Aquel tèxte, anonim, es una version poetica de la vida de Pétrarque (1304-1374), poèta italian de l'Edat Mejana que son òbra es marcada per l'importància del sentiment d'unitat italiana. Lo tèxte compren tanben d'adaptacions de vèrses del poèta italian en occitan.
L'autor utiliza la tematica de l'unitat italiana desvolopada per Pétrarque per la transpausar a la França qu'aviá perdut l'Alsàcia e la Lorena qualques temps abans la redaccion del tèxte (lo tèxte es pas datat).
Aquel tèxte conta lo rencontre entre Jean Lafare, personatge convalescent d'un mal que l'aviá tustat l'estiu precedent e Mèstre Vincent que li indica de precèptes de vidas que lo podrián garir de sos mals.
La prescripcion de Mèstre Vincent consistís en una vida simpla e onèsta basada sus l'amor de Dieu, de sa Patria e del Felibritge e sus una probitat permanenta, de tal biais qu'auriá pas a aver paur de la mòrt.
Aquel tèxte es una version poetica de la vida de Louis Bellaud de la Bellaudière (1533?-1588) redigida per Marius Bourelly (1820-1896) dins l'encastre del concors filologic e literària de la Revue des langues romanes.
Lo tèxte es construch en sieis grandas partidas, dempuèi la naissença de Louis Bellaud fins al jutjament de sa vida e de son òbra que susven aprèp sa mòrt.Louis Bellaud es un poèta provençal mai que mai conegut per aver passat dètz-e-nòu meses en preson per des rasons dobtosas e durant los quals compausèt son primièr recuèlh de sonets, « Obros et Rimos », celèbre per son erotisme bastit sus la basa d'originalas metafòras culinàrias.
Aquel recuèlh publicat aprèp sa mòrt coneisserà una popularitat importanta jos lo règne efemèr de Charles de Casaulx, ligor catolic qu'aviá pres lo contraròtle de la vila de Marselha entre 1591 e 1596.
René Jouveau (1906-1997) est le dernier félibre du nom, avec son épouse Marie-Thérèse Jouveau née Gautier, après son père Marius Jouveau qui fut comme lui Capoulié du Félibrige et Elzéar (ou Auzias) Jouveau son grand père. Le fonds René Jouveau est celui d’une bibliothèque constituée par quatre générations de félibres en plus de 100 ans.
Marie-Thérèse Jouveau, majoral du Félibrige a fait don à la médiathèque d’Arles en 2007 de sa bibliothèque ainsi que celle de son mari.
Fonds clos
CIRDÒC (Béziers, Hérault), Fonds Jouveau
La collection est constituée de 728 livres et revues, du XVIIIe au XXe siècle, pour la plupart en langue provençale. Entre autres, on peut citer les éditions originales illustrées et dédicacées de Max-Philippe Delavouët, les revues telles que Lo Gai saber, Lou Felibrige, Cartabèu de Santo Estello.
XVIIIe - XXe siècle
Occitan (provençal)
Français
Manuscrits/Tapuscrits
Monographies imprimées
Périodiques (presse, revues)
Catalogue consultable sur le site
Consultation sur place
Reproductions photographiques autorisées
Fonds issu d’une campagne d’enregistrement de textes en langue occitane réalisée par Frédéric Bianchi dans le cadre des activités de l’association « Centre Joseph Canteloube » domiciliée aux Archives départementales du Cantal, à Aurillac.
En 2004 le service des Archives départementales du Cantal a repris le fonds et les missions du Centre Joseph Canteloube. Suite à cette reprise Frédéric Bianchi a intégré le service des Archives départementales du Cantal et a poursuivi ce travail d’enregistrement de textes en langue occitane.
