Explorer les documents (15469 total)

bohaires.jpg
Les Bohaires de Gasconha
Assemblée Générale des Bohaires de Gasconha les 18 et 19 avril à Lectoure (32). La réunion se déroulera dimanche mais l'association propose une journée d'animation la veille avec au programme des ateliers autour de la pratique de l'instrument, une soirée bal et repas.

La pratique de la cornemuse de Gascogne est inscrite à l'inventaire du Patrimoine Culturel Immatériel national en 2014.
L'association des Bohaires de Gasconha rassemble les sonneurs, facteurs et enseignants de la boha des Landes de Gascogne. Elle a été fondée en 1993 et a pour objectif de développer la pratique de la boha et de tous les instruments à vent de tradition populaire gasconne.

Aujourd'hui, près de 200 adhérents à l'association des Bohaires de Gasconha et une quizaine d'enseignants diplômés d'état actifs dans les conservatoires et associations.

Inf. : Confirmer votre présence à l'AG avant le 5 mars / Pour en savoir plus sur l'organisation sur place, appeler Bertrand au 06 87 68 44 55
Site : www.bohaires.fr
FB : https://www.facebook.com/AssociationBohairesDeGasconha/
Aficha-mostra.jpg
CIRDOC - Institut occitan de cultura
Du 21 février au 10 avril 2020, le CIRDOC - Institut occitan de cultura accueille une grande exposition d'art contemporain dédiée à la création niçoise, en lenga dai país.
Les artistes invités, de Ben à Jànluc Sauvaigo en passant par le collectif Nux Vomica, offrent une plongée dans l'univers foisonnant, riche et coloré de la culture nissarde, par trop méconnue. De nombreux rendez-vous ponctuent l'événement : concert, conférences, projections, spectacle... Suivez le guide !

« Tant qu’on parlera notre langue, notre art sera contemporain »

C’est cette citation, forte et sèche comme un coup de massue, inscrite par Ben sur une œuvre acquise en 2018 par le CIRDOC – Institut occitan de cultura, qui est à l’origine de l’exposition Nissa es Bellanda. L’art contemporain d’expression occitane vit, et vit bien. En particulier celui qui s’exprime en occitan nissart, tant il est vrai que l’effervescence et le bouillonnement créatif à Nice ont donné lieu, depuis des décennies, à un véritable renouveau de la création en lenga nòstra, ferment d’une culture de la résistance à l’uniformisation, héritière d’un imaginaire d’une grande richesse, tout à la fois métissé et profondément enraciné. Cette culture devenue souterraine à Nice, c’est celle de Bellanda, l’autre nom de la ville, dont on trouve trace dès l’époque médiévale dans La Vida de Sant Onorat, oeuvre du troubadour Raimon Fairaud.

Bellanda la mytérieuse

Bellanda, pour les artistes invités, c’est donc la part caché de Nice, son ADN, son âme profonde, loin des paillettes de la « Côte d’Azur ». Elle abrite en son sein un concept important, presque vital pour le peuple des Cagas-blèas (l’autre surnom des Niçois) : le pantai, autrement dit le rêve, étroitement lié à l’histoire de cette porte ouverte sur la Méditerranée, et qui sert de fil conducteur à une certaine contre-culture et à sa créativité débordante. Une culture « underground » comme on dit en bon français… Son symbole ? Une chauve-souris, la ratapinhata, synonyme de l’inversion des codes et de la création débridée.

Les artistes de Bellanda :

