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Lettre de Frédéric Mistral à Marius Bacquié-Fonade : 9 octobre 1896
Mistral, Frédéric (1830-1914)

Qui est Marius Bacquié-Fonade ?

Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.

Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.

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Recueil Séguier n° 52 sur la langue et la littérature languedociennes
Séguier, René (1705-1767 ; abbé)
Recueil sur la langue et la littérature languedociennes. — Notice et grammaire (f. 1-21). — Listes de mots (f. 22-42). — « Réflexions sur notre langue » (f. 32). — A la suite, traduction en languedocien de différents auteurs de l'antiquité : Anacréon, Bion, Moschus, Théocrite, satires d'Horace, dialogues de Lucien ; ces traductions sont tantôt en prose, tantôt en vers ; quelques morceaux ont été traduits plusieurs fois. Ce manuscrit est de la main du frère de Séguier, l'abbé Joseph Séguier, et tout ce qu'il renferme est vraisemblablement son œuvre ; ces poésies seront prochainement publiées par M. A. Roque-Ferrier. Voir à ce sujet, un article de J. Bauquier : les Provençalistes du XVIIIe siècle, dans la Revue des langues romanes, 3e série, t. III (1880), p. 67.
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Lettre de Frédéric Mistral à Marius Bacquié-Fonade : 19 octobre 1895
Mistral, Frédéric (1830-1914)

Qui est Marius Bacquié-Fonade ?

Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.

Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.

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Le Coq. - Année 01, n°15 (Dimanche 18 juin 1848) [Contient Comment on devient libre / poème de Frédéric Mistral]
Mistral, Frédéric (1830-1914)
Le Coq, journal politique, artistique et littéraire français. Ce numéro contient un poème de jeunesse en français de Frédéric Mistral intitulé Comment on devient libre.

>> Voir un autre numéro du Coq contenant le poème Le Chant du Peuple de Frédéric Mistral
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Le Coq. - Année 01, n°06 (Dimanche 9 avril 1848) [Contient Le Chant du Peuple / poème de Frédéric Mistral]
Régeau
Mistral, Frédéric (1830-1914)
Le Coq, journal politique, artistique et littéraire français. Ce numéro contient un poème de jeunesse en français de Frédéric Mistral intitulé Le Chant du Peuple.

>> Voir un autre numéro du Coq contenant le poème Comment on devient libre de Frédéric Mistral
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CIRDÒC-Mediatèca occitana. Fonds des manuscrits isolés

Histoire du fonds

Le fonds des manuscrits isolés est constitué d'un ensemble de pièces issues des donations fondatrices du CIDO (Ms 1 à 757) ainsi que de donations ultérieures et d'acquisitions régulières du Cirdòc - Médiathèque occitane (Ms 758 et au delà). Il regroupe des documents de nature diverse - manuscrits d'ouvrages, correspondance, dictionnaires, cartes postales...

Modalités d'entrée :

Le fonds des manuscrits isolés est composé d'achats, donations ou legs de pièces entrées individuellement dans les collections du CIRDÒC et qui ne constituaient pas, à leur entrée, de fonds documentaire.

Accroissement :

Fonds ouvert

Description du fonds

Le fonds des manuscrits isolés est un fonds ouvert. Il s'accroit lors de chacune des acquisitions individuelles faites par le CIRDÒC. Il composé d'une grande variété de support (manuscrits littéraires, correspondances, cartes postales...). Il n'a pas vocation à contenir de documents issus d'une période ou d'auteurs particuliers.

Dates extrêmes :

1509 - 2014

Langues représentées dans le fonds :

Occitan

Français

Catalan

Importance matérielle :

20 mètres linéaires

Supports représentés :

Manuscrits

Imprimés

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

Le fonds des manuscrits isolés est composé d'un cote "Ms" auquel est ajouté un identifiant numéraire. Les documents sont classés suivants leur ordre d'intégration dans le fonds.

