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Gairal, Sèrgi (Trad.)
En 1968, Serge Gayral, étudiant à Toulouse, interprétait un "entremés" de Cervantes, La Cueva de Salamanca (La Grotte de Salamanque). L’année suivante, il interprétait La Guarda cuidadosa (Le Gardien vigilant). Il était loin d’imaginer alors que, cinquante ans plus tard, il en ferait la traduction en occitan !
Un "entremés" est un intermède théâtral de caractère comique, d’un seul acte, représenté entre les actes des œuvres dramatiques du Siècle d’Or espagnol. Ces "entremeses" ont une valeur universelle ; chacun est le reflet de la société de ce temps-là, mais aussi et surtout de la nature humaine de toujours.
C’est un ouvrage de 158 pages, une édition occitane complètement inédite, qui devrait intéresser l’ensemble des lecteurs et plus particulièrement les compagnies théâtrales qui auront ainsi la possibilité de mettre à leur répertoire une œuvre d’un écrivain majeur de la littérature mondiale.
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La Counstitucién francézo per Charles-François Bouche (1792) : una traduccion provençala de la Constitucion de 1791
Assié, Benjamin
Cet imprimé révolutionnaire en occitan, bien que sorti des presses de l’Imprimerie nationale en 1792, n’est pas exactement un imprimé officiel. Si elle répond au décret du 14 janvier 1790 prévoyant la traduction des lois et décrets « dans tous les idiomes qu’on parle dans les différentes parties de la France... », cette traduction de la Constitution de 1791 en occitan provençal reste une initiative personnelle du député aixois Charles-François Bouche qui obtient cependant, cas rare si ce n’est unique pour ce type de document, qu’il soit imprimé par l’Imprimerie nationale. En effet, la très grande majorité des traductions des actes officiels répondant au décret de 1790 est restée à l’état de manuscrits, et pour une grande partie, semble perdue. [imatge id=20315]

Le document

Référence

La counstitucién francézo, traducho, counfourmamén eis Décrèts dé l’Assémblado naciounalo counstituanto, én lénguo prouvénçalo, é préséntado à l’Assémblado naciounalo législativo / par Charlé-Francés Bouche… Dins Paris : dé l’imprimarié naciounalo. 1792 = La constitution française, traduite, conformément aux Décrets de l’Assemblée nationale constituante, en langue provençale, et présentée à l’Assemblée nationale législative / par Charles François Bouche… A Paris : de l’imprimerie nationale. 1792.

Description physique

XV - 271 p., in-16 (15 cm).

Exemplaires connus

On connaît moins de dix exemplaires conservés de la Counstitucién francézo, ce qui révèle sans doute un assez faible tirage. L’inventaire du texte occitan de la période révolutionnaire de François Pic recense neuf exemplaires connus :

  • Archives nationales : AD/I/45
Exemplaire contenant une note manuscrite. Pas de description en ligne. Non consultable en ligne.

  • Bibliothèque nationale de France : 8-LE3-291
Description en ligne. Non consultable en ligne.

  • Bibliothèque interuniversitaire de La Sorbonne : HFR6-43
Description en ligne. Consultable en ligne. 

  • Bibliothèque de Marseille : 7227
Description en ligne. Non consultable en ligne. 

  • Aix-en-Provence, Musée Arbaud Aix-en-Provence : R.41
Pas de description en ligne. Non consultable en ligne.

  • Chicago, Newberry Library : coll. Bonaparte 4239
Description en ligne. Non consultable en ligne. 

  • Collections privées : Les trois autres exemplaires mentionnés sont dans des collections privées.