  • Jànluc Sauvaigo : peintre, poète, compositeur, musicien, auteur de bande dessinée… Depuis plus de 40 ans Jànluc Sauvaigo nous offre une œuvre riche et polymorphe, imprégnée de surréalisme. Au fil d’un voyage dans son monde, vous aurez l’impression d’être avec lui dans l’arrière-boutique d’un bar de la cité cachée. Un bar fumant dans une rue obscure où l’on peut écouter chaque jour des groupes jouant du blues, du folk, du jazz… au rythme des mots qui viennent colorer une poésie à la sonorité niçoise. 
  • Serge Dotti : enfant du Babasoc (la vieillie ville de Nice), c’est par le théâtre et l’art de la marionnette qu’il donne vie aux symboles, aux personnages-clés et au bestiaire de la culture niçoise.
  • Ben : exposé dans le monde entier, figure de l’avant-garde (avec le mouvement Fluxus notamment), Ben est sans conteste le plus connu des artistes engagés pour la reconnaissance et la promotion de l’occitan. Dès 1962 à Nice, il rencontre François Fontan (1929-1979), idéologue anticolonialiste, penseur du concept d’ethnisme. Fruit des échanges avec ce grand occitaniste : Ben s’engage par son art contre le « génocide linguistique », et porte haut les couleurs d’une Occitanie libre.
  • Louis Pastorelli : « Après plusieurs années d’absence, je reviens à Nice à la fin des années 1980, persuadé que si j’ai à faire et à affirmer quelque chose c’est ici, à Nice, qu’il me faudra le faire ». C’est en 1989 qu’il fonde avec ses complices le Hangar Saint-Roch, à la fois lieu emblématique et collectif d’artistes, plasticiens, sculpteurs, touche-à-tout qui mettent en commun leur envie profonde de démontrer que l’on peut vivre Nice, et pas seulement « à Nice ».
  • Vincent Calassi : dessinateur, peintre, sculpteur, il rejoint le Hangar Saint-Roch dès le début des années 1990 et s’engage pour faire vivre ce lieu d’expression libre et ouvert à tous. Mais aussi pour la renaissance de la langue niçoise, des fêtes populaires. Cela passera notamment par la chanson, à travers le groupe Nux Vomica, emblématique de ce nouveau pantai niçois.
  • Maurice Maubert : illustrateur prolifique, voyageur invétéré, il est de la troupe qui donne son âme au Hangar Saint-Roch et à ses émanations carnavalesques, artistiques, musicales. Dans son travail apparaissent des formes abstraites et colorées, nées de pigments, de terres, d’acrylique. Il expérimente diverses techniques et expressions : peintures, collages, drippings, sculptures, installations, et réalise des tableaux qui font irruption dans le réel, créant un espace symbolique et imaginaire.

Les évènements autour de Nissa es Bellanda :

Du vernissage à sa clôture, l’exposition sera ponctuée de nombreux événements :
Vendredi 21 février :
  • 18h00 // 2 conférences : « La remirabla vida de la BD oucitana en la vila pantalhada de Bellanda » par Jérémie Marçais (enseignant, traducteur) + « Jànluc Sauvaigo, un beatnik perdut de la nissardituda » par Olivier Pasquetti (enseignant, doctorant à l’université de Nice-Sofia Antipolis)
  • 19h30 // vernissage en présence des artistes, suivi d’un concert du groupe Nux Vomica
Mercredi 18 mars :
  • 10h // Madama Rata, un spectacle tout public de Jànmarc Cana, dans le cadre du cycle « Dimècres en familha ». Musicien accompli au sein de La Bande à Cana, l’artiste prête ici sa voix à une petite marionnette chauve-souris appellée Madama Rata, bien connue à Nice pour ses reportages, micro-trottoirs et ses points météo… mais aussi pour son caractère bien trempé !
Jeudi 9 avril :
  • 18h // Projection des films Going Back to Nissa la Bella (réal. Christian Passuello) et À propos de Nice (réal. Jean Vigo), en présence de Christian Passuello et de Karim Ghiyati, directeur d’Occitanie Films 
Et tout au long de l’exposition… De nombreuses visites scolaires, mais aussi des visites sur demande !

Infos et contacts :

Lo CIRDOC – Institut occitan de cultura Mediatèca (site de Béziers)
Place du 14 Juillet – 34 500 BEZIERS
info@oc-cultura.eu
04 67 11 85 10
2020-03-18. Café occitan. Occitanas. IEO 63.jpg
Institut d’Etudis Occitans dau Puèi-de-Doma
La prochaine soirée des Occitanas aura lieu le mercredi 18 mars prochain, à partir de 20h30, au Café-lecture Les Augustes.

La soirée est organisée par l'Institut d'Etudes Occitanes (IEO) du Puy-de-Dôme, il s'agira d'un Café-occitan animé par Philippe Marmy : "Auvergnat, patois, langue d'oc ? Venez discuter, vous exprimer, essayer ou juste écouter, en toute simplicité... mais avec un seul mot d'ordre : on parle en occitan d’Auvergne ou d’ailleurs !"

