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Era Val d'Arán de Jusèp Condò Sambeat
Condò Sambeat, Jusèp (1867-1919)
Copie mécanographique du poème Era Val d'Arán : ce poème fut primé lors des Jeux Floraux de Lérida en 1912.

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Er amuynayre de Jusèp Condò Sambeat
Condò Sambeat, Jusèp (1867-1919)
Copie mécanographique du poème Er amuynayre de 1913.
Ce poème est extrait d'une lecture publique que Sandaran prononça à l'Ateneu Obrièr de Barcelone (maison des associations, maison du peuple), le 23 octobre 1913.
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Et Pastú as Estrelles de Jusèp Condò Sambeat
Condò Sambeat, Jusèp (1867-1919)
Copie manuscrite du poème de M. Jusèp Condò Sambeat Et Pastú as Estrelles (1914). Ce poème remporta la médaille de bronze en 1914, décernée par Era Bouts dera Montanho.
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Quatre regles de gramática aranesa de Jusèp Condò Sambeat
Condò Sambeat, Jusèp (1867-1919)
Copie manuscrite de l’œuvre de M. Jusèp Condò Sambeat :  Quatre regles de gramática aranesa (1916).
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Era caritat : coumèdia aranésa de Jusèp Condò Sambeat
Condò Sambeat, Jusèp (1867-1919)
Copie manuscrite de l'oeuvre de M. Jusèp Condò Sambeat, 1914 : "Era Caritat"
Cette comédie aranaise est une œuvre en prose qui remporta la médaille d'argent aux Jeux floraux de la "Scolo deras Pirinéos" en 1914.
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1962 : les écrivains occitans s'engagent contre le « colonialisme intérieur »
Manifeste publié dans Los carbonièrs de La Sala, Vent terral, 1975, pp. 155-156 . La version présentée est la version manuscrite d’Yves Rouquette.
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Le patois d'Étroussat et la vie rurale / A. Ferrier
Ferrier, Aimé (1896-1975)
Tapuscrit accompagné de notes manuscrites d'une étude linguistique et ethnographique sur la commune d'Étroussat (Allier).

Aimé Ferrier (Auguste Antoine à l’état-civil) naît le 6 avril 1896 à Étroussat (Allier), le village où ses parents sont nés eux-aussi. Il grandit au hameau des Noirs, dans la propriété de son grand-père maternel Bonnamour, où son père travaille comme viticulteur pépiniériste.
Instituteur public, il enseigne après la Premère guerre dans les écoles normales de Varzy (Nièvre), de Périgueux (Dordogne), puis en 1935 à l’école primaire supérieure d’Ussel (Corrèze). En 1948 il devient directeur du collège de Cusset (Allier). Il se retire à Ébreuil, commune de naissance de son épouse Jeanne Pinel, où il décède le 25 mars 1975. Curieux de théorie des nombres, Aimé Ferrier reste célèbre pour avoir déterminé en 1951 le plus grand nombre premier alors connu. Ce nombre de 44 chiffres lui avait demandé deux mois de calcul à la main. L’usage des ordinateurs supplante peu après le calcul humain, ce qui fait d’Aimé Ferrier le dernier détenteur de ce record.
Aimé Ferrier rédige en 1939 une monographie sur le parler de son village natal, sa langue maternelle. Cette étude a été consultée et utilisée par plusieurs dialectologues universitaires. Simone Escoffier, auteur d’une thèse intitulée «La rencontre de la langue d’oïl, de la langue d’oc et du francoprovençal entre Loire et Allier » (1958), qualifie ce travail d'Aimé Ferrier de « monographie tout à fait remarquable ». Il est pourtant resté inédit.

Présentation par Jean-Michel Effantin

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Robert Lafont candidat des minorités nationales à l’élection présidentielle de 1974
CIRDOC - Institut occitan de cultura

Quelques jours après la mort du président Georges Pompidou, le 2 avril 1974, Robert Lafont doute dans une lettre datée du 8 avril de son projet de candidature à la présidence comme l'atteste le manuscrit ci-dessous retrouvé dans ses archives.  
Pourtant il se présenta mais sa candidature fut invalidée par le Conseil constitutionnel. Le motif officiellement allégué a été que sur 114 signatures présentées, 18 émanaient d'élus qui avaient déjà signé pour d'autres candidats. 
Sont ici rassemblées en pièce annexe les attestations sur l'honneur de différents maires qui déclarent n'avoir donné aucune autre signature. Nous avons sélectionné  quelques exemples de lettres où les maires soulignent leurs convictions vis-à-vis du projet politique de Lafont.
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Chansonnier sur l'affaire Védrines
En 1912, à l'occasion d'élections législatives extraordinaires dans la circonscription de Limoux, l'aviateur Jules Védrines se retrouve au cœur d'un scandale politique dont on parle encore et qui a inspiré une chanson en occitan aujourd'hui encore connue et chantée.

Cette chanson dite « Chanson de Védrines » a été écrite sur l’air de la Valse Brune (musique de Georges Krier). Comme beaucoup d’autres chansons de l’époque les paroles étaient posées sur des musiques connues du plus grand nombre (airs d’opérettes, danses, hymne national etc.).

Plusieurs sources attestent de l’écriture des paroles de cette chanson au moment des faits en mars 1912. En effet, un article du Télégramme daté du 21 mars 1912 ainsi qu’un article de L’Éclair du 22 mars 1912 donnent les deux premiers couplets et les deux premiers refrains de la chanson.

Le chansonnier que nous avons pu récupérer et numériser chez M. Vives, héritier d’un cafetier limouxin, n’est quant à lui pas daté mais il n’est composé que de chansons en l’honneur de Jules Védrines. La version donnée dans celui-ci comprend un troisième couplet et un troisième refrain. Ce chansonnier contient trente-et-une chansons dont cinq sont en occitan (y compris la « Chanson de Védrines »). Il est anonyme mais les différences d'écriture laissent penser qu'il y a plusieurs auteurs.
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Dictionnaire populaire agenais-français par P. Émile Boudon
Boudon, Pierre-Émile (1858−1937)

Pierre-Emile Boudon est connu pour son dictionnaire manuscrit  Vocabulaire de la langue gasconne : dictionnaire populaire agenais-français et son livre édité chez H. Welter : Manuel élémentaire de linguistique pour l'enseignement du français par les idiomes locaux.
Dans ce dictionnaire Agenais-Français, seuls les rectos constituent la version finale, des brouillons antérieurs figurent sur certains versos. Le dictionnaire s'interrompt au mot « tragic» bien que les lettres U, Y et Z soient annoncées. Certaines pages portent l'estampille « FELIBRIGE ESCOLO DE JANSEMIN - AGEN ».

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