[Lettres de Frédéric Mistral à Joséphin Pélandan : 8 mars 1888 et 13 février 1897 ] : ICI
Lettre de Frédéric Mistral à Stéphane Mallarmé : ICI
Là, aux côtés de sa jeune épouse, Marie Louise Aimée Rivière, Frédéric Mistral reçoit proches et personnalités de son temps, et compose la seconde partie de son œuvre.
Portraits, sculptures, photographies constituent les riches collections de cette demeure classée aux Monuments Historiques depuis l'arrêté du 31 juillet 1930.
Les collections sont réparties en différents ensembles :
- Fonds manuscrits non administratifs postérieurs à 1790 : fonds dans lequel figure l'abondante correspondance de Mistral ainsi que des manuscrits autographes originaux, de la documentation personnelle...
- Fonds imprimés XIXe-XXIe siècles : il s'agit là de la bibliothèque personnelle des époux Mistral.
- Fonds de périodiques anciens
- Fonds iconographique
- Fonds musicaux
- Gravures, estampes et dessins
- Objets et œuvres d'art
La BMVR, Bibliothèque de Marseille à Vocation Régionale, a pour but de favoriser l’accès du public le plus large à l’écrit, à l’image, au son et aux technologies de l’information et de la communication.
Historiquement, la bibliothèque de Marseille est l'une de ces bibliothèques publiques nées des confiscations révolutionnaires. À sa fondation en 1799, elle s'installe dans l'ancien couvent des Bernardines. Outres les ouvrages confisqués, ses premières collections sont complétées à partir de 1792 par les bibliothèques des émigrés et la bibliothèque de l'Académie de Marseille.
Les collections n'ont dès lors de cesse de s'enrichir, connaissant au XIXe siècle un accroissement spectaculaire. C'est à cette même époque que débute une vaste opération d'inventaire des fonds et qu'est parallèlement créé le fonds Provence, aujourd’hui noyau du département de la Documentation régionale. Outre les fonds patrimoniaux conservés par les Fonds rares et précieux, la Documentation Régionale conserve conformément à la loi tous les documents de contenu régional, quelque soit leur domaine thématique, reçus au titre du dépôt légal imprimeur, ainsi que les document acquis, qu'ils soient d'étude ou grand public, afin de constituer une véritable mémoire locale.
La BMVR se compose aujourd'hui de 8 bibliothèques municipales, d'un service pour les collectivités, et de 9 bibliothèques associées. Au sein de ce réseau, l'Alcazar est un des Pôles associés de la BNF, et dépositaire du dépôt légal imprimeur en région PACA. Ce dernier est une précieuse source de constitution de nos collections. Elle participe à un réseau de conservation partagée, axé sur les périodiques (régionaux et non régionaux) et les fonds jeunesse, coordonné par l'Agence Régionale du Livre).
Si la plupart des bibliothèques marseillaises proposent à leurs lecteurs des ouvrages et périodiques courant relatifs à la langues et à la culture occitanes, c'est auprès de l'Alcazar que sont déposés les principaux fonds patrimoniaux.
La Bibliothèque de l'Alcazar dispose de fonds en langue d'oc et sur les langues régionales, d'un point de vue linguistique et littéraire. Ils concernent essentiellement le département Patrimoine et dans une moindre mesure, les départements Jeunesse et Musique.
Le département Patrimoine de l'Alcazar regroupe deux services :
Le Fonds ancien
Il s'agit de documents datant d'avant le 20e siècle, fonds contemporains tels que les Fonds littéraires méditerranées, divers fonds iconographiques, etc. Ces fonds sont conservés en réserve, consultables sur place, sur microformes et supports numérises.
Parmi ces fonds, il existe des monographies et des périodiques en langue provençale et occitane. Les périodiques ont été catalogués informatiquement, contrairement aux monographies qui seront progressivement traitées.
Le Fonds Provence
Il offre deux types de fonds, à partir du 20e siècle :
- un fonds conservé en magasin, consultable sur place, par tout type de public (grand public et chercheurs).
- un fonds en libre-accès, composé d'usuels à consulter sur place, et de documents empruntables.
La plus grande partie des documents conservés en magasin recouvre les domaines suivants : histoire locale, histoire des communautés et de l'immigration, géographie et guides ; langues, littérature et arts ; folklore, cultures locales, communautaires et interculturelles ; sociologie et politique. Les secteurs scientifiques et économiques sont peu représentés, à l'image de l'offre de l'édition régionale, peu représentative dans ces domaines.