Instruments de recherche disponibles :

Catalogue des archives et manuscrits du CIRDÒC

 

Accéder à la description détailllée du fonds

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Consultation sur place

Conditions de reproduction :

Toute reproduction en vue d'une édition ou production audiovisuelle de la documentation contemporaine soumise au droit d'auteur ne peut se faire sans l'accord des ayant-droits. La reproduction de documents à des fins de recherche, sans publication des documents, est acceptée sous réserve des impératifs de conservation laissés à l'appréciation des bibliothécaires du CIRDÒC.

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CIRDÒC-Mediatèca occitana. Fonds des correspondances du début du félibrige
CIRDÒC-Mediatèca occitana

Histoire du fonds

Le fonds des correspondances du début du félibrige a été constitué par Joseph Salvat à la suite de recherches effectuées sur le felibrige au début des années 1950. Les correspondances sont des copies de lettres alors conservée à Maillane dans les archives de Frédéric Mistral.

Modalités d'entrée :

Le fonds des correspondances du début du félibrige font partie des archives du Collège d'Occitanie déposées par le Collège d'Occitanie au Cirdoc en 2013.

Accroissement :

Fonds clos

Description du fonds

Le fonds des correspondances du début du félibrige est composé de copies de lettres rédigée par Joseph Salvat. Il comprend des lettres écrites ou reçues par Frédéric Mistral, Joseph Roumanille, Achille Mir, Antoine-Blaise Crousillat, Jean-Baptiste Gaut, Auguste Fourès, Alphonse Marcailhou d'Aymeric, Théodore Aubanel, Émile Ranquel, Anselme Mathieu, Jacques Azaïs, Gabriel Azaïs, Jasmin, Paul Giera et Saint-René Taillandier.

Dates extrêmes :

1850 - 1890

Langues représentées dans le fonds :

Occitan

Français

Importance matérielle :

1 mètre linéaire

Supports représentés :

Manuscrits

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

Le fonds des correspondances du début du félibrige est regroupé sous les cotes CQ 456/1 à CQ456/14.

Instruments de recherche disponibles :

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Consultation sur place

Conditions de reproduction :

Toute reproduction en vue d'une édition ou production audiovisuelle de la documentation contemporaine soumise au droit d'auteur ne peut se faire sans l'accord des ayant-droits. La reproduction de documents à des fins de recherche, sans publication des documents, est acceptée sous réserve des impératifs de conservation laissés à l'appréciation des bibliothécaires du CIRDÒC.

Alphonse Marcailhou d'Aymeric

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Li Meissoun de Frédéric Mistral : copie manuscrite de Mme Boissière (fille de Roumanille)
Mistral, Frédéric (1830-1914)
Poème de jeunesse de Frédéric Mistral, écrit à l'origine en 1848, Li Meissoun (les moissons) a fait l'objet d'une publication posthume par Pierre Devoluy dans La Revue de France (numéro 14-15 du 15 juillet et 1er août 1927). Cet exemplaire manuscrit est une copie de la main de Thérèse Boissière, fille de Joseph Roumanille. Il fait partie d'un fonds d'archives léguées par madame Frédéric Mistral à la Bibliothèque-musée Inguimbertine de Carpentras en 1940.
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Lettre de Frédéric Mistral à Marius Bacquié-Fonade : 14 avril 1899
Mistral, Frédéric (1830-1914)

Qui est Marius Bacquié-Fonade ?

Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.

Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.

Description de la lettre

Cette lettre contient un paragraphe très interessant datée du 14 avril 1899 et où Mistral décrit de manière littéraire le souffle et l'élan européen qui porte alors le félibrige.
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CIRDÒC (Béziers, Hérault), Bibliothèque et Archives du Collège d'Occitanie
CIRDÒC-Mediatèca occitana

Histoire du fonds

L’initiative de la création du Collège d’Occitanie revient à un groupe de félibres du Lauragais de l’Escòla Occitana regroupés au sein du Grilhs del Lauragués. À partir de 1924, ils décident, comme l'indique Louis Mavit dans Un cinquantenaire (1927-1977) Le Collège d’Occitanie, de « réveiller l’âme occitane dans leur terroir, en organisant des fêtes et des manifestations » en l’honneur du troubadour Arnaut Vidal en 1925 et du poète chaurien Auguste Fourès en 1927. Conscient de la limite de leur action, ils décidèrent de créer une association pour l’enseignement de l’occitan, sa grammaire, son orthographe, son vocabulaire et sa littérature. Le Collège d'Occitanie (Collègi d'Occitània en occitan) est créé en 1927 par le chanoine Joseph Salvat (1889-1972) et le poète Prosper Estieu (1860-1939).

