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Cacalaca. - Annado 01, n°19 (Nouvembre 1916)
Castagno, Jan (1859-1938)
Revue créée par Jan Castagno
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Cacalaca. - Annado 01, n°17 (Outobre 1916)
Castagno, Jan (1859-1938)
Revue créée par Jan Castagno
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Cacalaca. - Annado 01, n°16 (Setembre 1916)
Castagno, Jan (1859-1938)
Revue créée par Jan Castagno
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Cacalaca. - Annado 01, n°15 (Setembre 1916)
Castagno, Jan (1859-1938)
Revue créée par Jan Castagno
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Cacalaca. - Annado 01, n°13 (Agoust 1916)
Castagno, Jan (1859-1938)
Revue créée par Jan Castagno
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Cacalaca. - Annado 01, n°05 (Abriéu 1916)
Castagno, Jan (1859-1938)
Revue créée par Jan Castagno
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Montaigne Occitan / Fausta Garavini
Garavini, Fausta
Fausta Garavini est docteure en littérature française et occitane, traductrice et écrivaine italienne.

Née à Bologne, elle a fait une grande partie de sa carrière d'enseignante-chercheuse à la Faculté des Lettres de Florence. Fausta Garavini joua un rôle important à la fin des années 1960 pour le renouveau des études occitanes en Italie avec la publication de sa thèse consacrée à la renaissance littéraire occitane, L’Empèri dóu Soulèu, puis, en 1970, de La letteratura occitanica moderna.

Fausta Garavini a fait don de ses archives de travail et de sa bibliothèque d'études occitanes au CIRDÒC-Mediatèca occitana, complétant le legs de Robert Lafont, personnalité majeure de la modernité littéraire et scientifique occitane, avec qui elle partagea sa vie.
Fausta Garavini est également spécialiste de l’œuvre de Michel de Montaigne, dont elle a réalisé la traduction italienne de référence.

En avril 2013, Fausta Garavini était invitée par l'Université de Toulouse-II Le Mirail à donner une conférence consacrée à la langue occitane chez Michel de Montaigne. L'article publié ici est issu de cette conférence qui est également visible sur Occitanica  et le  site de l'université Jean Jaurès : ici.

Notes et références

Fausta Garavini, L'empèri dóu soulèu : la ragione dialettale nella Francia d'oc, Milano,Napoli, Riccardo Ricciardi, 1967.
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Cacalaca
Castagno, Jan (1859-1938)

Périodique occitan publié pendant la Première Guerre mondiale, créé par Jan Castagno, pseudonyme de Julien Brabo (1859-1938). Il est à la fois le directeur du journal, l'imprimeur et l'auteur de la plupart des articles sous des pseudonymes différents : L'Anglès de Malataverno, l'Espagnoulet, Julian de la Lègo, Julian de la Vabreio, Mas d'Avèno, Lou Mouissau.

Exemplaires conservés

CIRDÒC (Béziers) [E6-E0] : n.5 (1916)-n.70 (1919) ; n.72 (1926)-n.175 (1936)
BnF [JO 56042] : n°1, 1916 - n° 158, 1934, 1936 [n°172, 174-176]
BDIC (Nanterre) [FP 55] : n°1, 1916- n°70, 1919.

Note de contenu

« Cacalaca ! » est le nom du chant du coq en occitan, l’équivalent de « Cocorico ! » en français. Les textes publiés glorifient les Cévennes et également la patrie. Le journal est adressé pendant toute la guerre aux soldats alésiens du front, il porte la mention « Es à gratis per lous pelous dau Front ».

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[Le roman de] Flamenca

Flamenca est un roman anonyme de 8095 vers octosyllabiques composé en ancien occitan dans le dernier tiers du XIIIe siècle. Il est connu par cette seule copie, découverte au XIXsiècle par François Raynouard dans les collections de la Bibliothèque de Carcassonne.

L’histoire de Flamenca :

Flamenca raconte les amours de Guilhem de Nevers, jeune chevalier doté de toutes les vertus physiques et morales, et de la belle Flamenca. Le début du roman est manquant dans le manuscrit de Carcassonne. Le récit commence par la demande en mariage de Flamenca par Archambaut, seigneur de Bourbon. Les noces sont célébrées avec faste à Nemours pendant huit jours puis suivent les festivités de l’arrivée de Flamenca à Bourbon. La description extraordinairement détaillée des fêtes de Bourbon, des danses, des musiques, des œuvres littéraires qui y sont jouées, « le plus incroyable déploiement de culture vivante dont on puisse rêver » selon Yves Rouquette, a fait de Flamenca un portrait exceptionnel de la société courtoise et a pu lui donner l’image d’un roman historique.

Mais Flamenca, roman du castia gilós (châtiment du jaloux) et de l’adultère, surprend surtout par son histoire, sulfureuse, d’autant qu’il fut composé dans la période de répression idéologique et religieuse de l’après-Croisade contre les Albigeois. Afin de conquérir Flamenca, tenue recluse par la jalousie de son mari Archambault, le chevalier Guilhem prend la place d’un clerc pour lui porter, à l’église, de dimanche en dimanche, le message de son amour, détournant le rite du baiser de paix (baiser du psautier). À la suite de nombreuses péripéties, cet amour adultère voire « hérétique » (René Nelli) finit par être consommé par les deux amants.

Flamenca est considéré comme un des premiers romans modernes et ne cesse de surprendre par la modernité de sa forme.  

Caractéristiques matérielles :

Le manuscrit de Carcassonne est incomplet. Le premier feuillet, mutilé, ne conserve que les premières lettres de six vers. Outre de nombreuses lacunes dans le corps même du volume, les derniers feuillets ont également disparu.

Le volume contient, en tête du manuscrit, une lettre autographe de François Raynouard, découvreur et premier éditeur de Flamenca, datée de 1834.

En savoir + :

En savoir davantage sur l’œuvre : consulter Flamenca : roman occitan du XIIIe siècle [fiche d’inventaire] dans le Répertoire du patrimoine culturel occitan.

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Archives départementales de l'Hérault
CIRDOC - Institut occitan de cultura
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