Documentation complémentaire 

Lettre de Charles-François Bouche à la municipalité d’Aix, Paris, le 8 juillet 1792. Archives municipales d’Aix-en-Provence, LL 314.
Cette lettre accompagne l’envoi de sa traduction imprimée à la municipalité. Il y donne des informations intéressantes sur la difficulté de réalisation : « Vous trouverez beaucoup d’imperfections dans cette traduction. Quelques-unes viennent de moi, sans doute ; mais beaucoup s’y sont glissées par la faute du compositeur qui ne savait pas bien lire et prononcer. Ce compositeur, c’est un Italien, le seul ouvrier qu’après trois mois de recherches, j’aie pu trouver dans cette ville, capable, jusqu’à un certain point, de ce genre de travail. »

L’auteur et l’œuvre

Charles-François Bouche

[imatge id=20312] Député d’Aix, Charles-François Bouche (1737-1795) est originaire des Alpes-de-Haute-Provence (Allemagne-en-Provence). Il est élu député du Tiers-État à Aix pour les États Généraux de 1789. Il devient maire d’Aix en 1790. Il était membre de l’Assemblée lors de l’adoption de la Constitution le 3 septembre 1791. Il meurt en 1795 à Paris. Ardent partisan de la Révolution dès 1789, il s’illustre en particulier pour le rattachement du Comtat venaissin à la France et la défense de la ville d’Aix face à Marseille dans le nouveau découpage départemental.
Petit-neveu d’Honoré Bouche (1599-1671), historien de la Provence, il est lui-même l’auteur d’un Essai sur l’histoire de la Provence (Marseille : Jean Mossy père et fils, 2 vol., 1785) et de plusieurs articles dans le Dictionnaire des hommes illustres de Provence de Claude-François Achard (1751-1809), auteur d’un Vocabulaire français-provençal. Bouche est donc un érudit provençal bénéficiant d'une certain culture linguistique voire philologique. 

Le contexte : la « politique des traductions (1790-1793) »

On connaît assez bien les intentions et le contexte de production de la Counstitucién francézo grâce à la lettre-préface que C.-F. Bouche publie en provençal en introduction de sa traduction : « Eis habitans deis déspartaméns deis Bouquous-daou-Rhôné, daou Var é deis Bassos-Alpos » [Lettre-préface de C.-F. Bouche]
Bouche inscrit son travail dans le sillage du décret de 1790 et donne un bon témoignage de ce que fut la réalité de ce que certains historiens à la suite de Ferdinand Brunot ont appelé « la politique des traductions » pour caractériser une période de débats et de positions relativement libérales sur la question de la pluralité linguistique possible dans la communication officielle qui a marqué les débuts de la Révolution. Ce moment s’achève en 1793-1794 avec la mise en place de la politique linguistique « d’éradication des patois » autour du Rapport de l’abbé Grégoire.
Comme chez l’avocat bordelais Bernadau qui traduit la « sainte » Déclaration des droits de l’homme, Bouche n’hésite pas à sacraliser l’Assemblée nationale et ses décrets, parlant dans son adresse aux Provençaux de « vouëstro benfactrisso é l’évangélisto daou moundé... ». Parmi l’œuvre bienfaitrice de ce nouveau régime : l’intention d’instruire le peuple non francophone et de contrer les fausses informations et mauvaises traductions censées être véhiculées par les adversaires de l’Assemblée.
Il met également à jour les difficultés de mise en œuvre qui ruinèrent au moins autant que les oppositions politiques la politique dite « des traductions » : il se décide à traduire et faire publier lui-même une traduction de la Constitution en constatant que personne d’autre n’en prend l’initiative. Dans sa Lettre à la municipalité d’Aix, Paris du 8 juillet 1792 (Archives municipales d’Aix-en-Provence, voir ci-dessus) il dit tout le mal qu'il a eu à trouver un compositeur compétent pour préparer l’impression du texte et les nombreuses erreurs qui en découlent.
Enfin, comme d’autres traducteurs, Bernadau en particulier, il fait preuve d'une réflexion sur la langue à employer dans sa traduction, recherchant une forme « unifiée » qui puisse être comprise par une population assez large, en dépit des parlers et variations locales : « dins aquesto traduccién, n’ai pas trabailla per leis habitans d’un cantoun, puleou qué d’un aoutré. Ai agu én visto touteis leis prouvénçaoux, é, én counséquansso, me siou sarvi daou léngagi lou pu généralamén réspéndu, aquo és-à-diré, d’aquéou qué l’o coumprén partou...»

