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Camina que caminaràs - Colloque Max Rouquette
Brees, Aimé

Émission réalisée lors du colloque Max Rouquette du 11 décembre 2009 au CIRDOC-Institut Occitan de cultura de Béziers. Elle est constituée d'entretiens avec des écrivains occitans.

Pour des questions de droits, les extraits musicaux diffusés dans l'émission ne peuvent être mis en ligne, ils ont donc été coupés de l'enregistrement.

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CIRDOC - Institut occitan de cultura
Projet lauréat soutenu dans le cadre de Montpellier capitale européenne de la Culture 2028, le CIRDOC - Institut occitan de cultura coordonne en 2023 le projet Montpellier, l'esprit des lieux : Martor, es la davalada !, animant un réseau partenarial d'acteurs éducatifs, sociaux, culturels et artistiques du bassin montpelliérain autour de la langue et de la culture occitanes : le Théâtre de la Vista, l'association Inter'Cal, la DSDEN 34 et le rectorat de l'Académie de Montpellier, la Rampe - TIO et le Théâtre des Origines.


Le projet

Sous la direction artistique du Théâtre des Origines, Montpellier, l'esprit des lieux !  Chap 1 : Martror ! propose de réaffirmer le caractère unique d’une ville capitale, à la fois cosmopolite et méridionale, européenne et occitane, en mobilisant des registres traditionnels du territoire enrichis d’expériences contemporaines dans un environnement social et urbain en métamorphose.
Pour cette première année d’une opération destinée à s’étaler sur cinq ans, c’est la fête des Morts, la Martror occitane, qui sera le point de ralliement des dynamiques montpelliéraines autour de la langue et de la culture occitanes.

Ce programme de sensibilisation au patrimoine culturel immatériel, culminant en un événement festif et collectif de restitution le 25 novembre 2023 après-midi au Peyrou dans le cadre de l'événement la Davalada, est constitué d'un maillage d'actions EAC menées dans les écoles de la ville, autour de la danse, du chant et de la recréation de pratiques emblématiques des rituels de la fête des morts en Occitanie, en dialogue avec les cultures du monde.

Participation des classes

Plusieurs modalités de participation et de sensibilisation sont offertes aux enseignants de l'académie et aux classes montpelliéraines à l'automne 2023.


  • Conférence théâtralisée Martror fais-moi peur (11-18 ans) ou conte musical Martror fa la fèsta (5-11 ans) : 2 jours de représentation par le Théâtre des Origines au Théâtre de la Vista en novembre 2023

  • Ateliers de transmission, pratique et création et conférence théâtralisée (contribution active au projet, engageant à participer à l'événement final du 25 novembre)
    • Atelier 1 (Cycles 1 et 2) Création d'une comptine chorégraphiée (1x 1h) + conte musical Martror fa la fèsta
    • Atelier 2 (Cycle 3, collège et lycée) Création d'un choeur de personnages, écriture + conférence théâtralisée Martror fais-moi peur
    • Atelier 3 (Cycle 3, collège et lycée) Création d'un choeur de musiciens et chanteurs + conférence théâtralisée Martror fais-moi peur
  • Journée de formation / sensibilisation au patrimoine culturel immatériel occitan pour les enseignants à venir pour l'année scolaire 2023-2024 - informations : prod-edu [a] oc-cultura.eu


Inscriptions


Les établissements scolaires de Montpellier souhaitant participer aux ateliers et à l'événement collectif peuvent se préinscrire en ligne ici  :
- Représentations uniquement (conférence burlesque ou conte musical) : https://forms.gle/oGHo7KFmHiMZPXMVA

- Ateliers et représentation (jusqu'au 31/05/2023 - inscriptions closes) : https://forms.gle/5odmxVyUe3MTDAs66



Objectifs

Choisir d’associer la question de la fête et du patrimoine est une façon d’aller au-delà d’un acte issu de la tradition. Il s’agit ici de valoriser et développer un potentiel culturel, produire du sens, porter des valeurs de vivre ensemble, et mettre à profit le caractère évolutif de la culture dans toute sa diversité pour être acteur et citoyen du monde de demain.

