De la Sarda a l’òli (la sardine à l’huile) à la Luseta (le vers-luisant), du Gabian (de Seta) à la "Vache qui rit dans sa tête en triangle” ce bestiaire s'affiche autant en tant qu'œuvre plastique que littéraire, grâce au travail du peintre sétois Pierre François qui réalisa des illustrations au fur et à mesure de la rédaction des poèmes par Jean-Marie Petit.