Le contenu : une traduction jugée médiocre 

L’ouvrage de Charles-François Bouche s’ouvre par une lettre-préface en provençal, dans laquelle le député s'adresse à ses concitoyens et expose ses intentions. Il donne ensuite la traduction de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, texte original français en page de gauche gauche, traduction provençale à droite. Il fait de même pour le texte de la Constitution de 1791. Ces actes officiels sont suivis de plusieurs documents que Charles-François Bouche rajoute : La lettre du Roi acceptant la Constitution, datée du 13 septembre 1791, le procès-verbal de la séance de l'Assemblée nationale du 14 septembre 1791, la réponse du Président de l’Assemblée au Roi.
La traduction de la Déclaration et de la Constitution a souvent été jugée médiocre. On a pu évoquer le problème de la technicité du lexique des actes constitutionnels et du formalisme du style, comme difficulté pour un Provençal du XVIIIe siècle, bon connaisseur de l’histoire et de la littérature provençales, mais maniant une langue peu maîtrisée dans sa syntaxe et sa lexicographie pour restituer une traduction qui ne soit pas une simple provençalisation du texte français. En bon Patriote sacralisant ces textes (Déclaration et Constitution), il a aussi pu faire preuve de prudence et vouloir respecter à l’excès le texte original français (à l’inverse de Bernadau pour la version bordelaise qui prend de grandes libertés par rapport à l'original). Bouche avoue lui-même dans sa lettre-préface avoir cherché à transposer aussi littéralement que possible. En revanche, dans sa traduction des lettres du Roi et du Président de l’Assemblée, dont les textes sont moins techniques, le député aixois montre sa connaissance et ses capacités à traduire dans un provençal plus riche et plus naturel.

Éditions et études

La Counstitucién francézo n’a jamais fait l’objet d’édition intégrale.
La plus importante se trouve dans :
  • Claude MAURON, EMMANUELLI François-Xavier (dir.), Textes politiques de l’époque révolutionnaire en langue provençale, I, Textes en prose (Discours - Adresses - Traductions), Saint-Rémy de Provence : Centre de recherches et d’études méridionales, 1986.
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Émilie Esquerré

PRÉSENTATION

Pas tout à fait d’ici, pas de là-bas non plus, Irène n’est jamais vraiment à sa place.  Elle sillonne deux langues et deux cultures qui s’entremêlent, s’affrontent ou se complètent, sans jamais choisir de camp, sans jamais choisir d’ennemi. Pourtant lors d’une collecte linguistique, on lui refuse de dire son histoire car si elle comprend, elle ne parle pas sa langue. Sidérée par la violence de l’exclusion, Irène entame alors, en vagabonde de l’entre-deux, une quête onirique, intense et drôle, déroulant le fil ténu de son identité.  À la croisée de ses aïeux, de ses descendants, de ses amours, de ses employeurs… 
Réflexion sur la violence et la fragilité du discours identitaire, JPOP propose de suivre les états d’âmes, les souvenirs et les fantasmes d’une âme qui n’aime rien tant qu’asseoir ses fesses entre deux chaises. Car de cette position instable et vertigineuse peut se poser la question porteuse d’humanité : comment accueillir, comment faire de la place à l’autre ? 
JPOP est un hymne dédié à ceux qui refusent le discours communautariste, à ceux qui ne veulent pas perdre leur mémoire, à ceux qui ne rentrent jamais dans les cases. 

INFORMATIONS 

avec Emilie Esquerré, Jean-Marc Foissac, Françoise Goubert 
vidéo Franck Cantereau 
lumière Benoit Chéritel 
mise en scène Frédéric El Kaïm 
texte Emilie Esquerré et Frédéric El Kaïm 
sur une idée originale d’Emilie Esquerré
Production déléguée Compagnie Lilo (24), coproduction Une Compagnie (33), Théâtre des 39 marches (11).

