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Les Infialurs d'Achille
Au cœur de l'hiver, Carnaval constitue une parenthèse, annonçant la fin des difficultés et l'entrée dans le printemps.

Héritier de la fête des fous médiévale, ses réjouissances sont traditionnellement un temps de pause durant lequel rôles et statuts s'inversent, la parole se libère, les masques deviennent porteurs d'un message critique vis-à-vis de la société et des pouvoirs en place.

Durant près de dix semaines, entre Noël et les Rameaux, les rues de Limoux (Aude) s'animent.

Autour du roi de la fête, sa majesté Carnaval, évoluent des figures contraires spécifiques à la cité de la haute vallée de l'Aude, Fecas et Godilhs.

Chaque samedi et dimanche de la période les bandes se suivent au rythme d'une musique menant à la transe sous les arcades de la Place de la République.
Les journées se découpent en 3 sorties (11h, 16h30 et 22h) qui ont leurs spécificités.

Pour en savoir plus.
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Les Réménils
Au cœur de l'hiver, Carnaval constitue une parenthèse, annonçant la fin des difficultés et l'entrée dans le printemps.

Héritier de la fête des fous médiévale, ses réjouissances sont traditionnellement un temps de pause durant lequel rôles et statuts s'inversent, la parole se libère, les masques deviennent porteurs d'un message critique vis-à-vis de la société et des pouvoirs en place.

Durant près de dix semaines, entre Noël et les Rameaux, les rues de Limoux (Aude) s'animent.

Autour du roi de la fête, sa majesté Carnaval, évoluent des figures contraires spécifiques à la cité de la haute vallée de l'Aude, Fecas et Godilhs.

Chaque samedi et dimanche de la période les bandes se suivent au rythme d'une musique menant à la transe sous les arcades de la Place de la République.
Les journées se découpent en 3 sorties (11h, 16h30 et 22h) qui ont leurs spécificités.

Pour en savoir plus.
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Le Pont Vieux
Au cœur de l'hiver, Carnaval constitue une parenthèse, annonçant la fin des difficultés et l'entrée dans le printemps.

Héritier de la fête des fous médiévale, ses réjouissances sont traditionnellement un temps de pause durant lequel rôles et statuts s'inversent, la parole se libère, les masques deviennent porteurs d'un message critique vis-à-vis de la société et des pouvoirs en place.

Durant près de dix semaines, entre Noël et les Rameaux, les rues de Limoux (Aude) s'animent.

Autour du roi de la fête, sa majesté Carnaval, évoluent des figures contraires spécifiques à la cité de la haute vallée de l'Aude, Fecas et Godilhs.

Chaque samedi et dimanche de la période les bandes se suivent au rythme d'une musique menant à la transe sous les arcades de la Place de la République.
Les journées se découpent en 3 sorties (11h, 16h30 et 22h) qui ont leurs spécificités.

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Les Copin's
Au cœur de l'hiver, Carnaval constitue une parenthèse, annonçant la fin des difficultés et l'entrée dans le printemps.

Héritier de la fête des fous médiévale, ses réjouissances sont traditionnellement un temps de pause durant lequel rôles et statuts s'inversent, la parole se libère, les masques deviennent porteurs d'un message critique vis-à-vis de la société et des pouvoirs en place.

Durant près de dix semaines, entre Noël et les Rameaux, les rues de Limoux (Aude) s'animent.

Autour du roi de la fête, sa majesté Carnaval, évoluent des figures contraires spécifiques à la cité de la haute vallée de l'Aude, Fecas et Godilhs.

Chaque samedi et dimanche de la période les bandes se suivent au rythme d'une musique menant à la transe sous les arcades de la Place de la République.
Les journées se découpent en 3 sorties (11h, 16h30 et 22h) qui ont leurs spécificités.

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Les Maïnatches
Au cœur de l'hiver, Carnaval constitue une parenthèse, annonçant la fin des difficultés et l'entrée dans le printemps.

Héritier de la fête des fous médiévale, ses réjouissances sont traditionnellement un temps de pause durant lequel rôles et statuts s'inversent, la parole se libère, les masques deviennent porteurs d'un message critique vis-à-vis de la société et des pouvoirs en place.

Durant près de dix semaines, entre Noël et les Rameaux, les rues de Limoux (Aude) s'animent.

Autour du roi de la fête, sa majesté Carnaval, évoluent des figures contraires spécifiques à la cité de la haute vallée de l'Aude, Fecas et Godilhs.

Chaque samedi et dimanche de la période les bandes se suivent au rythme d'une musique menant à la transe sous les arcades de la Place de la République.
Les journées se découpent en 3 sorties (11h, 16h30 et 22h) qui ont leurs spécificités.

