Occitania que t’en vas, titre du premier morceau, donne d’entrée le ton. Comme dans Electroch’oc, la poésie des troubadours a été savamment intégrée aux rythmes électroniques - occitania se conjugue avec drum & bass et trip-hop - , autre exemple réussi de la façon dont le nouveau folk italien s’émancipe sans honte ni faute de goût en se frottant à la technologie numérique actuelle.