Figure dans ce fonds, des ouvrages rares, dont le premier livre imprimé à Marseille en 1595, Obros et rimos prouvenssalos, écrit en provençal par Bellaud de la Bellaudière. ( à découvrir en ligne sur Occitanica : aquí, l'édition de 1884 par Burnand, de Mireille de Mistra.
Les départements Jeunesse et Musique
1. Le département Jeunesse présente quelques dizaines de documents en langue provençale, occitane et corse (dictionnaires, albums, contes).
2. Le département musique propose des musiques traditionnelles au sein des regroupements suivants : Corse, Languedoc, Provence. Par contre, des groupes utilisant le provençal, tels que Massilia Sound System, ne sont pas classés en musique traditionnelle, et donc non repérables par les nons initiés. La mention de langue n'apparaît pas à ce jour dans les notices informatiques.
La revue l'Aiòli, fondée en janvier 1891 par Frédéric Mistral, a fait l'objet d'une importante campagne de numérisation.
Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publiques de France, tome XV, par Albanès (1-1656). Supplément, tome XLII par H. Barré (1657-1671).
Catalogue en ligne des Bibliothèques de Marseille.
CCFr Manuscrits
CCFr Manuscrits PALME : Répertoire national des manuscrits littéraires français du XXe siècle
Enluminures
Sudoc PS
CDrap : Répertoire d'articles de périodiques dépouillés par des bibliothèques
Ainsi, l'Académie s'efforce-t-elle, depuis 1726, de transmettre un message de culture scientifique, littéraire et artistique. Elle reste profondément attachée à sa mission : défendre la langue française et promouvoir le rayonnement de l'image de Marseille et de la Provence.
À ce titre, l'Académie de Marseille conserve une précieuse bibliothèque, riche de nombreux ouvrages anciens, pour partie datant du XVIIIe siècle, ainsi que des archives.
Le Museon Arlaten – "Musée arlésien" en français - inauguré en 1899, est l'un des plus anciens musées régionaux d'ethnographie. Ce musée d'un genre nouveau, dans l'esprit du Musée d'Ethnographie du Trocadéro, a été créé à l'initiative de l'écrivain provençal Frédéric Mistral dans le contexte de la "renaissance d'oc". Il s'inscrit ainsi dans les perspectives du Félibrige, mouvement littéraire et culturel œuvrant depuis 1854 pour la sauvegarde de la langue d'oc (ou occitan) et des cultures traditionnelles, en particulier provençales.
Un projet de musée-bibliothèque dédié aux arts, à l'histoire, à la littérature et à l'ethnographie de la Provence est envisagé dès 1895 par Frédéric Mistral dans la revue félibréenne L'Aiòli. Un an plus tard, le projet se précise : il s'agit désormais de créer en Arles, un musée ethnographique de la Provence rhodanienne, dans l'esprit du nouveau Musée national d'ethnographie du Trocadero inauguré à Paris en 1878 et des collectes de folklore régional lancées pour l'Exposition universelle de 1900. Le médecin Émile Marignan, collaborateur du Musée du Trocadéro, soutient le projet mistralien et lui donne des bases scientifiques avec la publication en 1896 de l'Instruction pour la récolte des objets d’ethnographie du pays arlésien.
Au milieu des années 1890, après avoir œuvré à une renaissance littéraire en langue d'oc, à partir de la parution de Mirèio (1859), long poème épique en provençal qui rencontra un grand succès, parallèlement à une restauration linguistique marquée par la structuration du Félibrige (nouveaux statuts de 1878) et la publication du Tresor dóu Felibrige, monumental"Dictionnaire provençal-français embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne" (1878-1886), Frédéric Mistral appelle les félibres à se consacrer à la constitution de collections d'objets ethnographiques. Le musée qui les présenterait doit participer à l'affirmation des singularités de la culture provençale. La création du musée "félibréen" sera la grande œuvre de la fin de la vie de Frédéric Mistral, le définissant comme un "poème en action". Le musée ethnographique entend glorifier les us et coutumes qui font l'identité de la Provence traditionelle, rurale et artisanale, à l'heure des grandes transformations de la fin du XIXe siècle. Mistral conçoit le musée comme un outil de transmission, une "œuvre d'intérêt public, une œuvre de haut enseignement et d'éducation populaire, une œuvre en un mot patriotique." En 1896 est institué un premier Comité du Museon Arlaten destiné à aider Mistral et Marignan dans leur projet de constitution du musée.