Le spectacle Je ne parle pas occitan en public  a été financé par l'Agence culturelle départementale Dordogne-Périgord, le Conseil Départemental de la Dordogne, la Région Nouvelle Aquitaine, La Région Occitanie, le théâtre de La Rampe Tio (34), le Conseil Départemental des Landes, la Ville de Toulouse dans le cadre de Occitania Tolosa et soutenu par l'Espace culturel d'Eymet (24), leThéâtre des 2 Mains de Villeneuve-de-Marsan (40), le Cuvier de Feydeau à Artigues-près-Bordeaux (33), l’Espace culturel La Forge à Portets (33), le Théâtre de Ségure à Tuchan (11) et la Commune de Mensignac (24). 


CONTACT 

COMPAGNIE LILO
Le Château, appt 2e étage, Place du  Général de Gaulle – 24390 Mérignac
Tél : 05 53 03 52 17 / 06 38 80 03 56
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Sixième album du groupe de balèti "trad'actuel" gardois Coriandre.

Il y a vingt naissait l'aventure Coriandre. Le duo initial s'est assez rapidement transformé en quartet puis en quintet par l'adjonction d'une section rythmique expérimentée. D'emblée, l'occitan fut, comme une évidence, la langue choisie par le groupe afin de porter la plupart des chansons, qu'elles soient traditionnelles ou composées. Le français n'est pas ostracisé pour autant, puisque utilisé dans quelques morceaux. 
Sur la route qui a conduit les compères de long en large dans la région culturelle Occitanie, mais aussi au nord de l'Hexagone, en Bretagne, en Belgique, en Autriche, en Italie, en Espagne, Coriandre a déjà enregistré et produit cinq albums. 

Avec Camin d'Estèlas, comme à l'acoutumée, des ambiances où l'énergie propres à la formation sont au rendez-vous. Mais des titres intimistes offrent également une autre atmosphère à l'ensemble, dévoilant une coloration nouvelle et une facette encore peu connue de la bande. 

Dens Galvier : flûtes, saxos, hautbois languedocien, chalémie, chant.
Emmanuel de Gouvello : basses, chant, chœurs.
Yves Masson : guitares, bouzouki, ukulélé, chant, chœurs.
Vivian Péres : batterie, percussions, chœurs.
Phil Puygrenier : vielle à roue, cornemuses, chant, chœurs.

Rens. www.coriandre.info
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PRÉSENTATION DU SPECTACLE 

Coup de tonnerre dans le ciel du Piémont cévenol : Hélène 30 ans sans crier gare, débarque à Veyrac et annonce à son père Philippe, retraité de l'enseignement, qu'elle veut avec son expérience d'oenologue reprendre la propriété familiale aujourd'hui en friches ! Et lui qui partait chez le notaire mettre en vente les terres  pour mieux vivre avec sa mère Réjane qui a la tête à l’envers depuis la mort de son mari Henri, vigneron.. « Pas question de vendre les terres de la famille pour du terrain à bâtir et arrondir ta retraite    papa! »  Une longue dispute commence: il ne veut pas revenir en arrière et elle veut faire du vin bio!  Un événement dramatique, qu’il n’avait pas prévu, le fera changer de route.  

Texte : Anne Clément
Mise en scène : Anne Clément et Isabelle François
Musique : Julien Bénichou 
Avec : Isabelle François, Perrine Alranq et Jean Hébrard. 
 

