Poème du XXème siècle, recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours de langue romane.
L'auteur utilise parfois le pseudonyme "L'amatur"
Ce poème décrit le clocher de l'église de Montblanc (Hérault). Il est rédigé en quatre exemplaires, dont un est une traduction française. A ce poème est joint une carte postale représentant le clocher en question.
Ce poème du XXe siècle a été recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours de langue romane.
Dénouement de la tragédie "Catarino de Sieno davans lou papo Gregori XI" d'Alfred Dagan
Ce cahier contient le manuscrit d'un texte du XIXème siècle, rédigé par Alfred Dagan (1858-1943), à l'occasion du concours de poésie de langue d'oc, organisé par la Société Archéologique de Béziers. Le numéro 1 sur la couverture semble indiquer que ce texte a remporté le premier prix. Il s'agit du dénouement d'une pièce de théâtre intitulé "Lou trioumphe de la Vilo Eternalo", et qui semble être restée inédite. Le texte est en occitan provençal avec sa traduction française en regard.
Poème du XXe siècle, recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours de langue romane.
Poème recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours de langue romane.
Devise : "Véne dins lous jardis de flora, Ensacha depoudre dentra."
Cité dans le Bulletin de la Société Archéologique de Béziers, 1894.
Le poème est dédié à la Muse et envoyé par Joseph Soulet au concours littéraire de la Société Archéologique de Béziers en 1894.
Pour en savoir plus sur Joseph Soulet : cliquez ici
Poème dédié à l'amitié, envoyé par Joseph Soulet au concours littéraire de la Société Archéologique de Béziers en 1894.
Ce poème est curieusement annoncé comme étant rédigé en dialecte montpelliérain et non sétois, pourtant le dialecte original de l'auteur.
Poème du XIXe siècle, recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours de langue romane.
Devise : "I'a pas res de milhou que la doussa amistat, un ome sans amies, viéu pas mai qu'a mitat"
Cité dans le Bulletin de la Société Archéologique de Béziers, 1894
Pour en savoir plus sur Joseph Soulet : cliquez ici
Las houros perdudos est un manuscrit inédit du « pays des Vans », ancienne région attachée aujourd'hui à l'Uzégeois, rédigé vers la fin du XVIIe siècle.
Le CIRDÒC conserve une microforme de ce recueil qui semble aujourd'hui perdu. Néanmoins, cette copie, à l'instar du document source, est incomplète, le manuscrit original étant amputé de son début, de sa fin ainsi que de plusieurs feuillets de sa partie centrale. La pagination originale pouvant être suivie selon les indications présentes dans la partie supérieure centrale de chaque feuillet.
Le recueil est néanmoins suffisament complet pour demeurer compréhensible.
À manière d'un Jacques Roudil à Montpellier, son contemporain, le « sieur Martel » est un fervent défenseur de la cause locale. Il vante ainsi haut et fort les mérites de l'Uzégeois, notamment de la ville thermale naissante de Vals-les-Bains ou encore du château de Chambonas.
Bien qu'on puisse le qualifier de chansonnier « léger » presque carnavalesque, le texte n'en oublie pas pour autant les grandes questions politiques et religieuses de son temps.
Poème du XIXème siècle, recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours de langue romane.
Cité dans le Bulletin de la Société Archéologique de Béziers, 1891.
Ce recueil contient deux pièces.
Dans ce poème de trois pages écrit en 1914 Louis Bonfils expose le mal-être de son vécu de soldat, les absurdités et les paradoxes auxquels lui et tous les combattants sont alors confrontés quotidiennement sur le front.
Ce poème a été recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours de langue romane.
Devise : "Pax votis".
Première partie du dictionnaire manuscrit occitan-français redigé par l'abbé Augustin Bonet au cours du XVIIIe siècle.
Son authentification a été réalisée par Claire Torreilles et François Pugnière.
Cette partie du dictionnaire, réalisée en vue d'une édition, est conservée par les Archives départementales du Gard.
La seconde partie du manuscrit, conservée par la Bibliothèque du Carré d'Art à Nîmes, est accessible sous ce lien.
Lo Tribunal Carniboro de Toulouso es un jutjament de carnaval en un acte redigit per Pierre Trousseu en 1867.
Sabèm pas grand causa d'aquel autor, levat qu'es estat cònsol de la comuna de Cassanhas dins las Pirenèas-Orientalas occitanofònas entre 1892 e 1896.
Lo tèxte met en scèna un jutjament ont l'acusat, Bonifaço Coutoun, se vei reprochar d'èsser somés a sa femna, emai d'èsser batut per ela, çò que comprometriá la « dignitat de l'òme » segon lo tribunal.
Coma dins totes los jutjaments d'aquela epòca los dobles sens e las ambigüitats son nombrosas qu'alimentan lo registre comic sus lo qual lo tèxte es bastit.
Lo jutjament s'acaba sus la declaracion de culpabilitat de l'acusat, condemnat a se deure passejar sus l'esquina d'un ase per las carrièras de la vila lo jorn del dimècres de las Cendres que marca la debuta del Quaresma, periòde de june e d'austeritat.
La significacion de l'apellacion « tribunal carniboro » es incèrta, mentre qu'un grand nombre de tèxtes associats al carnaval de Tolosa del sègle XIX ne pòrten la mencion. Mai d'una ipotèsi, probablament complementàrias, pòdon èsser retengudas per o explicar.
L'apelacion « carniboro » poiriá èsser interpretada literalament dins son sens de « manjaire de carn », lo tribunal marcariá aital una oposicion amb las valors de june seguit per lo Quaresma.
I podèm tanben veire un sens pròche de lo de « maselièr », ont lo ròtle d'aquel tribunal folastre seriá pas que de jutjar colpables totes los acusats que i vendrián èsser presentats.