Sourd-muet et borgne de naissance Pierre Avezard exerce des activités de vacher et de bûcheron dans des fermes du Loiret. Dès 1947 (à 28 ans), il commença la réalisation de son œuvre la plus connue, le « manège de Petit Pierre » à la Coinche, la ferme où il s’installe définitivement.
Nous sommes en présence d’un long poème qui s’écoute, un monologue conté à deux voix où se mêlent la grande histoire et la petite histoire : Pierre Avezard, dit « Petit Pierre » face au monde qui s’emballe : les guerres, les crises, la modernité …Un texte à deux voix, deux langues côte à côte, le français et l’occitan.
Théâtre La Vista - Montpellier (34)
Sourd-muet et borgne de naissance Pierre Avezard exerce des activités de vacher et de bûcheron dans des fermes du Loiret. Dès 1947 (à 28 ans), il commença la réalisation de son œuvre la plus connue, le « manège de Petit Pierre » à la Coinche, la ferme où il s’installe définitivement.
Nous sommes en présence d’un long poème qui s’écoute, un monologue conté à deux voix où se mêlent la grande histoire et la petite histoire : Pierre Avezard, dit « Petit Pierre » face au monde qui s’emballe : les guerres, les crises, la modernité …Un texte à deux voix, deux langues côte à côte, le français et l’occitan.
Théâtre La Vista - Montpellier (34)
Sourd-muet et borgne de naissance Pierre Avezard exerce des activités de vacher et de bûcheron dans des fermes du Loiret. Dès 1947 (à 28 ans), il commença la réalisation de son œuvre la plus connue, le « manège de Petit Pierre » à la Coinche, la ferme où il s’installe définitivement.
Nous sommes en présence d’un long poème qui s’écoute, un monologue conté à deux voix où se mêlent la grande histoire et la petite histoire : Pierre Avezard, dit « Petit Pierre » face au monde qui s’emballe : les guerres, les crises, la modernité …Un texte à deux voix, deux langues côte à côte, le français et l’occitan.
Théâtre La Vista - Montpellier (34)
D’après « Petit Pierre » une pièce de Suzanne Lebeau et « Le Manège de Petit Pierre » de Michel Piquemal, traduit en occitan par Sèrgi Carles.
Sourd-muet et borgne de naissance Pierre Avezard exerce des activités de vacher et de bûcheron dans des fermes du Loiret. Dès 1947 (à 28 ans), il commença la réalisation de son œuvre la plus connue, le « manège de Petit Pierre » à la Coinche, la ferme où il s’installe définitivement.
Nous sommes en présence d’un long poème qui s’écoute, un monologue conté à deux voix où se mêlent la grande histoire et la petite histoire : Pierre Avezard, dit « Petit Pierre » face au monde qui s’emballe : les guerres, les crises, la modernité …Un texte à deux voix, deux langues côte à côte, le français et l’occitan.
Mise en scène de Jean-Louis ROQUEPLAN
Avec : Gilles BUONOMO, Yves DURAND
Conception, adaptation du spectacle : Gilles Buonomo et Yves Durand
Composition musicale : Emmanuel Valeur
Marionnette : Jérémie Wagner
Costumes : Suan Czepczynsky
Décoration et Accessoires : Jean Michel Halbin
Visuel, vidéo : Fabrice Favel
Découvrir le spectacle en quelques images : ICI.
Autour du spectacle « Pèire Petit », différents thèmes sont abordés, notamment par une mise en pratique pluridisciplinaire et transversale. Ce spectacle est un point de départ : s’interroger en s’amusant et s’impliquer individuellement et collectivement. Les thèmes et notions abordés par l’incroyable histoire de « Pèire Petit », aident à grandir, à s’épanouir, à mieux vivre ensemble : la différence, la tolérance, l’ouvrage artistique (art brut, art des simples, recyclage…), les contextes historiques et géographiques (les 2 guerres mondiales, la naissance de la société de consommation, l’industrialisation…) , l’ingénierie mécanique…
Découvrir le dossier pédagogiques sur le site de la Rampe-TIO.
La Rampe Tio - 42 rue Adam de Craponne 34000 Montpellier - Tél. : 04 67 58 30 19
NB : Yan Lespoux remplace Christian Coulon, initialement prévu et retenu par des obligations familiales
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, une sorte de crise du leadership s’ouvre entre un Félibrige englué dans lo règlement intérieur de problèmes liés à son attitude pendant la guerre et un occitanisme qui, à travers la fondation de l’Institut d’Études Occitanes, se veut conquérant. Ainsi ressurgissent des débats anciens, en particulier par rapport à la question de la graphie, qui prennent une dimension inédite e creusent un large fossé entre occitanisme et Félibrige.
Nous parlerons de ces débats qui traînent de 1945 jusqu’à la fin des années 1950 en insistant sur trois étapes importantes :
- la parution de La branche des oiseaux, de Sully-André Peyre,
- les élections au Consistoire du Félibrige de 1951 e 1952
- Le centenaire de la fondation du Félibrige.
Boby lo contejaire / Boby le conteur : Robert Pastor
Spectacle pour enfants de 4 à 12 ans
Durée : 1h
Spectacle en français ou en occitan.
Contact:
Adresse : Robert PASTOR - 650 chemin de la Doumergarie - 34700 Saint-Étienne de Gourgas
Tél : 0611944056 / 0467446978
Mail : bobaire@orange.fr
Site : https://bobylocontejaire.jimdofree.com/
Monica Sarrasin, D’entre tant, quauques uns, Lo Chamin de Sent Jaume.
Notre monde, notre famille, les nôtres, chez nous… Souvenirs, témoignages, un bon morceau de vie, juste une parcelle, un événement, le quotidien, la personne, la maison et la nation, tout ce qui fait la mémoire de l’homme (mais pourquoi pas le chien, ou la vache !), de belle manière, ou de petite façon, ce qui finit, et qui finit bien, par faire la mémoire d’un pays, Nòstre monde en tricotera des livres, même si ce ne sont que de petits livres, pourvu qu’ils aient le ton juste, qu’ils soient nécessaires. En voici le huitième volume
Marinette Mazoyer, Subre lo pont, lo pont de Ròchabèla, et autres récits autobiographiques.
Comme Monica Sarrasin, Marineta Mazoyer a écrit plusieurs volumes de récits autobiographiques, depuis le premier volume, ainsi présenté :
« J’ai voulu écrire [mes] souvenirs […] en occitan […] C’est peut-être parce que, ayant découvert très tard la langue qui aurait pu, qui aurait dû être la mienne, j’ai du temps à rattraper. J’ai raconté mon quartier, profondément lié à la nature, à un territoire et aux ouvriers qui y habitaient. J’ai fait revivre des souvenirs qui m’ont fait comprendre l’importance de chaque fait, de chaque personne, de chaque lieu qui ont pétri ma personnalité depuis l’enfance. Je me suis rendu compte que la langue occitane y était plus présente que je le pensais, même si elle m’avait été cachée […] J’ai dû tout réapprendre… »
La Provence avait ses légendes, ses histoires, ses peurs de l’inconnu, de la différence, de celui qui est un peu étrange, qui pense autrement. On vient aussi à la rencontre des fées, des sorcières, les lutins de Provence.
Pendant les années 80, Jean Luc Domenge a recueilli des témoignages sur un large territoire entre Var et Alpes de Haute Provence, mais aussi dans les contrées des Alpes Italiennes, le pays Niçois… Un recoupage d’informations, d’indications, de mémoire collective et familiale qui a donné naissance à cet ouvrage de 390 pages.