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Edmond Duplan est un auteur compositeur interprète, né le 20 septembre 1930 à Pouzac, dans les Hautes-Pyrénées. Artiste populaire et troubadour bagnérais qui se qualifie de "chanteur pyrénéen" tout en renouvelant largement ce genre traditionnel, il s’exprime dans un registre chaleureux, direct, entraînant. Les paysages et les hommes des Pyrénées sont au cœur de son répertoire, tant en français qu’en gascon. La chanson Le refuge (1982), dont le refrain cite un grand classique du pyrénéisme, est devenue à son tour un classique de la culture pyrénéenne, à la fois hymne rencontrant l’adhésion d’un vaste public et standard repris par de nombreux interprètes.
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Après vous avoir montré pendant 10 ans ce qu'il avait sous son kilt, Dj Balpore's vous montre désormais ce qu'il a dans la tête et dans le coeur avec son premier album "Le plus beau jour de ma vie n'est pas encore arrivé". Originaire de Toulouse, cet agent provocateur au langage légèrement déplacé revendique ses opinions à travers des phrases et des idées parfois surprenantes. Ne quittant jamais son maillot blanc à pois rouge, il nous fait découvrir son monde, teinté d'humour et de choses invraisemblables de la vie de tous les jours. Vous y retrouverez les grands titres occitans et basques remixés à sa sauce. Dans un climat de fête, il aborde un problème médiatique mais mal connu du grand public: la liberté de chaque peuple, qu'il exprime dans ces 13 titres et dans les 25 oeuvres dessinées sur la pochette du CD. Il y souffle paradoxalement un vent de fête, de contestation et de liberté. Le lancement de l'album s'est fait le 12 mai à la Peña Festayre, l'ambassade des fêtes du Sud Ouest à Paris, où il anime régulièrement des soirées depuis 4 ans. Dj balpore's transforme celles-ci en véritables bodegas où tous les festayres sauront y retrouver l'ambiance des férias du Sud.
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Originaire de Toulouse, cet agent provocateur au langage légèrement déplacé revendique ses opinions à travers des phrases et des idées parfois surprenantes. Ne quittant jamais son maillot blanc à pois rouge, il nous fait découvrir son monde, teinté d'humour et de choses invraisemblables mais vraies de la vie de tous les jours. De son vrai nom Sébastien Alibert, cet enfant du Lauragais a ouvert avec son complice Vincent Jalbaud, la Péna Festayre, une enclave du Sud-Ouest en pleine capitale, du côté de la cité des Sciences et de La Villette. Un petit coin où il fait bon vivre et où l'on résiste à la morosité parisienne à coup de jambon et de vins du pays, de cassoulet, de saucisse et de coustellous grillés et de bonne musique. La musique justement, c'est son affaire. Depuis 10 ans qu'il en fait, il est passé maître dans l'art de remixer des tubes à la sauce occitano-basque.
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Située à Bayonne dans les Pyrénées Atlantiques, la société Agorila est un des plus anciens labels musical qui existe en France. Fondée en 1949 par Pierre Meyzenc, notre maison de disque est depuis toujours le label basque par excellence.

Aujourd’hui, plus de 800 CD sont édités par Agorila. Leader des musiques de fêtes, mais aussi spécialiste des chorales et des chœurs d’hommes, du rock et du folk basque, des musiques de bandas, notre société est indéniablement estampillée Sud Ouest.

Notre label s’est aussi forgé une solide réputation dans les pasodobles et musiques taurines, et nous réalisons chaque année la vidéo des fêtes de Bayonne. Nous produisons également des hymnes de rugby et de 3ème mi-temps tels que le Paquito Chocolatero ou le Vino Griego (hymne de l’Aviron Bayonnais), connus et reconnus dans la France entière.

Comment ne pas évoquer également les célèbres humoristes du Duo des Non, que nous distribuons, et dont la notoriété n’est plus à faire dans notre région.

Toujours à la recherche de nouveaux talents et constamment tournés vers l’avenir, nous cherchons sans cesse à développer notre image à travers les nouveaux moyens de communication et de diffusion musicale.