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Les Arcadiens
Au cœur de l'hiver, Carnaval constitue une parenthèse, annonçant la fin des difficultés et l'entrée dans le printemps.

Héritier de la fête des fous médiévale, ses réjouissances sont traditionnellement un temps de pause durant lequel rôles et statuts s'inversent, la parole se libère, les masques deviennent porteurs d'un message critique vis-à-vis de la société et des pouvoirs en place.

Durant près de dix semaines, entre Noël et les Rameaux, les rues de Limoux (Aude) s'animent.

Autour du roi de la fête, sa majesté Carnaval, évoluent des figures contraires spécifiques à la cité de la haute vallée de l'Aude, Fecas et Godilhs.

Chaque samedi et dimanche de la période les bandes se suivent au rythme d'une musique menant à la transe sous les arcades de la Place de la République.
Les journées se découpent en 3 sorties (11h, 16h30 et 22h) qui ont leurs spécificités.

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Las Coudenos
Au cœur de l'hiver, Carnaval constitue une parenthèse, annonçant la fin des difficultés et l'entrée dans le printemps.

Héritier de la fête des fous médiévale, ses réjouissances sont traditionnellement un temps de pause durant lequel rôles et statuts s'inversent, la parole se libère, les masques deviennent porteurs d'un message critique vis-à-vis de la société et des pouvoirs en place.

Durant près de dix semaines, entre Noël et les Rameaux, les rues de Limoux (Aude) s'animent.

Autour du roi de la fête, sa majesté Carnaval, évoluent des figures contraires spécifiques à la cité de la haute vallée de l'Aude, Fecas et Godilhs.

Chaque samedi et dimanche de la période les bandes se suivent au rythme d'une musique menant à la transe sous les arcades de la Place de la République.
Les journées se découpent en 3 sorties (11h, 16h30 et 22h) qui ont leurs spécificités.

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Les Estabousits
Au cœur de l'hiver, Carnaval constitue une parenthèse, annonçant la fin des difficultés et l'entrée dans le printemps.

Héritier de la fête des fous médiévale, ses réjouissances sont traditionnellement un temps de pause durant lequel rôles et statuts s'inversent, la parole se libère, les masques deviennent porteurs d'un message critique vis-à-vis de la société et des pouvoirs en place.

Durant près de dix semaines, entre Noël et les Rameaux, les rues de Limoux (Aude) s'animent.

Autour du roi de la fête, sa majesté Carnaval, évoluent des figures contraires spécifiques à la cité de la haute vallée de l'Aude, Fecas et Godilhs.

Chaque samedi et dimanche de la période les bandes se suivent au rythme d'une musique menant à la transe sous les arcades de la Place de la République.
Les journées se découpent en 3 sorties (11h, 16h30 et 22h) qui ont leurs spécificités.

Pour en savoir plus.
« Le vin bourru bon document affiche.jpg
Jean-Claude Carrière

« ... car né dans une culture, j’ai vécu dans une autre.
De là mille questions sur ce qui nous fait et nous défait. Sur ce que nous avons perdu, gagné, sur ce qui nous reste... »

Jeu
Gilles Buonomo
Direction d’acteur
Gregory Nardella


Pourquoi le vin bourru ?

Lorsque l’on choisit d’adapter un roman au théâtre, c’est souvent pour des raisons personnelles précises. La raison la plus élémentaire ou première serait de
dire tout simplement « cela me plait, voilà tout » Pour le reste, c’est une affaire de théâtre, de mise en voix. Le spectacle est déjà là, il reste à le produire à le mettre en jeu. Or, il n’en est rien ; au début, on en sait rien ou si peu .Mais le reste est présent sur votre bureau, il vous parle, vous interroge au cours du travail, vous propose des va et vient incessants entre votre propre perception et celle de l’autre. Le texte de Jean Claude Carrière couvre une période de sa vie, celle de son enfance. Il nous interroge sur ce qui nous défait, sur ce que nous avons perdu , gagné, sué, ce qui nous reste. C’est peut-être ce qui me plaît le plus dans ce texte. Cet aller et retour permanent entre hier et aujourd’hui. Était ce mieux avant ? Je n’en ai pas l’assurance, ni même la certitude. Nos grands-parents n’ont jamais regretté la lampe huile !
En ce qui me concerne, je suis loin de ces images rurales du temps jadis, de ces rythmes de vie si particuliers qui construisaient le quotidien. Mais aujourd’hui je me questionne sur ce qu’est devenu notre quotidien, ou plutôt comment devons nous construire avec lui dans un monde où tout se précipite et où l’arrêt sur l’image est souvent synonyme d’angoisse.
Le « vin bourru » au contraire propose de se poser, de prendre le temps pour chaque chose et même si en ce temps-là, jadis, il y avait mille choses à faire. On savait pourquoi on les faisait, il y avait une sorte d’évidence, une loi naturelle que l’on pouvait suivre ou laisser de côté plus tard, en grandissant. Les autres, la nature, la famille vous servent de guide. Vous n’êtes jamais seul... Peut-être qu’en ce temps-là-là le sentiment de solitude n’existait pas. Jean-Claude Carrière nous offre un conte comme il sait le faire et propose une lecture à haute voix de son enfance.
Le « vin bourru », c’est encore et surtout une rencontre avec un auteur, un voyageur, un sage né à Colombières, au pied du mont Carroux. Jean Claude Carrière, on le sait, ne cesse de voyager, d’ailleurs personne ne sait jamais trop où il se trouve. Il voyage avec les mots. Le « vin bourru », c’est une vallée dans l’arrière-pays bitterois, un espace lové au pied d’une montagne sacrée, d’ailleurs, souvent un cousin ou un neveu y est né, l’arrière grand-père y posait des pièges ou ramenait des écrevisses qui amélioraient l’ordinaire.