Les premières collections sont issues de collectes, d'achats pour les objets encore en usage, de photographies ou de moulages, fac-simile et maquettes en modèle réduit pour les pièces trop importantes ou ne pouvant être intégrées aux collections du futur musée.
Le succès de la campagne de collecte auprès des Provençaux est tel que le musée est ouvert au public dès 1899 dans un local situé au-dessus du tribunal de commerce d'Arles, mis à disposition par le département des Bouches-du-Rhône, auquel le Comité remet les collections rassemblées.
L'accroissement rapide des collections rend toutefois très tôt nécessaire de trouver un nouvel espace pour les accueillir. La reconnaissance de l'œuvre de Mistral par l'attribution du prix Nobel de littérature en 1904, qu'accompagne une récompense financière d'une hauteur de 100'000 francs, permet à Frédéric Mistral de financer le déménagement du Museon Arlaten dans les locaux de l'ancien collège d'Arles, l'Hôtel Laval-Castellane au 29 rue de la République, où il s'installe définitivement.
Le 29 mai 1909, à l'occasion des commémorations du cinquantenaire de Mirèio, le Museon Arlaten nouvellement installé est inauguré. Dès lors le musée ne cesse de voir s'accroître ses collections sous l'égide du Comité du Museon Arlaten et des directeurs successifs. Fernand Benoît, qui prend la tête du musée à la mort de Mistral, amorce une nouvelle phase de collecte raisonnée dans les années 1930, intégrant les évolutions de l'ethnographie.
Les collections du Museon Arlaten comptent aujourd'hui près de 35'000 objets, documents ethnographiques ou relatifs au domaine des Beaux-Arts et des sciences. Jusqu'en l'an 2000, le Museon arlaten fut cogéré par le Comité et de Conseil général des Bouches-du-Rhône. Dès 1991, le conseil général met en place une politique de conservation. En 2000 l'ensemble du Musée est départementalisé. Un grand projet de rénovation et de transformation muséographique est lancé en 2005.
Dès la période de préfiguration, les documents écrits provençaux font partie des œuvres collectées. Un premier fonds documentaire se constitue rapidement appelé "bibliothèque ethnographique", "bibliothèque félibréenne" ou "bibliothèques provençale". Les ouvrages imprimés, dont certains sont intégrés à la muséographie et placés sous vitrine, ainsi que l'abondance des citations littéraires et proverbes populaires en provençal figurant sur les étiquette, contribuent au projet renaissantiste félibréen par l'affirmation d'une langue et d'une littérature comme indissociables de la survie de la culture provençale.
Ce fonds documentaire est constitué de dons provenant de la bibliothèque du fondateur Frédéric Mistral ou des auteurs eux-mêmes. À la mort de Frédéric Mistral en 1914, la bibliothèque du musée contient un premier fonds de 6'500 volumes, complétés en 1920 par 3'000 volumes du legs de Paul Mariéton.
Les fonds mobiliers concernent pour la majorité la Provence rhodanienne et s'organisent autour de différents ensembles (textile, arts graphiques, bois, céramique et verre, naturalia, numismatique, etc.). Parmi les collections textiles, figurent les riches collections de costumes provençaux.
Note : Ne sont signalées ici que les collections d'intérêt documentaire. Pour une description plus complète des collections du Museon Arlaten : aquí.
* Collections graphiques : œuvres de Léo Lelée
Parmi les collections d'art graphique, le Museon Arlaten conserve une importante collection de dessins, gravures et peintures de l'illustrateur Léo Lelée (Lépold Lelée, 1872-1947), "l'imagier du Félibrige", qui contribua à de nombreux livres de littérature provençale, de folklore régional, d'affiches, etc. Léo Lelée popularisa le motif du costume de l'arlésienne et de la danse de la farandole.
* Collections documentaires :
Depuis 2013 l'ensemble de la documentation et des fonds documentaires patrimoniaux ont été transférés au Centre d'Etude, de Restauration et de Conservation des Œuvres (CERCO), lieu de conservation et de gestion des collections, des bibliothèques et des archives.
* Documentation contemporaine
Le fonds de documentation contemporaine (3'000 volumes) documente les collections du Museon Arlaten, et fait état des recherches en sciences humaines, plus particulièrement en ethnologie, muséologie, histoire.