Informations pratiques

Mercredi 18 mars 2020 - 20h30
Au Café-lecture Les Augustes, 5 rue Sous les Augustins (tram Gaillard) – 63000 CLERMONT-FERRAND

Renseignements :
Institut d’Etudis Occitans dau Puèi-de-Doma / 06 08 21 45 55 / paisdomes.ieo@wanadoo.fr
vignette-bete-gevaudan.jpg
La Bête en Gévaudan (Affiche du Théâtre de la Rampe)
Théâtre de la Rampe (Montpellier)

La Bête en Gévaudan est une pièce de théâtre en français et en occitan, écrite et mise en scène par Claude Alranq, jouée par le Théâtre de la Rampe à partir de 1981 et mise en musique par Los de Sauveterre.

Le texte de la pièce est paru la même année aux éditions Regas del Causse :

«Tout le monde la connaît, personne ne l'a vie : La Bête. Tout le l'a vue, personne ne la connaît : la Bête en Gévaudan.
La Lozère au XVIIIe siècle. L'ordre contre le peuple ; le peuple bâtisseur de légendes, magicien de la terre. La Bête en face, debout, couchée, dehors, dedans, sens dessus dessous. La Bête, ce lieu où le sens se perd.
La Bête, ce drame !
Ce drame que Claude Alranq nous livre comme la victine à ses bourreaux. Que le Théâtre de la Rampe et « Los de Sauveterre » nous jettent au corps comme la pierre à l'oiseau qu'elle vise.
La Bête en Gévaudan, un choc. Un immense espoir qui reflète et qui, brisé, tranche. On a mal et on en jouit.
« Que la Bête revienne »
« Sans ma Bête, qui suis-je ? »
(4ème de couverture)

 
Kerangueven.jpg
Keranguéven, Jean-Louis
Cette grande eau verte du poème se lira comme un éloge de toutes les mers qui ont généré chez JeanLouis Keranguéven le poème à la fois de l’angoisse du départ et du non-retour, mais aussi de la fascination du mouvement perpétuel. Ce recueil est aussi, grâce à la traduction de Jean-Claude Forêt, un hommage à la terre occitane qui l’a accueilli et qui lui a permis une approche poétique de « l’autre mer ».

Jean-Louis Keranguéven, poète d’origine bretonne et d’adoption montpelliéraine, a coutume de dire qu’il s’est trouvé déposé en terre occitane par une marée d’équinoxe au coefficient imprévu. Tirant derrière lui ses filets d’exil, il a publié dans diverses revues ainsi qu’une quinzaine d’ouvrages dont certains ont été récompensés. Obsédé par la quête du mot exact, qu’il doit à l’influence guillevicienne et des poètes chinois, il se réfugie souvent sur la canopée pour compter les vagues, celles de l’Océan comme celles de la Grande Bleue.

Bilingue français-occitan, traduction occitane de Jean-Claude Forêt
thouxazunanoye.jpg
Comité des fêtes d’Anoye
Le Comité des fêtes d’Anoye propose un stage de chant avec Guillaume Lopez suivi d’une initiation aux danses traditionnelles et d’un bal avec ThouxAzun (Guillaume Lopez, Clément Rousse).

Informations pratiques

Stage 8€ / Bal 10€
Renseignements : 06 29 94 64 89

En savoir plus : http://ostaubearnes.fr/agenda/?event=bal-trad-51
logo_Musee-Paul-Arbaud.jpg
Musée-Bibliothèque Paul Arbaud
CIRDOC- Institut occitan de cultura

Collectionneur et mécène, Paul Arbaud (29 mars 1831 - 17 mars 1911) légua à l'Académie des Sciences, Agriculture, Arts et Belles Lettres d'Aix une collection remarquable tant par sa diversité que par son importance et la qualité des pièces et objets rassemblés. Installé dans un hôtel particulier du quartier Mazarin, le Musée Paul Arbaud propose aux visiteurs une riche bibliothèque, héritage d’un bibliophile aux intérêts multiples. La bibliothèque possède un fonds très diversifié : des documents iconographiques, principalement des estampes ; des dossiers d’archives thématiques, concernant des communes ou certaines familles de l’aristocratie provençale ; des manuscrits ; des imprimés dont le noyau originel reflète les intérêts de Paul Arbaud pour la culture régionale et les arts décoratifs, en particulier la céramique ; des publications académiques et périodiques. Ce dernier fonds (plus de 300 titres) est particulièrement intéressant pour l'abondance des journaux et revues en provençal du XIXe siècle. A cela s’ajoute une réserve précieuse de 1.200 ouvrages, de l'incunable à des ouvrages du début du XXème siècle.