Authenticité, tradition et professionnalisme font de notre maison d’édition musicale une institution plus que remarquable, qui dépasse les seules frontières du Pays Basque.
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Que Quio, c'est un groupe gascon qui mélange rock folklorique et langue traditionnelle. Se définissant eux même comme les Troubadours Gascons du 21è siècle, le groupe est original autant dans la diversité des vieux instruments utilisés que sur les airs et les rythmes musicaux électro acoustique joués. Sur ce CD, la touche campagnarde est indéniable, mais représentée avec tellement de modernité et de musicalité qu'on en oublie le temps présent. Cet album est fait pour tous ceux qui pensent au passé, à tous les gens qui parlaient le gascon. Il est fait aussi pour tous ceux qui transmettent ce patrimoine et qui se battent à leur manière pour la sauvegarde des langues régionales.
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Que Quio, c'est un savant mélange des temps passés et modernes, qui allie originalement rock folklorique et langue traditionnelle, justifiant leur surnom de Troubadours Gascons du 21ème siècle. Ce second album, "De Cap au So", nous transporte une nouvelle fois dans leur univers musical et culturel. A travers 13 titres, nous découvrons les légendes du pays gascon, mises en avant par des instruments dont eux seuls ont le secret. Du Rondo traditionnel avec "La Gale" aux paroles plus engagées de "Qu'en soi Hart", rien n'est laissé au hasard pour permettre au public de découvrir les nombreuses facettes de leur musique. La course des nuages, le temps qui passe, la sonorité d'instruments de troubadours, des airs traditionnels mêlés aux créations, du présent au parlé Gascon, voilà les principaux thèmes que vous pourrez écouter sur ce disque
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Le groupe "Que Quio" a maintenant plus de 6 ans d'existence puiqu'il a vu le jour en 2005. Bruno Sallaberry et Thierry Narbais, copains d'enfance et camarades au lycée, se retrouvent l'été de cette même année à l'occasion de ferias. La passion du Moyen Age qui les unissait quand ils étaient jeunes revit alors immédiatement.
Bruno a été à l'origine de la création du groupe. C'est d'ailleurs lui qui compose la musique et les paroles, interpretées en duo avec Stéphane Landarabilco. Ils parlent du passé mais aussi de l'avenir, le tout appuyé par un orchestre moderne soutenu par des instruments traditionnels tels que la cornemuse, le violon, la flûte, les percussions, l'accordéon diatonique...
Cette formation essaie d'apporter sa touche culturelle au monde Occitan Béarnais Gascon. Les thèmes abordés parlent de la vie quotidienne, de l'environnement, des traditions...  Les membres de QUE QUIO se revendiquent eux mêmes comme les nouveaux troubadours du 21è siècle, toujours prêts à divertir le public et à le faire rire.
Le groupe compte déjà des dizaines de concerts dans toute l'Aquitaine, émaillés de rencontres avec NADAU, Niko Etchart, ARRAYA...
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Née en 2003, à l’initiative de Manu Théron, la Compagnie du Lamparo est une association regroupant des activités liées aux musiques et aux cultures d’oc à Marseille ou dans la région marseillaise.

Elle héberge un certain nombre de projets de création, de transmission et d’actions de recherche, dont la plupart s’ancrent dans le quartier de la Plaine et s’appuient sur les savoirs populaires présents dans la cité. Naturellement, même en enracinant cette interrogation quotidienne des pratiques et des savoirs dans le vieux fonds indigène en langue d’oc, la Compagnie du Lamparo imagine et tisse les liens possibles que cette culture entretient avec toutes celles du bassin méditerranéen, dont certaines irriguent la ville depuis sa fondation.

Pour autant, la connaissance et l’usage de l’occitan marseillais (provençal maritime) ne sont en rien vecteurs d’une (re)formulation identitaire ou d’une hypothétique (dé)limitation du cadre de la création ; encore moins porteurs de discours vagues, angélistes ou catastrophistes, sur un état supposé de la Méditerranée.
Nous souhaitons
fonder une approche poétique et une esthétique musicale qui intègrent des pratiques liées aux savoirs populaires, par la fréquentation de territoires et le questionnement des aspects les plus organiques et les plus souterrains des musiques et des discours qui les ont façonnés.

