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L'album Tèrra de masucs contient 14 titres :

– des traditionnels revisités : Sem montanhols, Lo masuc, Pórc gras, Catarina, Triste es lo cèl, Mon païre pecaîre

– des créations : Ome d’oc, Lo vespre, Regrets, Creit me jovent, Tèrra de masucs, Ai somiat, Lo sabaud, Le buron.

Les textes sont de Raymond Lahondes, André Clément, Max Rouquette, Roland Chabanon et Henri Monier.

Les musiciens qui accompagnent Philippe sur scène ont participé à l’enregistrement : Florence aux choeurs, César aux percussions, Xavier à la cabrette, Bob à la basse, François-Xavier aux guitares, à la programmation et aux arrangements et Fabien à la programmation, au mixage, au mastering et pour certains arrangements.

Il y a également des invités surprise : les Tres a Cantar et la chanteuse lyrique Céline Peschot.

L’album est très varié comme à chaque fois. Il est léger, dansant et festif.

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Dans la lignée de "Sanflorada per deman", ce CD résolument moderne et tourné vers l’avenir , contient des créations ainsi que des airs anciens revisités.
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Philippe Vialard en est le compositeur, l’arrangeur et le directeur artistique. Ce disque regroupe des morceaux anciens du répertoire traditionnel auvergnat arrangés de façon moderne ainsi que des compositions originales . Cet album est produit par l’association PPL et est interprété par les artistes de cette association, dont Philippe Vialard.
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Album de 14 titres avec des reprises d’airs traditionnels et des créations. L’ambiance de ce disque est plutôt légère et festive. C’est un disque très varié où on retrouve tout le dynamisme et l’énergie du chanteur et de ses musiciens.
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Ces chansons qui font l'histoire : Gloire au 17e
Dicale, Bertrand (1963-....)

Las cronicas "Ces chansons qui font l'histoire" de Bertrand Dicale, difusadas sus France Info son totas reünidas sus un portal e mesas a disposicion dels ensenhaires e del public grand.

Bertrand Dicale consacrèt una de sas cronicas a la cançon 
Gloire au 17e del cançonièr popular e engatjat Montéhus (Gaston Mardochée Brunswick (1872-1952)), escrita a la seguida de las mutinariás del regiment d'infantariá pendent la Revòlta dels vinhairons de 1907.

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Philippe Vialard est né sur l’Aubrac, il revendique cette origine. L’occitan est une de ses langues maternelles. Toute sa famille le parle encore aujourd’hui.
Il fait ses études musicales à Paris (licence de musicologie à la Sorbonne et cours d’écriture d’accordéon et de chant au conservatoire). Là, il prend conscience de l’importance de la langue occitane pour ses racines. Il commence donc à retrouver intacts dans sa mémoire des airs traditionnels de son enfance qu'il chante à nouveau et arrange ; puis il en vient tout naturellement à créer des chansons sur des textes d’auteurs contemporains.
Il a publié plusieurs albums et obtenu de nombreux prix chacun saluant son sens de la mélodie et de l'adaptation de poèmes et textes en occitan. Heureux de ces succès, Philippe et ses musiciens sillonnent les routes. Son enthousiasme et sa simplicité font de lui un artiste sincère qui ne cherche pas à entrer dans l’étroitesse d’une mode, mais à jouer plutôt avec les styles, les époques. Sa mode, sa théorie, sa tribu, c’est le plaisir de la musique. C’est ainsi qu’il arrive souvent à rassembler, lors de ces spectacles, toutes les générations.
Nul besoin d’être "occitaniste" (et d’ailleurs qu’est - ce que ça veut dire ?) pour apprécier ses concerts, on se laisse prendre par sa voix, emporter par son enthousiasme et on esquisse même quelques pas de danse sur ces airs traditionnels revisités. La musique, ça se partage, et ça, Philippe le sait.
Habituellement implanté en Occitanie dans la région de Montpellier, Philippe a vécu trois ans à Rabat au Maroc. Depuis ce côté de la Méditerranée, attentif et réceptif aux influences musicales qu'il a côtoyé s , il a continué son travail de (re)création musicale en langue occ itane.
De retour en France, il prépare avec ses musiciens un nouvel album et une série de concerts .
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Per rire, bada mi ! / R. Mazoyer et V. Bonnefoi
Mazoyer, Régis
Bonnefoi, V.
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Darrigrand, Joan Pèir
Darrigrand, Françoise
Ce carnet de voyage à deux voix est né d’une envie commune d’écrire au jour le jour, nos sensations, notre itinéraire. Jean-Pierre a décidé de l’écrire dans sa langue natale, en langue occitane du Béarn et moi, j’ai écrit en français. Chacun a exprimé le voyage à sa façon. Nos textes suivent le même chemin, notre perçu est souvent différent. Nos écrits ne sont pas une traduction, ils reflètent notre propre vision du voyage. Deux voix, deux styles, deux voyages en un…
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Loti, Pierre
Cavalier, Çubran
Wynd, Oswald
Cabayé-Ramòs, Miquèla. Trad.
Cap a China, lo temps d’una traversada regroupe les récits de trois voyages vers une même destination géographique, traduits en occitan et présentés par  Miquèla Cabayé-Ramòs. Le premier est celui de Pierre Lotí, qui embarque pour la Chine en 1900, à bord du Redoutable. Il s’en va faire son service militaire comme officier. Le deuxième est celui de Cyprien Cabayé, le grand-père de Miquèla Cabayé-Ramòs. Paysan et vigneron  né près de Carcassonne, il est envoyé en Chine en 1902 avec son régiment, dans le cadre du service militaire de 3 ans. Enfin le dernier voyage est fictif. Il est tiré du roman Una odor de gengibre de l’écrivain écossais Oswald Wynd. il s’agit de Mary Mackenzie, jeune Ecossaise qui embarque sur le paquebòt Mooldera pour la Chine en 1903, pour se marier avec un militaire britannique en poste à Pékin. Le talent de l’auteur est d’avoir regroupé dans un même livre réalité et fiction, trois personnalités différentes et trois destins singuliers. Trois textes d’une grande sensibilité dont le fil conducteur est le voyage en bateau à destination de la Chine.  Voici sur le thème du récit de voyage un livre réjouissant.

 

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Lafont, Robert

Lo Viatge grand de l'Ulisses d'Itaca es la resulta d’una meditacion longament amadurada a prepaus dels poèmas omerics. Robèrt Lafont a bastit sa recèrca e son escritura sus la part centrala d’aqueles poèmas « cordurats » entre eles per los rapsòds antics : la que i son contadas, de sa quita boca, las erràncias marinas de l’eròi de totas las rusas.

Aqueles moments majors del poèma atribuit a Omèr son estats revirats a l’occitan provençal a partir del tèxt original grec. Son precedits de comentaris ( glòsa ) que Robèrt Lafont i situa los passatges concernits e i balha, per cadun, en s’ajudar de las recèrcas pus recentas, claus e interpretacions. Per sa revirada, a causit d’emplegar un vèrs non rimat de setze sillabas, lo que per el se sarrava al mai pròche de l'examètre omeric.

 

Lo libre aqueste, aital, se presenta, en occitan, coma l’òbra d’un sabent mesclat d’un poèta : lo legeire, dins una lenga a l’encòp quotidiana e majestuosa, manejada amb gaubi sobeiran per un dels mèstres de l’escritura occitana d’ara, s’i trobarà de plan pè amb los tèxtes omerics. La soliditat de las coneissenças e l’ample de la revirada rejonhon aquí l’art reconegut de l’escrivan dins un obratge unic a mai d’un títol.

 

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