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Type de Document : Livre
Portail : Mediatèca
Dialecte : Languedocien
Sauf
Contributeur : BM Nîmes
Auteur : Bénazet, Olympe (1802-1879)
Auteur : Daveau, J.
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Livre (99)
Mise en ligne : 27/04/2017
Tipe : Libre / Data : 1884
Lou reprin est un recueil de contes de la région de Béziers, avec traduction en français à la suite, publié par Gabriel Azaïs (1805-1888). L'auteur qui a publié quelques années plus tôt le Dictionnaire des idiomes romans du midi de la France donne ici le récit en vers des événements, des contes, fables et discours de sa région.
Mise en ligne : 22/05/2017
Mise en ligne : 24/06/2013
Tipe : Libre / Data : 1893
Troisième et dernier livre publié en 1893 par Junior Sans, poète biterrois, qui se signe le Félibre de la Naveto et édite ses poésies sous le nom de telados (toiles), en hommage à son père tisserand.
Mise en ligne : 24/06/2013
Tipe : Libre / Data : 1881
Second livre publié en 1881, par Junior Sans qui se signe le Félibre de la Naveto et édite ses poésies sous le nom de telados (toiles), en hommage à son père tisserand.
Mise en ligne : 24/06/2013
Tipe : Libre / Data : 1875
Premier livre publié en 1875 par Junior Sans, poète biterrois qui se signe le Félibre de la Naveto et édite ses poésies sous le nom de telados (toiles), en hommage à son père tisserand.
Mise en ligne : 24/06/2013
Tipe : Libre / Data : 1906
Premier volume des Chants et chansons populaires du Languedoc, recueillis avec la musique notée et la traduction française, publié par Louis Lambert (1835-1908) directeur au Conservatoire de Montpellier en compagnie de son ami Achille Lambert.
Le but de l'auteur est « de sauver d'un oubli, malheureusement trop certain aujoud'hui, les traditions de nos ancêtres, de fixer pour toujours les chants qui firent leur joie au sein du foyer, les chansons improvisées par les travailleurs...»
Mise en ligne : 24/06/2013
Tipe : Libre / Data : 1906
Second volume des Chants et chansons populaires du Languedoc, recueillis avec la musique notée et la traduction française, publié par Louis Lambert (1835-1908) directeur au Conservatoire de Montpellier en compagnie de son ami Achille Lambert.
Le but de l'auteur est « de sauver d'un oubli, malheureusement trop certain aujoud'hui, les traditions de nos ancêtres, de fixer pour toujours les chants qui firent leur joie au sein du foyer, les chansons improvisées par les travailleurs...»
Mise en ligne : 24/06/2013
Tipe : Libre / Data : 1832
Cavalier de Calvisson publie en 1832 une pièce sous forme de Dialogue faisant intervenir « l'ombre de Louis XVI » qui s'exprime en français et « son jardinier de Saint-Cloud, originaire du Languedoc » qui s'exprime en occitan.
Mise en ligne : 24/06/2013
Tipe : Libre / Data : 1835

Consulter le document sur Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62119167

Coumbettos dit Couquel était en 1835 un ouvrier ébéniste de Castelnaudary, sans instruction, mais doué d’une remarquable facilité pour composer et improviser de petites pièces patoises qu’il chantait lui-même et qui eurent bientôt une vogue extraordinaire.
La plupart de ses pièces, nous dit Louis de Santi, « ont été composées au cabaret à l’occasion de menus incidents dont les héros étaient ordinairement des ouvriers du faubourg qu’il habitait ou des camarades ». Santi précise à son sujet : « Beau garçon, âgé de 30 ou 35 ans, doué d’une superbe voix de baryton,  il était la coqueluche des ouvriers de cette petite ville. Malheureusement il buvait beaucoup et il a laissé la réputation aussi bien d’un incorrigible ivrogne que d’un joyeux compagnon ».

La plus célèbre de ces pièces, consacrée à Castelnaudary, a été la Coumplainto dél Capou dé la gato. La gato était une vieille femme très avare qui possédait un vieux coq qui disparut un beau soir de son poulailler. Elle accusa quelques jeunes gens, dont Couquel faisait partie, de l’avoir volé et de s’en être régalé - c’était le pendant du chat de la mère Michel - Couquel ne manqua pas l’occasion d’en faire une chanson qui fut le Capou de la gato, que tout le monde chanta bientôt à Castelnaudary. Le traiteur Lamocho dont il est question dans cette pièce tenait un cabaret sur le port fréquenté ordinairement par Coumbettos. Tous les personnages nommés dans la pièce Las mouninos étaient les amis de cabaret de Couquel ; ils ne sont, comme c’était alors l’habitude, désignés le plus souvent que par leurs surnoms et mentionnés dans les poèmes que sous leurs initiales. Ainsi én Corno (én C) était un plâtrier appelé Embrit, Ruqua (R) un jardinier, Cabos un forgeron, Gomart ou Gomard un ancien soldat ivrogne fieffé, Baptiste Dutar (D) un marchand de Castelnaudary. (Informations relevées par une note manuscrite dans l'exemplaire du CIRDOC).
Mise en ligne : 01/12/2016
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