FICHE TECHNIQUE 


Espace de jeu : Ouverture 6 m, Profondeur 7 m, Hauteur maxi 3 m 
Lumières : 1 prise 32 ampères triphasée (P17), ou 3X 32A  mono (P17) 
Lieux non équipés : la compagnie est autonome techniquement et peux  fournir le son, la lumière. Son : 1 lecteur C.D. diffusion en rapport avec la salle 
Durée : 1heure 20 
Montage décors :  2h.,  Lumières 2h. Démontage 2h. 
Repas et hébergement : 5 personnes (3 comédiens et 2 techniciens). 
Déplacements : 0.80€ le Km départ de Saint Hippolyte du Fort (Gard). 
Tarif :   2000€ à débattre en période de tournée. 

CONTACT 

Mail : gargamela.theatre@wanadoo.fr
Tél : 33 (0)4 66 77 92 57
Mobile :  33 (0) 686 26 72 17
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Lenga d'òc : Medelha (espectacle) / Tè Vé Òc
Emission dau 22 de novembre de 2018
La Compagnie « Rêves du 22 Mars » adaptèt « Medelha » en version bilinga, l'òbra teatrala maja de Max Roqueta. Anèrem a Montpelhièr a l'escasença d'una representacion dins lo pargue de la Maison pour tous Mélina Mercouri. Es dins la version sensa musica que vos prepausam de (re)descubrir aquela creacion presentada en mitan urban. Concebuda per èstre jogada a l'exterior, dins lo bruch ambient, aquela adaptacion de la pèça nos es detalhada dins una entrevista ambé Bruno Paternot, comedian e meteire en scena. Una immersion dins una òbra universala e intemporala.
Un reportatge d'Amada Cròs.
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Médiathèque intercommunale de RÉALMONT

PROGRAMME 

Samedi 1er et dimanche 2 décembre. 
Samedi :
  • 9 h - 13 h : Colloque Louisa Paulin, sa vie et son œuvre.
  • 16 h : Lecture croisée Louisa Paulin - Antonin Perbosc, par la compagnie Les Mouches du Coche.
Dimanche :
  • 10 h : Promenade - découverte : Louisa Paulin en sa bastide, par la Societé des Amis de Louisa Paulin.
  • 12 h : Vin de l'amitié
  • 15 h : Louisa Paulin et la musique, avec le musicologue Pierre-Joan Bernard et le groupe Nòu Sòrres.


INFORMATIONS PRATIQUES 

Médiathèque intercommunale de RÉALMONT (81). 
Page internet : ICI
Tél: 0531819603.
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Lo Gai Saber. - Annada 15, n° 110 decembre 1933
Estieu, Prosper (1860-1939). Directeur de publication
Lo Gai Saber es una revista literària occitana publicada dempuèi 1919. La rubrica L'Òrt dels trobaires es consacrada a la poesia, la rubrica Bolegadisa occitana balha d'informacions sus l'actualitat de l'accion occitana. La revista se fa tanben lo resson de las publicacions del domeni occitan e dels resultats del concors annadièr de poesia occitana de l'Acadèmia dels Jòcs florals.
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Lo Gai Saber. - Annada 15, n° 109 novembre 1933
Estieu, Prosper (1860-1939). Directeur de publication
Lo Gai Saber es una revista literària occitana publicada dempuèi 1919. La rubrica L'Òrt dels trobaires es consacrada a la poesia, la rubrica Bolegadisa occitana balha d'informacions sus l'actualitat de l'accion occitana. La revista se fa tanben lo resson de las publicacions del domeni occitan e dels resultats del concors annadièr de poesia occitana de l'Acadèmia dels Jòcs florals.
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Lo Gai Saber. - Annada 15, n° 108 octobre 1933
Estieu, Prosper (1860-1939). Directeur de publication
Lo Gai Saber es una revista literària occitana publicada dempuèi 1919. La rubrica L'Òrt dels trobaires es consacrada a la poesia, la rubrica Bolegadisa occitana balha d'informacions sus l'actualitat de l'accion occitana. La revista se fa tanben lo resson de las publicacions del domeni occitan e dels resultats del concors annadièr de poesia occitana de l'Acadèmia dels Jòcs florals.
sus 1498