Le CIRDOC - Institut occitan de cultura souhaitait valoriser les écrits de Bellaud de la Bellaudière, dont des éditions inédites sont conservées à Aix-en-Provence, dans les collections du Musée-Bibliothèque Paul-Arbaud. Les deux partenaires, partageant la même ambition de valorisation et de diffusion de ce pan de notre patrimoine écrit, ont décidé de s'associer autour de deux missions :
 - décrire et faire connaître le patrimoine écrit provençal du Musée-Bibliothèque Paul Arbaud
 - numériser et diffuser le patrimoine écrit provençal du Musée-Bibliothèque Paul Arbaud

Voir toutes les ressources du Musée-bibliothèque Paul Arbaud disponibles sur Occitanica


En savoir + 

Musée-bibliothèque Paul Arbaud sur le site de l’Académie ( accès au catalogue de la bibliothèque) : https://museebibliographique-arbaud.centredoc.fr/

Présentation de l’Académie des Sciences, Agriculture, Arts et Belles Lettres d'Aix-en-Provence : https://academiedaix.fr/index.html

Présentation de la bibliothèque de l’Académie : https://academiedaix.fr/bibliotheque.html

Présentation des collections de Paul Arbaud sur le site de l’Académie : https://academiedaix.fr/musee.html

vignette_4688.jpg
Le Ramelet moundi de Pierre Goudouli
CIRDÒC - Mediatèca occitana

Biographie 

[imatge id=22472]

Pierre Goudouli (1580-1649) est un auteur occitan toulousain qui compte parmi les plus influents de l’histoire de la littérature occitane. Il est parvenu à s’imposer comme un écrivain occitan en bâtissant une véritable carrière et un projet littéraire souvent couronné de réussite. Il est soutenu par les plus grands personnages de l’époque comme Adrien de Monluc ou Henri II de Montmorency.

Dès 1610, Godolin choisit d’écrire en occitan et publie A l’hurouso memorio d’Henric le Gran, à l’occasion de l’assassinat d’Henri IV par Ravaillac. La publication de ces stances est un véritable coup d’éclat. L’occitan apparaît comme une langue de très haute noblesse, capable d’aborder les sujets les plus hauts et les plus graves. 

Toute son oeuvre fut couronné d’un succès populaire.  Il écrit autant des fictions amoureuses, chansons à boire et à rire, boniments en prose récités au Carnaval toulousain, noëls empreints de sérénité ou méditations sur la mort et l’inanité du monde. 

Mais il est surtout connu pour le Ramelet Moundi

Le Ramelet Moundi : Une entreprise littéraire et linguistique de référence pour des siècles 

Un goût pour le langage : affirmation de la dignité linguistique 

Comme Odde de Triors dans ses Joyeuses recherches de la langue toulousaine, il s’intéresse aux dénivellements linguistiques. 

Il fait cohabiter la parole populaire, la langue très locale, teintée d’idiomatismes pittoresques et une langue qui tend à se rapprocher du français, un “francitan”. 

Il souligne cette distance à l’intérieur même de l’occitan dans les deux épigrammes du “Plat d’epigramas” de la première Floreta : l’une intitulée “Tot Francès entendrà aqueste quatren triat de mots franceses que son tanben mondins”, montre comment le français fait pression, “par le haut” sur l’occitan ; l’autre épigramme intitulé “Aci caldrà le diccionari”, insiste au contraire sur l’écart existant entre les deux langues au point d’avoir recours à un dictionnaire. 

Son livre a longtemps servi de référence, de syntaxe et de dictionnaire à ceux qui désiraient poursuivre son entreprise. 

Un succès d’édition

Le Ramelet Moundi que l’on peut traduire par “Le Bouquet toulousain” a été publié par livraisons successives - que l’auteur, filant la métaphore du titre, appela “floretas”- entre 1610 et 1648. Il connut en son temps comme au long des siècles, un succès d’impression dont la littérature d’oc ne connaît pas d’autre exemple. 

De son vivant, l’ouvrage est publié cinq fois puis après sa mort il continue à l’être, ce qui est un fait très rare. 

