Disponible sur Tolosana, la Bibliothèque numérique patrimoniale des universités toulousaines
Seconde édition, revue corrigée et augmentée de l'œuvre de Claude Peyrot publiée à Millau, en 1804, par l'imprimeur Pierre Chanson, suivies de plusieurs pièces fugitives qui n'ont jamais vu le jour.
Disponible sur Rosalis, la Bibliothèque numérique patrimoniale de Toulouse
Les quatre saisons, ou les Géorgiques patoises, publiées par Claude Peyrot en 1781, sous l'anonymat, font suite à la Primo Rouergasso (le printemps) titre de son premier ouvrage (1774). Cette seconde publication qui réunit le printemps, l’été, l’automne et l’hiver, est complétée par un glossaire destiné « aux lecteurs peu accoutumés au patois ». Elle est publiée comme la première par l'imprimeur Védeilhié de Villefranche-de-Rouergue.
Disponible sur Rosalis, la Bibliothèque numérique patrimoniale de Toulouse
La première édition des poésies patoises de Claude Peyrot, paraît en 1774, sous l'anonymat. L'auteur se signe M.P.A.P.D.P. mis pour Monsieur Peyrot Ancien Prieur de Pradinas. Cette édition qui contient des poésies occitanes puis les poésies françaises est publiée à Villefranche-de-Rouergue chez l'imprimeur Védeilhié. La première poésie intitulée : « la Primo Rouergasso » (le Printemps rouergat), annonce « Les Georgiques » qui vont suivre.
Né à Aix-en-Provence en 1820, Marius Bourrelly est un poète et dramaturge provençal ayant longtemps vécu à Marseille.
Il est l’un des acteurs principaux de l’histoire du félibrige. Il participe au recueil précurseur Li Prouvençalo impulsé par Joseph Roumanille en 1852 et intègre le félibrige dès sa création en 1854. Littérateur reconnu, il devient majoral du félibrige en 1876. Il participe en parallèle à de nombreuses revues : Bouil-Abaïsso, Lou Cassaire, Le Gay saber, Lou Brus, La Sartan et l’Armana prouvençau.
Il est également membre de l’Académie de Toulon. Il meurt à Pourcieux en 1896 et lègue sa bibliothèque et ses manuscrits à la Bibliothèque Méjanes d’Aix-en-Provence.
Legs en 1896
Fonds clos
Un courrier notarial adressé au maire d'Aix le 27 mars 1896 identifie 77 ouvrages reliés, 80 ouvrages brochés, une centaine de brochures, 19 manuscrits français (vaudevilles, chansons, poèmes), 11 manuscrits provençaux (poèmes, poésies diverses, contes, fables de la fontaines).
La bibliothèque est exclusivement composée de documents du XIXe siècle à l'exception de deux ouvrages de 1775 et 1776.
1775-1896
Occitan (provençal)
Occitan (languedocien)
Français
Latin
Environ 300 documents imprimés et manuscrits
Manuscrits/Tapuscrits
Monographies imprimées
Périodiques (presse et revues)
Manuscrits : Ms 1231 à Ms 1246, Ms 1716 et 1717, Ms 1731.
Imprimés intégrés dans le fonds Provence ou dans la Réserve
Les descriptions des Ms. 1231 à 1246, Ms. 1731 et Ms. 1716 et 1717 sont disponibles sur le Catalogue Collectif de France (CCFR).
Consultation gratuite sur place
René Jouveau (1906-1997) est le dernier félibre du nom, avec son épouse Marie-Thérèse Jouveau née Gautier, après son père Marius Jouveau qui fut comme lui Capoulié du Félibrige et Elzéar (ou Auzias) Jouveau son grand père. Le fonds René Jouveau est celui d’une bibliothèque constituée par quatre générations de félibres en plus de 100 ans.
Marie-Thérèse Jouveau, majoral du Félibrige a fait don à la médiathèque d’Arles en 2007 de sa bibliothèque ainsi que celle de son mari.
Fonds clos
CIRDÒC (Béziers, Hérault), Fonds Jouveau
La collection est constituée de 728 livres et revues, du XVIIIe au XXe siècle, pour la plupart en langue provençale. Entre autres, on peut citer les éditions originales illustrées et dédicacées de Max-Philippe Delavouët, les revues telles que Lo Gai saber, Lou Felibrige, Cartabèu de Santo Estello.
XVIIIe - XXe siècle
Occitan (provençal)
Français
Manuscrits/Tapuscrits
Monographies imprimées
Périodiques (presse, revues)
Catalogue consultable sur le site
Consultation sur place
Reproductions photographiques autorisées