Dépôt
Fonds clos
Le fonds est composé de plusieurs séries d'enregistrements effectuées ou recueillis par le Centre Joseph Canteloube entre 1999 et 2005. On y retrouve les ensembles suivants :
Écriture et Lecture par Jean Vezole
« Contes mai qu’a meitat vertadiers »
« Contes pas tròp mossorguiers »
Articles publiés dans la revue « La cabreta »
Lecture par Jean Vezole
« Lo Glebo mairalo » de Fernand Prax, lecture Jean Vezole
« historios de toutos menos » de Fernand Prax, lecture Jean Vezole
« Jos la clujada » d’Arsène Vermenouze, lecture Jean Vezole
« Flor de Brossa » d’Arsène Vermenouze, lecture Jean Vezole
« Vers patois par un berger de la commune de Boisset » de Jean-Baptiste Brayat, lecture Jean Vezole
« Beluguetas (Bluettes) » de Louis Delhostal, lecture Jean Vezole
« Las Piadios » de Louis Delhostal, lecture Jean Vezole
« Auvergne scènes et protraits du vieil Aurillac » de Mgr Pierre Géraud et du Major Louis Géraud, lecture Jean Vezole
« Couontes e Porpondejados » d’Henri Dommergues, lecture Jean Vezole
« Lo pousco d’or » de Francis Courchinoux, lecture Jean Vezole
Écriture et lecture Etienne Coudert
Lecture des « Cronicas de Varena » parues dans la revue : Parlem
Écriture et lecture Georges-Maurice Maury
« Rabusadas del Suc de la Gana » (Extraits)
« Ròsas de rabusadas » (Extraits)
« La reiç de reviure » (Extraits)
« Flors d’albespinas (o d’espinetas) » (Extraits)
Félix Daval
« Les fraisses éran tombats » écriture et lecture (Extraits)
« Les chants d’Auvergne » de Joseph Canteloube, paroles lues par Félix Daval
Fonds d’Archives sonores non consultables sur le site internet des Archives départementales du Cantal
« Manca mas d’o dire » émissions de radio en Occitan diffusées sur « Radio Local Thiers »
« Occcitania » émissions de radio en Occitan diffusées sur Jordanne FM (en cours de numérisation)
Juillet 1997 – Mai 2012
Occitan
Français
Documents sonores
3 AV178 - 4 AV494
Inventaire sur le site des archives départementales du Cantal
Sur place ou en ligne
Pas d’autorisation de reproduction
René Jouveau (1906-1997) est le dernier félibre du nom, avec son épouse Marie-Thérèse Jouveau née Gautier, après son père Marius Jouveau qui fut comme lui Capoulié du Félibrige et Elzéar (ou Auzias) Jouveau son grand père. Le fonds René Jouveau est celui d’une bibliothèque constituée par quatre générations de félibres d'une même famille au cours de 100 années d'existence.
René Jouveau (1906-1997) professeur de lettres et de langues, fondateur du GEP Groupement d’Etudes Provençales, directeur de la revue Fe, membre de plusieurs académies, est l'auteur de romans, d’essais historiques (Histoire du Félibrige), de poésies et de pièces de théâtre. Il collabore à de nombreuses revues dont l’Armana prouvençau dont il sera le directeur de 1961 à 1992 et l’Armana di bon prouvencau de 1993 à 1997. Majoral du Félibrige en 1943, il deviendra Capoulié de 1971 à 1982.
Marie-Thérèse Jouveau née Gautier (1921-2005), épouse de René Jouveau, assistante sociale, accompagne la carrière littéraire de son mari en tant qu’administratrice des revues qu’il dirige. Vice-présidente des amis d’Alphonse Daudet à qui elle consacre une biographie, elle devient Majoral du félibrige en 1987.
Marius Jouveau (1878-1949), père de René Jouveau est professeur d’italien, fondateur de la revue Fe, créateur du mensuel En terro d’Arle (1907-1912), directeur de la revue Lou Felibrige (1919-1945), fondateur de l’Escolo mistralenco d’Arles et directeur de l’Armana prouvencau. Auteur de romans, essais, poèmes, pièces de théâtre et collaborateur à de nombreux journaux et revues, il est Majoral du félibrige en 1913, puis en devient le capoulié de 1922 à 1941.
Elzéar Jouveau = Auzias Jouveau (1847-1917), père de Marius Jouveau, facteur de profession, est musicien et chansonnier, collaborateur à l’Armana prouvençau et au Brusc. Il devient Majoral du Félibrige en 1897.
Donné au CIRDOC en 2006, par M. Etienne Chapal, neveu de René Jouveau.
Fonds clos
Médiathèque municipale d'Arles, fonds Jouveau
Le fonds René Jouveau se compose de revues, monographies et d’un fonds d’archives se rapportant principalement aux activités de René Jouveau à la fois félibre, éditeur de revues et historien.
Il contient outre ses dossiers de travail, émissions radio et une partie de sa correspondance, certains des travaux qui lui ont été adressés en vue d’être publiés dans les revues qu’il dirigeait, mais aussi les dossiers concernant les manifestations ou rencontres qu’il a organisé (Consistoire du Félibrige, Congrès de Langue et de littérature d’oc, Pen club de langue d’oc, Unioun prouvençalo…). Le fonds des manuscrits contient aussi une partie des correspondances de Marie-Thérèse, Marius et Elzéar Jouveau.