Plusieurs écrivains empruntent à Godolin leurs thèmes et leur langue. Cette “école toulousaine”, encore mal connue aujourd’hui, produit une littérature abondante, souvent publiée dans les "Triomphes", ces opuscules qui réunissent, chaque année, les compositions des lauréats du concours poétique des Jeux Floraux toulousains. 

Postérité de l’oeuvre

[imatge id=22473]

La langue et l’oeuvre de Godolin sont devenues ce qu’on peut appeler la “forme littéraire” de l’occitan, un langage autonome, à la disposition de tous ceux qui voulaient faire intervenir l’occitan dans leurs oeuvres. 

Ainsi, son oeuvre eut des répercussions chez Molière dans Monsieur de Pourceaugnac, dans l’opéra-ballet de Jean-Joseph Cassanea de Mondonville, Daphnis et Alcimadure et dans Le Troubadour d’Antoine Fabre d’Olivet.

Ressources numériques 

  • Les différentes éditions du Ramelet Moundi conservées à la Bibliothèque de Toulouse :
  • Obros de Pierre Goudelin augmentados d'uno noubélo floureto. [Avec : Le Dicciounari moundi de Jean Doujat]

Les différentes éditions conservées à la Bibliothèque municipale de Toulouse :

Texte numérisé d'après l'exemplaire de 1774 Res 35331 de la Bibliothèque de l'Arsenal (SCD de Toulouse 1)

Texte numérisé d'après l'exemplaire de 1811 de la Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, YE-12533

Goudelin, Pierre, LAS OBROS DE PIÉRRE GOUDELIN : AUGMENTADOS DE FORÇO PESSOS É LE DICCIOUNARI SUR LA LENGO MOUNDINO, Amsterdam, Daniel Pain, 1700, Musée Médard de Lunel, cote G013

Deux exemplaires conservés au CIRDÒC - Mediatèca occitana :

Las Obros de Pierre Goudelin, augmentados noubelomen de forço péssos, ambé le Dictiounari sur la lengo moundino ; Ount és més per ajustié sa bido, Remarquos de l'antiquitat de la lengo de Toulouso, le Trinfle moundi, soun Oumbro, d'amb'un Manadet de bérses de Gautié é d'autres pouétos de Toulouso. A Toulouso : chez J.-A. Caunes..., 1811, CIRDÒC - Mediatèca occitana, cote CR XIX-127 et CR XIX-303

  • Lithographies :

GODOLIN, Pierre. Oeuvres complettes de Pierre Godolin. Dir. J.M. Cayla et Cléobule Paul. Toulouse : Delboy, 1843. CXIX-604-XLVII p

vignette_22032.jpg
Festival de vidéo Rescontre : 10ème épisode - Tè Vé Òc
Cros, Amy. Metteur en scène ou réalisateur

Émission du 25 février 2020

Festival de vidéo Rescontre :  10ème épisode

Le festival Rescontre, dédié à la production audiovisuelle et organisé par Tè Vé Òc, aussi productrice de l'émission « Lenga d'Òc », a fêté sa dixième édition à la bibliothèque Simone Veil située à Marguerittes (Gard). Dans une salle de projection bien remplie, les spectateurs ont découvert les réalisations diverses et variées des artistes, documentaristes amateurs, journalistes ou simples passionnés de montage vidéo. Pas moins de 6 sur les 10 participants ont répondu à nos questions. Ils sont tous impliqués dans la valorisation de notre culture. Venez à la découverte des projets de chacun, de leurs façons de travailler.
Des extraits de courts-métrages diffusés lors du festival viennent agrémenter ce reportage d'Amy Cros.

[résumé : Tè Vé Òc]

veillee-occitane-racontages-bal_31757.jpg
Amicale Laïque de St Jory De Chalais
Samedi 29 février, un veillée occitane est organisée à la salle des fêtes de Chalais (24). Au programme : Racontages par Patrick Ratinaud de l'Association Camille Chabanaud. Il racontera et fera raconter aux participants des histoires locales en occitan.

Un bal traditionnel sera animé par l'accordéoniste Nicolas Peuch en deuxième partie de soirée. L'événement est organisé par l'Amicale Laïque de St Jory de Chalais.

INFORMATIONS PRATIQUES

Entrée 7 euros — Tél. : 06.68.51.77.44
Site : https://agendatrad.org/e_2020-02/veillee-occitane-racontages-bal_31757.html
sur 1547