Tous les détails dans le dossier de présentation du projet
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Camina que caminaràs - Collòqui Robert Lafont (2/2)
Brees, Aimé

Émission réalisée lors du colloque Robert Lafont, La haute conscience d'une histoire, organisé par Gardarem la tèrra, qui s'est déroulé les 26 et 27 septembre 2009 à Nîmes. Plusieurs professeurs, historiens et connaisseurs, portent hommage et reviennent sur le parcours et les idées de Robert Lafont.

Pour des questions de droits, les extraits musicaux diffusés dans l'émission ne peuvent être mis en ligne, ils ont donc été coupés de l'enregistrement.

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Camina que caminaràs - Colloque Robert Lafont (1/2)
Brees, Aimé

Émission réalisée lors du colloque Robert Lafont, La haute conscience d'une histoire, organisé par Gardarem la tèrra, qui s'est déroulé les 26 et 27 septembre 2009 à Nîmes. Plusieurs professeurs, historiens et connaisseurs, portent hommage et reviennent sur le parcours et les idées de Robert Lafont.

Pour des questions de droits, les extraits musicaux diffusés dans l'émission ne peuvent être mis en ligne, ils ont donc été coupés de l'enregistrement.

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Per la bien cantar
La Granja. Collecteur
Bourrée interprétée par La Granja

Contes e racontes de velhada


Ah, la veillée !

On se retrouve dans le cantou (canton), la vaste cheminée, coeur de la maison, pour casser les noix (rascals), préparer les feuilles de tabac (tabat) ou égrainer le maïs (milh). La veillée est une manière conviviale de clôturer une rude journée de labeur par un travail plus tranquille et surtout collectif, assis au coin du feu. Si elle est synonyme d’entraide et de convivialité, c’est parce qu’elle existe dans un contexte de relative promiscuité (trois générations vivent souvent sous le même toit), de faible mécanisation des tâches et bien sûr, d’absence de médias tels que radio et télévision jusque dans les années 60.

Toute la famille s’y retrouve, et parfois les voisins s’y joignent. On y relate les histoires de famille, les contes, proverbes et légendes, quelquefois même on chante et on danse.

[Atlas sonore bourian, p. 30]
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En tornant de velhar
La Granja. Collecteur
Contes e racontes de velhada

Ah, la veillée !

On se retrouve dans le cantou (canton), la vaste cheminée, coeur de la maison, pour casser les noix (rascals), préparer les feuilles de tabac (tabat) ou égrainer le maïs (milh). La veillée est une manière conviviale de clôturer une rude journée de labeur par un travail plus tranquille et surtout collectif, assis au coin du feu. Si elle est synonyme d’entraide et de convivialité, c’est parce qu’elle existe dans un contexte de relative promiscuité (trois générations vivent souvent sous le même toit), de faible mécanisation des tâches et bien sûr, d’absence de médias tels que radio et télévision jusque dans les années 60.

Toute la famille s’y retrouve, et parfois les voisins s’y joignent. On y relate les histoires de famille, les contes, proverbes et légendes, quelquefois même on chante et on danse.

[Atlas sonore bourian, p. 30]
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Camina que caminaràs - Anem òc, Carcassonne
Brees, Aimé

Émission réalisée à la manifestation Anem òc du 24 octobre 2009 à Carcassonne.
Elle est constituée d'entretiens avec les politiciens Eric Andrieu et David Grosclaude et des manifestants pour la langue occitane.

Ainsi que d'un discours mémorable de José Bové, qui vient d’être élu député européen, pour dénoncer l’attitude de l’État contre la diversité linguistique et culturelle et demander la ratification de la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires au gouvernement français. Ce discours est accessible dans le document sonore à partir de 24:20.
Le discours de José Bové :
« Et la France aujourd'hui, fait partie de ces rares pays, qui refusent de reconnaître la diversité, et qui refusent de reconnaître leurs histoires.
Alors, on est ici pour rappeler à l'État français qu'aujourd'hui il doit, de manière impérative, traduire dans la langue française la Charte européenne des langues. On est là aussi pour rappeler que chacun de nos territoires, que chacune de nos langues doit pouvoir être utilisée dans les services publics. On est là pour rappeler que la diversité de nos cultures doit apparaître partout sur nos territoires et que c'est la première façon de la reconnaissance de la diversité. On est là, enfin, pour dire qu'il n'est pas normal que le service public de l'Éducation ne reconnaisse pas la diversité culturelle.
Il faut que l'occitan, le basque, le corse, le catalan, puissent être appris de la maternelle jusqu'à l'âge adulte, et que ce soit organisé par le service public. Ce n'est pas normal que ce soit les familles qui soient obligées de faire un acte militant pour pouvoir permettre à leurs enfants de s'inscrire dans leurs propres cultures. Aujourd'hui, l'État jacobin va contre l'Europe.
Aujourd'hui, l'État jacobin a un discours archaïque. C'est l'Europe des régions que l'on va construire. Et cette Euope des régions ne s'arrête pas aux frontières des États. L'Occitanie, elle a aussi une partie de l'autre côté, en Espagne, elle a une partie au Val d'Aran. La Catalogne, elle est des deux côtés de la frontière des Pyrénées. Le Pays Basque il est aussi des deux côtés. Il n'est pas normal que chacun de ces pays ne puisse pas vivre et se développer en fonction de ses propres cultures.
Alors, on est là pour affirmer qu'il n'y aura pas d'Europe sans reconnaissance de la diversité, et que c'est parce qu'il y aura la reconnaissance de cette diversité que l'on pourra construire une Europe solidaire, humaniste et écologique. »