* Fonds patrimoniaux
Un riche fonds d'imprimés et de documentation générale sur la Provence : environ 14'000 volumes issus des collectes et de dons de Frédéric Mistral et du Comité, du legs de Paul Mariéton (environ 3'000 volumes entrés en 1920). Il contient en particulier un riche fonds de 700 titres de périodiques, en particulier de périodiques provençaux.
Des fonds d'archives privées (60 mètres linéaires)
fonds Charles Galtier (1913-2004).
fonds Elzéar (= Auzias), Marius et René Jouveau.
fonds Claude Julian : Claude Julian, membre du Comité du Museon Arlaten a légué à sa disparition en 2004 plus de 4'000 volumes provenant de la bibliothèque de la famille Julian ainsi qu'un fonds d'archives privées (20 mètres linéaires). La bibliothèque, constituée par trois générations d'érudits est composée principalement d'ouvrages d'étude et d'enseignement de la langue (française, latine et langue d'oc, surtout dans sa composante provençale), d'histoire régionale, d'histoire de l'art, de littérature française et provençale.
fonds de la revue L’Aïoli.
* Photothèque
La photothèque du Museon Arlaten conserve plus de 35'000 images sur différents supports :
10 000 argentiques
25 000 numériques en basse et haute définition
4 000 tirages papiers modernes
Ces images représentent toutes les collections du Museon Arlaten mais aussi les évènements culturels liés au musée (expositions, animations…) La principale mission de la photothèque est de valoriser et diffuser ce fonds d'images. Elles peuvent être prêtées aux chercheurs, aux institutions, aux éditeurs et au grand public, après acceptation d’une demande motivée auprès de la Direction du musée, et sous conditions (voir site de l'établissement).
Fonds Dominique Romand : Parmi les collections remarquables, le Museon Arlaten conserve un important fonds de photographies sur la Provence de la seconde moitié du XIXe siècle réalisées par le phtotographe arlésien Dominique Romand (1824-1911).
Bibliothèque municipale
12, avenue Georges Pompidou
24000 Périgueux
Tél : 05 53 45 65 45
Fax: 05 53 45 65 49
Site Internet : http://www.perigueux-bibliotheque.fr/
Le fonds patrimonial de la bibliothèque de Périgueux tire son origine des confiscations révolutionnaires. Elles furent rassemblées dans la bibliothèque du district qui devint, en 1795, la bibliothèque de l'École centrale du département puis, après la suppression de ces écoles en 1804, la bibliothèque municipale de Périgueux. Depuis cette époque, le fonds n'a cessé d'être enrichi par le travail des bibliothécaires qui s'y succédèrent et par des dons significatifs comme les fonds Lapeyre, Saint-Astier ou Marius Lévy.
Les collections patrimoniales de la Bibliothèque municipale de Périgueux connaissent un accroissement continu, en particulier le fonds Périgord, présentant une grande variété de documents, dont un grand nombre touchent à la thématique occitane. De nombreuses monographies imprimées, parmi lesquelles nous trouvons les œuvres des poètes et auteurs classiques occitans : Frédéric Mistral, Marcelle Delpastre, Bernard Manciet, Yves Rouquette…, une collection présentant une production variée et dans les différents dialectes de la langue, des enregistrements sonores de groupes musicaux occitans, ainsi que des méthodes d'apprentissage de la langue et des textes littéraires lus, des titres de presse, vivants ou morts. A ces ouvrages présents en magasin et dans le fonds Périgord, s’ajoutent quelques pièces plus anciennes contenues dans le fonds ancien.
Les fonds Léon Lapeyre et Jules Pellisson contiennent quelques pièces en occitan.
Consulter l'inventaire du fonds Léon Lapeyre
Consulter l'inventaire du fonds Jules Pellisson
Archives départementales des Hautes-Pyrénées
5 rue des Ursulines
BP 1343
65013 TARBES Cedex 9
Tél: 05 62 56 78 65
Site internet: www.cg65.fr
Les archives administratives
Les Archives départementales assurent, au nom de l’Etat, le contrôle scientifique et technique des archives publiques produites dans le département des Hautes-Pyrénées :
- archives des services et établissements publics de l’Etat : préfecture, tribunaux, services déconcentrés, Parc national des Pyrénées, etc. ;
- archives des services et établissements publics du Conseil général ;
- minutes et répertoires des officiers publics et ministériels, et tout particulièrement des notaires ;
- archives des communes.
Elles recueillent les archives administratives au terme de leur durée d’utilité administrative.
Les minutes et répertoires des notaires sont versés à l’issue d’un délai de 75 ans.