Le « vin bourru », c’est aussi et surtout l’histoire d’une vallée juste à côté de chez moi. Une montagne nous sépare.

Mon territoire de vie, c’est Minerve et bien qu’étant un « estrangier d’aqui » je m’y sens plutôt bien. Avec l’auteur, nous sommes « voisins », c’est lui qui me l’a soufflé.

Proposition dramaturgique et scénographique

Au théâtre comme à la vie, la parole solitaire, en détaillant un thème ou un problème suggère de multiples issues, une quantité de choix possibles qui placent celui qui parle dans l’embarras, et évacue toute éventualité d’un choix unique.
Le « Monologueur » se retrouve rapidement dans la situation d’un voyageur qui doit prendre un train sans connaître la destination. Spirale de mots, d’actions, Changements de lieu, évocation d’espaces.
Où sommes nous au passé, au présent ?
Le vin bourru s’inscrit comme un roman autobiographique sur une période de vie, ici une enfance.

Un personnage : l’acteur

Il est nécessaire de créer un pacte entre le public et l’acteur. Le point de vue du spectacle reste celui d’une solitude : ôter du décor tout élément qui situerait trop précisément l’action, définirait un espace trop réduit où l’on rentre, d’où l’on sort, manipuler l’existence comme le font les marionnettistes, déplacer une vie.

La forme théâtrale : le monologue

Au fil d’une vie, nous passons plus de temps à monologuer qu’à dialoguer, nous passons beaucoup de temps à nous parler à nous-mêmes, à parler aux cailloux, à Dieu, à notre père qui est mort.
Nous sommes nous-mêmes monologues et nous retournons à notre rumination.
Le monologue est une forme qui va dans le sens du creusement, de la biographie, de la réminiscence du souvenir, du projet à la prophétie, de tous les excès.

Nous avons tous nos petites histoires. Celles de nos amours, celles de nos échecs, celles de notre vie.
Et tous, nous avons envie de raconter ces petites histoires...
Mais ce n’est pas toujours facile !
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La Compagnie Itinérairebis34 voit le jour en 2004 sous l’impulsion de Gilles Buonomo.

Comédien et metteur en scène, il s’installe à Minerve, village des hauts cantons héraultais, connu alors pour son  festival de théâtre auquel il participa à maintes reprises.

Une première création intimiste « les Plaisirs minuscules » librement adaptée de Philippe Delerm regroupe les complices du moment, Fabienne Suwala et Pierre Pages.

Dès lors, le ton est donné : des petites formes, un colportage contemporain qui devient témoin et messager de la parole des humbles et des sachants .
Dans l’ordre des possibles, le théâtre de la compagnie Itinérairebis34 s‘apparente à une maison transportable semblable à une caravane.

Le travail est structuré autours d’auteurs, de fragments de théâtre et d’adaptations de roman au plateau.

La mise en jeu se donne à voir le plus souvent dans un espace dépouillé ; les paysages langagiers sonores naturels la complètent  et ordonnent nos créations, nos choix :
  • découvrir des objets de nos quotidiens, fragments de  nos vies pour faire notre théâtre,
  • appréhender et jouer avec l’espace proposé et se rappeler à notre condition d’être sentant et ambulants,
  • ne pas céder à la tentation du pittoresque, ne pas théâtraliser mais se faire entendre,
  • témoigner de la vitalité du monde,  des hommes qui l’habite et rester à lisière de la nature humaine.
 
La volonté de la compagnie Itinérairebis34 est de faire un théâtre du sensible et de proximité.

« La beauté du monde, quand elle existe, mérite d’être saluée et reconnue comme une faveur ou comme un signe de complicité ». P Sansot
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