Pour des questions de droits, les extraits musicaux diffusés dans l'émission ne peuvent être mis en ligne, ils ont donc été coupés de l'enregistrement.

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Caminel lo mitan del monde ; La Revolucion
La Granja. Collecteur
Légende : Aimé Moncoutié
Récit :
Lucienne Pégourié

Contes e racontes de velhada

Ah, la veillée !

On se retrouve dans le cantou (canton), la vaste cheminée, coeur de la maison, pour casser les noix (rascals), préparer les feuilles de tabac (tabat) ou égrainer le maïs (milh). La veillée est une manière conviviale de clôturer une rude journée de labeur par un travail plus tranquille et surtout collectif, assis au coin du feu. Si elle est synonyme d’entraide et de convivialité, c’est parce qu’elle existe dans un contexte de relative promiscuité (trois générations vivent souvent sous le même toit), de faible mécanisation des tâches et bien sûr, d’absence de médias tels que radio et télévision jusque dans les années 60.

Toute la famille s’y retrouve, et parfois les voisins s’y joignent. On y relate les histoires de famille, les contes, proverbes et légendes, quelquefois même on chante et on danse.

[Atlas sonore bourian, p. 30]
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Quand te disiá de venir ; Tres menetas assembladas
La Granja. Collecteur
Litanie facétieuse : Roger Bouyssou
Monologue chanté :
Christian Perboyre

Contes e racontes de velhada

Ah, la veillée !

On se retrouve dans le cantou (canton), la vaste cheminée, coeur de la maison, pour casser les noix (rascals), préparer les feuilles de tabac (tabat) ou égrainer le maïs (milh). La veillée est une manière conviviale de clôturer une rude journée de labeur par un travail plus tranquille et surtout collectif, assis au coin du feu. Si elle est synonyme d’entraide et de convivialité, c’est parce qu’elle existe dans un contexte de relative promiscuité (trois générations vivent souvent sous le même toit), de faible mécanisation des tâches et bien sûr, d’absence de médias tels que radio et télévision jusque dans les années 60.

Toute la famille s’y retrouve, et parfois les voisins s’y joignent. On y relate les histoires de famille, les contes, proverbes et légendes, quelquefois même on chante et on danse.

[Atlas sonore bourian, p. 30]
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N'ai tres esquillas
La Granja. Collecteur
Bourrée chantée : Raoul Moulé


Contes e racontes de velhada

Ah, la veillée !

On se retrouve dans le cantou (canton), la vaste cheminée, coeur de la maison, pour casser les noix (rascals), préparer les feuilles de tabac (tabat) ou égrainer le maïs (milh). La veillée est une manière conviviale de clôturer une rude journée de labeur par un travail plus tranquille et surtout collectif, assis au coin du feu. Si elle est synonyme d’entraide et de convivialité, c’est parce qu’elle existe dans un contexte de relative promiscuité (trois générations vivent souvent sous le même toit), de faible mécanisation des tâches et bien sûr, d’absence de médias tels que radio et télévision jusque dans les années 60.

Toute la famille s’y retrouve, et parfois les voisins s’y joignent. On y relate les histoires de famille, les contes, proverbes et légendes, quelquefois même on chante et on danse.

[Atlas sonore bourian, p. 30]
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