait don au CIRDOC en 2000.  

Contenu des films de Michel Cans conservés au CIRDÒC :  

Occitanica va vous permettre progressivement d'accéder à l'ensemble de ce fonds audiovisuel en ligne. Ces documents illustrant la vie des villages de l'ouest héraultais ont acquis avec les années un intérêt patrimonial mais aussi sentimental pour les habitants de l'Hérault. Ces archives brutes sont des films non montés et muets, tournés la plupart du temps en noir et blanc.  

On peut y voir par exemple la Fête-Dieu à Cesseras, le carnaval à Laurens ou Boujan, la danse des treilles à Montblanc, la fête à Nissan, des Agathoises portant la coiffe, etc.

Capture Bessan.JPG
L'Hérault dans les années 1950 : Bessan II
Cans, Michel

Film noir et blanc muet réalisé par Michel Cans à Bessan dans les années 1950. Fait partie de la collection de vidéos "Les villages de l'Hérault dans les années 1950".

Conservation des films de Michel Cans au CIRDÒC :  

Le CIRDÒC conserve à Béziers l'ensemble des films tournés par Michel Cans dans une soixantaine de villages de l'Hérault dans les années 1950. Les bobines 16 mm d'origine ont été transférées d'abord sur VHS et ont été ensuite numérisées entre 2010 et 2011.  

L’ensemble du fonds et des droits qui y sont attachés ont été cédés par le réalisateur au CIDO entre 1989 et 1991. Le CIDO en a ensuite fait don au CIRDOC en 2000.  

Contenu des films de Michel Cans conservés au CIRDÒC :  

Occitanica va vous permettre progressivement d'accéder à l'ensemble de ce fonds audiovisuel en ligne. Ces documents illustrant la vie des villages de l'ouest héraultais ont acquis avec les années un intérêt patrimonial mais aussi sentimental pour les habitants de l'Hérault. Ces archives brutes sont des films non montés et muets, tournés la plupart du temps en noir et blanc.  

On peut y voir par exemple la Fête-Dieu à Cesseras, le carnaval à Laurens ou Boujan, la danse des treilles à Montblanc, la fête à Nissan, des Agathoises portant la coiffe, etc.

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Sèm fòrça : les coulisses
Favel, Fabrice
François, Isabelle

Présentation des coulisses et répétitions de la pièce Sèm Fòrça créée le 16 mars 2012 au Théâtre des Franciscains de Béziers par la compagnie La Rampe – Tio. Écrite par le dramaturge languedocien Claude Alranq, cette “odyssée pataphyique", en revisitant les rituels populaires mettant notamment en scène les animaux totémiques comme le Camel de Béziers, se veut une réflexion sur la transmission et la transformation d’un patrimoine intangible et menacé. Le titre reprend la devise inscrite sur le Camel : “Sen fosso” [sic], “Nous sommes nombreux”.

 

« Paparine est la nouvelle et malicieuse domestique de Pépézuc, un des derniers fleurons d’une grande dynastie vigneronne. Lors de la Feria des vendanges, elle découvre que son maître a 2 visages : à jeun, il manifeste le réalisme patronal le plus redoutable ; ivre, il caresse les plus folles utopies. Mais voilà que les divinités de l’Olympe jettent leur dévolu sur le patrimoine pépézuquien pour y créer un village-vacances ! »

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L'Hérault dans les années 1950 : Villeneuve-lès-Béziers / Michel Cans
Cans, Michel
Film noir et blanc muet réalisé par Michel Cans à Villeneuve-lès-Béziers dans les années 1950, lors d'un défilé masqué. Fait partie de la collection "Les villages de l'Hérault dans les années 1950".

Conservation des films de Michel Cans au CIRDÒC :

Le CIRDÒC conserve à Béziers l'ensemble des films tournés par Michel Cans dans une soixantaine de villages de l'Hérault dans les années 1950. Les bobines 16 mm d'origine ont été transférées d'abord sur VHS et ont été ensuite numérisées entre 2010 et 2011.

 

L’ensemble du fonds et des droits qui y sont attachés ont été cédés par le réalisateur au CIDO entre 1989 et 1991. Le CIDO en a ensuite fait don au CIRDOC en 2000.

Contenu des films de Michel Cans conservés au CIRDÒC :

Occitanica va vous permettre progressivement d'accéder à l'ensemble de ce fonds audiovisuel en ligne. Ces documents illustrant la vie des villages de l'ouest héraultais ont acquis avec les années un intérêt patrimonial, mais aussi sentimental pour les habitants de l'Hérault. Ces archives brutes sont des films non montés et muets, tournés la plupart du temps en noir et blanc.

 

On peut y voir par exemple la Fête-Dieu à Cesseras, le carnaval à Laurens ou Boujan, la danse des treilles à Montblanc, la fête à Nissan, des Agathoises portant la coiffe, etc.

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L'Hérault dans les années 1950 : Saint-Pons-de-Thomières
Cans, Michel

Film noir et blanc muet réalisé par Michel Cans à Saint-Pons-de-Thomières dans les années 1950. Fait partie de la collection "Les villages de l'Hérault dans les années 1950".

Conservation des films de Michel Cans au CIRDÒC :

Le CIRDÒC conserve à Béziers l'ensemble des films tournés par Michel Cans dans une soixantaine de villages de l'Hérault dans les années 1950. Les bobines 16 mm d'origine ont été transférées d'abord sur VHS et ont été ensuite numérisées entre 2010 et 2011.

L’ensemble du fonds et des droits qui y sont attachés ont été cédés par le réalisateur au CIDO entre 1989 et 1991. Le CIDO en a ensuite fait don au CIRDOC en 2000.

Contenu des films de Michel Cans conservés au CIRDÒC :

Occitanica va vous permettre progressivement d'accéder à l'ensemble de ce fonds audiovisuel en ligne. Ces documents illustrant la vie des villages de l'ouest héraultais ont acquis avec les années un intérêt patrimonial, mais aussi sentimental pour les habitants de l'Hérault. Ces archives brutes sont des films non montés et muets, tournés la plupart du temps en noir et blanc.

On peut y voir par exemple la Fête-Dieu à Cesseras, le carnaval à Laurens ou Boujan, la danse des treilles à Montblanc, la fête à Nissan, des Agathoises portant la coiffe, etc.

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