IEO du Cantal
On est en mai. C’est bientôt le printemps.
Entre découverte des corps dans une chambre de bonne, les Rolling Stones sur la platine vinyle, le Bal des Vampires sur les écrans, la première nuit des barricades, les avortements clandestins, les ouvriers dans les amphis, Juliet, fille de bourgeois, et Pierrot, fils de prolo, tentent de s’aimer. Nicolas Bonneau ne se perd pas dans les clichés, il suit les parcours de quelques-uns, en essayant d’attraper au vol des sensations, des émotions, les symptômes d’une époque.
Un “68” ludique et humain, politique, polémique et porteur d’espoir.