Pour les communes de moins de 2 000 habitants, le dépôt des archives de plus de 100 ans (150 ans pour l’état civil) est rendu obligatoire par la loi (Code du patrimoine, livre II sur les archives).
Dépositaires des archives de l’Ancien Régime, elles conservent des documents dont certains datent de neuf siècles.
Les archives privées
Archives familiales, d’entreprises, d’associations, d’architectes… ; en plusieurs tomes ou en quelques feuillets…, tout intéresse les Archives départementales.
Ces dernières peuvent acquérir les documents par don, dépôt légal ou achat.
La bibliothèque de Miquèu Camelat
Ce fonds est entré aux Archives départementales en 1991 par don de Mme Béline Vammale, fille de Miquèu de Camélat.
Il s'agit en partie des ouvrages ayant appartenu à Miquèu de Camélat, le reste de la bibliothèque se trouvant au CIRDÒC à Béziers.
La bibliothèque a été classée comme suit :
Religion (écriture, théologie, dévotion, histoire religieuse, …) : 24 titres
Littératures (textes et études littéraires):
- Littérature antique : 43 titres
- Littérature allemande: 11 titres
- Littérature anglo-saxone : 9 titres
- Littérature hispanique : 14 titres
- Littérature italienne : 19 titres
- Littérature polonaise : 1 titre
- Littérature russe : 2 titres
- Littérature scandinave : 1 titre
- Littérature française :
textes : 65 titres
études littéraires : 9 titres
art dramatique et lyrique : 2 titres
- Langues et littératures régionales : 8 titres
- Sciences et recherche : 1 titre
- Economie politique : 1 titre
- Histoire : 13 titres
- Voyages. Civilisations étrangères : 8 titres
- Morale et éducation. Instruction : 7 titres
- Vie pratique. Documentation domestique : 5 titres
- Varia : 3 titres
Médiathèque intercommunale du Piémont oloronais
Rue des Gaves - 64400 OLORON –SAINTE-MARIE
Tél. : 05.59.39.99.37 / Fax : 05.59.34.34.00
Contacts mail : mediatheque@piemont-oloronais.fr
mediathequepatrimoine@piemont-oloronais.fr
Site Internet: http://mediatheque.piemont-oloronais.fr
À l'origine bibliothèque municipale, la médiathèque intercommunale d'Oloron couvre aujourd'hui par sa documentation locale, le territoire de la ville et de ses environs (vallées avoisinantes, Aspe, Ossau et Barétous), et concerne d'une façon générale, le Béarn et son département, ainsi que dans une moindre mesure, la région.
Les collections de la médiathèque comptent actuellement environ 45 000 volumes (tous domaines confondus), dont près de 5 000 livres anciens.
Elle a pu compter dès sa création dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle, sur d'importants dons de particuliers qui ont enrichi ses collections. Le premier de M. Casaucau, conseiller au parlement de Navarre, permis en 1763 d’ouvrir la première bibliothèque d'Oloron.
Depuis, le fonds s'est enrichi des apports de la Révolution (confiscation des ouvrages des congrégations environnantes, ainsi que de la bibliothèque de Mgr de Révol, évêque d'Oloron).
La médiathèque intercommunale d'Oloron se distingue par l'importance et la qualité de son fonds local, constitué de livres et documents, anciens et récents, sur l'histoire d'Oloron et du Béarn.
Notons quelques uns des ouvrages remarquables appartenant à ce fonds :
- Los Fors et costumas de Béarn : livre composite présentant les premières pages des éditions du XVIe siècle et du XVIIe siècle.
- L'Histoire des Comtes de Foix, Béarn et Navarre, […] de Pierre Olhagaray (Paris, 1629).
- L'Histoire du Béarn, de Pierre de Marca (Paris, 1640).
- Compilation d'auguns priviledges et reglamens deu pays de Béarn (Orthez, 1676)...
- NAVARROT, Xavier. Le Chansonnier d'Oloron : choix de chansons de Navarrot. Pau, 1890. COTE 781.962 NAV
Outre les livres anciens, le fonds local présente une importante variété de documents sur ou en occitan, abordant les thématiques de la langue, de l'histoire, de la production littéraire occitane...
Le fonds comprend environ 100 bandes magnétiques, films ou pellicules ; environ 30 cassettes audio ;
environ 20 CD musicaux ;
10 titres morts ou périodiques ;
2 périodiques Béarn ;
25 titres magazines
À ce jour, environ 670 documents catalogués consultables en salle de consultation et 350 documents catalogués en magasin.