La Compagnie du Lamparo est une compagnie musicale conventionnée par la DRAC Provence-Alpes Côte d’Azur, le Conseil Général 13 et soutenue par le Conseil Régional Provence-Alpes Côte d’Azur et la ville de Marseille.

Projets Artistiques

Depuis 2003 la Compagnie du Lamparo a enraciné son action dans l'étude et l'exploration des savoirs musicaux populaires issus des cultures d'Òc à Marseille. Ce travail s'effectue dans plusieurs domaines d'activités liés à la musique, et tente de les mettre en cohérence par des choix esthétiques et pratiques qui en privilégient les aspects les plus marquants : la voix et l'oralité, l'histoire des cultures populaires, la Méditerranée.

C'est dans le domaine de la création musicale que ces choix sont le plus efficients, et les projets que nous présenterons ces prochaines années ne démentiront pas la direction prise depuis la fondation de la Compagnie.

Lo Còr de la Plana, après sa rencontre en 2010 avec le groupe de chanteurs populaires du Sud Algérien El Maya, reprendra le chemin de l'Italie méridionale, en s'associant à deux formations emblématiques du renouveau des musiques traditionnelles du Mezzogiorno, Assurd et Mascarimirí. Il nous paraît important de ne pas rompre ce lien que nous avons, à l'instar d'autres associations occitanes, réussi à construire avec des artistes et des réseaux associatifs du Sud de la péninsule italienne, car nous partageons une volonté commune de voir émerger nos territoires sur le plan culturel sans rien renier de ce qui a façonné leur spécificité et leur culture. La perspective de Marseille Provence 2013 nous donnera l'occasion de l'exprimer, et de vérifier aussi comment nos préoccupations peuvent rejoindre des politiques culturelles plus «générales».

Parmi les projets musicaux qui inciteront les cultures d'Òc à Marseille à l'envol vers d'autres territoires esthétiques ou géographiques, Le projet de Chœur Populaire des Pays d'Òc permettra de voir confluer à Marseille les expressions vocales les plus novatrices et les plus représentatives de l'ensemble des territoires de Langue d'Òc. Cette relation avec d'autres esthétiques, celles des musiques actuelles notamment, trouvera une concrétisation insolite lors de la rencontre avec Ange B, Clément Gauthier et Henri Maquet. Enfin, par l'exhumation de textes médiévaux, témoins de la ferveur magdalénienne des marseillais de l'ancien temps, nous tenterons, lors d'une création avec vingt chanteuses occitanes, de retrouver le lien magique et protecteur qui unit toutes ces expressions vocales à l'une des incarnations les plus fécondes et les plus intemporelles de la féminité.
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Polyphonies marseillaises
Paru en 1998 chez L'Empreinte Digitale, Polyphonies marseillaises est l'unique disque du trio polyphonique Gacha Empega composé de Manu Théron, Sam Karpienia et barbara Ugo.
À la fois influencé par le punk, la chanson populaire bulgare et le chant gitan, le trio s'accompagne au bendir et tambourin, tout en chantant en occitan sur des rythmes italiens.
Fait notable : il n'y avait jusqu'alors de trace d'une quelconque pratique polyphonique à Marseille. Gacha Empega invente la tradition, et joue avec les codes.
A la fin des années 1990, le groupe Gacha Empega se sépare. Manu Théron monte alors de son côté Lo Còr de la Plana, et Sam Karpienia le groupe Dupain.

1. Qu'es aquò un gacha empega ? 1:04
2. Engambi 1:49
3. Quand ausèrian lei novèlas 1:45
4. Satan 1:54
5. Lo marrit riche 3:23
6. Lo mossi 4:03
7. Barjacadissa 0:09
8. Adieu paure Carnavas 2:23
9. La mau marideia 3:06
10. Vaquí lo polit mes de mai 2:22
11. La tradicion... 0:42
12. Vautrei que siatz assemblats 2:17
13. Lo boièr 2:42
14. La Nòvia 4:13
15. Barjacadissa 0:50
16. La romança de Clotilda 8:56
17. Non poiriá anar plus mau 3:12
18. Lo miserere 3:04
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