Pendant plus de quarante ans, Prosper Estieu et Joseph Salvat donnent des leçons hebdomadaires de langue et de civilisation occitanes. À la mort de l’abbé Salvat en 1972, son action est prolongée par Ernest Nègre (spécialiste de la toponymie) jusqu'en 1989, puis par Georges Passerat et à partir de 2010 par Philippe Carbonne.

Le Collège d’Occitanie est le premier organisme militant qui dispensera des cours de langue et de culture occitanes, sur place et par correspondance à plusieurs milliers d'escolans. Il publie, à partir de 1929, un bulletin destiné aux écoliers extérieurs intitulé La Rampelada del Colètge d’Occitania contenant les cours de grammaire de l’abbé Salvat et le matériel pédagogique. Son extension ne cessera de croître pour passer de 15 élèves en 1927 à 430 en 1941.

Reconnue d'utilité publique en 1969, l’association a pour activité principale l’enseignement de l’occitan par correspondance comprenant trois sections languedociennes et une section catalane. Elle constituera une bibliothèque de travail qui peu à peu va s’enrichir des donations de ses fondateurs et animateurs successifs jusqu’en janvier 2013, date à laquelle la bibliothèque du Collège d'Occitanie est déposée au CIRDÒC.

Modalités d'entrée :

 Fonds déposé en 2013

Accroissement :

Fonds clos

Description du fonds

Le fonds du Collège d’Occitanie comprend la bibliothèque et les archives produites par l’activité de l’association et de ses animateurs.
La bibliothèque a été constituée par les donations effectuées par Prosper Estieu, Joseph Salvat et Ernest Nègre, il comprend :

- un fonds de livres de plus de 20 000 volumes, consacré à la littérature occitane et son histoire, la linguistique et l’histoire régionale du XIXe au XXe siècle. Il contient également quelques éditions toulousaines anciennes.

- un fonds de périodiques contenant de nombreuses publications de la renaissance occitane du dernier tiers du XIXe siècle et du XXe siècle (journaux, revues et almanachs : L’Aïoli, Lé Gril, Mont-Ségur, l’Armana prouvencau…) et de nombreuses revues linguistiques sur les autres langues romanes.

- un fonds de dossiers documentaires constitués par l’abbé Salvat autour de thèmes sur l’occitan (Histoire des provinces, jeux floraux, mouvement félibréen, folklore…) et réunissant divers types de supports.

- un fonds de manuscrits contenant les correspondances de la plupart des auteurs occitans de la première moitié du XXe siècle : Antonin Perbosc, Joseph Salvat, Auguste Fourès, Joseph Anglade, Philadelphe de Gerde, Louisa Paulin, Achille Mir, Ismaël Girard, Ernest Vieu, Armand Praviel, Valère Bernard…

Dates extrêmes :

1638-2013

Langues représentées dans le fonds :

Occitan (tous dialecte)

Français

Catalan

Frioulan

Basque

Corse

Importance matérielle :

45 mètres linéaires (Archives)

20 000 volumes (Bibliothèque)

Supports représentés :

Manuscrits/Tapuscrits

Monographies Imprimées

Périodiques (presse et revues)

Pour le consulter

Identifiant du fonds :

COC (archives), CO (imprimés), DCO (dossiers documentaires)

Instruments de recherche disponibles :

Bibliothèque :

Catalogue des collections imprimées du CIRDÒC

Archives et manuscrits :

Inventaire (en cours) des archives du Collège d'Occitanie sur Calames

Conditions d'utilisation

Conditions de consultation :

Consultation sur place, en salle de recherche

Conditions de reproduction :

Toute reproduction en vue d'une édition ou production audiovisuelle de la documentation contemporaine soumise au droit d'auteur ne peut se faire sans l'accord des ayants droit. La reproduction de documents à des fins de recherche, sans publication des documents, est acceptée sous réserve des impératifs de conservation des documents.

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