1879 - 2005
Occitan (tous dialecte), français, catalan
6 mètres linéaires
Manuscrits/Tapuscrits
Monographies imprimées
Périodiques (presse, revues)
Documents iconographiques
JOU
Inventaire manuscrit sur place
Consultation sur place, en salle recherche
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Henri Mouly (1896-1981) naît à Compolibat (Aveyron) dans une famille paysanne, le 10 octobre 1896. Après une enfance à la ferme, il entre à l’École Normale d’instituteurs de l’Aveyron en 1914. Mobilisé peu après, il part au front pour en revenir en 1916 mutilé de guerre à 20 ans (il perd l’oeil droit dans la Somme). À son retour, il poursuit des études d’instituteur et prend un poste à Villefranche-de-Rouergue à la rentrée 1917. Il mènera sa carrière d’instituteur qu’il achèvera comme directeur d’école à Compolibat.
Dès l’enfance attiré par la poésie, il écrit des poèmes et admire l’écrivain rouergat Justin Bessou (1845-1918). À son retour de guerre il fréquente les cercles artistiques et littéraires du Rouergue et fait la connaissance du poète-peintre Eugène Séguret, avec qui il participe le 10 octobre1920, aux manifestations en hommage à Justin Bessou à Villefranche-de-Rouergue.
Cette manifestation sera pour lui une révélation qui l’incitera à fonder avec son ami Séguret le Grelh roergas (Grillon rouergat) association félibréenne vouée à la défense de la langue et de la culture d’oc qui voit le jour le 6 mars 1921. Dès lors, Il ne cessera d'écrire jusqu'à sa mort. Membre de l'Académie des Jeux floraux, vice-président de l'Escòla occitana et Majoral du Félibrige en 1949. Il a été le maître de Jean Boudou et le père de Charles Mouly (1919-2009).
Don
Fonds clos
Le fonds conserve les manuscrits de la majeure partie de l'œuvre littéraire d'Enric Mouly : romans, récits, contes, théâtre, poésie, chansons (série 100 J 36-53 et 93-104), ainsi que sa correspondance (série 100 J 1-32 et 82-92). Plusieurs dossiers concernent également le Grelh Roergas (série 100 J 54-74 et 107-108).
1920 - 1980
Occitan (languedocien)
Français
108 notices
Manuscrits/Tapuscrits
Monographies imprimées
100 J
Inventaire imprimé série J
Documents consultables dans la salle de lecture.
Reproduction soumise à des restrictions en fonction de l’état des documents.
Association des Amis du Musée de Château Gombert et de sa Bibliothèque
5, place des Héros
13013 MARSEILLE
Tel : 04 91 68 14 38 - Fax : 04 91 68 90 83
Site Internet : http://www.espace-pignol.com/#!missions-et-fonctionnement/c1alk
Le Musée du Terroir Marseillais, fondé en 1928, est le deuxième musée d’ethnographie des Bouches du Rhône après le Museon Arlaten créé par Frédéric Mistral en 1899 à Arles. C’est dans la continuité de l’œuvre de Mistral que son fondateur Jean-Baptiste Julien-Pignol (1872-1970) fondateur en 1927 du Roudelet felibren, a voulu le situer.
Installé dans un bâtiment construit spécialement dans ce but, il expose de riches collections de meubles, costumes, objets d'usage domestique, outils, instruments de musique, crèches et santons, art sacré et religion populaire. Le Musée retrace les modes de vie provençaux des 18e et 19e siècles, s’intéressant aussi bien au petit monde paysan qu’à la bourgeoise paysanne : mises en scène d’une cuisine provençale à Noël et sa table des 13 desserts, d’une chambre bourgeoise, etc.
Géré par une association, il s’assigne la double mission de conserver et de transmettre. Son action est soutenue par l’Association des Amis du Musée de Château Gombert et de sa Bibliothèque qui participe activement aux expositions temporaires, ateliers, manifestations, conférences, concerts qui animent régulièrement le Musée.
Plus de 5000 m² qui regroupent : Un musée ethnographique de 1000 m² consacré au quotidien de la campagne marseillaise, une bibliothèque régionaliste, plus de 5000 ouvrages, revues, archives, une boutique de produits du terroir, un restaurant, "La Table Marseillaise" , un hôtel, L’Oustau, un théâtre de plein air.