Recèrca

sus 7
Filtrar
Filtres actifs
Type de Document : Livre
Portail : Mediatèca
Contributeur : BNF
Sauf
Auteur : Astros, Jean-Géraud d' (1594?-1648)
Auteur : Goudelin, Pierre (1580-1649)
oci (30)
frd (19)
fre (17)
pro (4)
BNF (61)
Livre (61)
Tipe : Libre / Data : 1890
Consulter sur Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k229402b/f40.item
Vinols de Montfleury nous explique dans sa préface de l'ouvrage que « dans cette partie du Velay circonscrite par les montagnes, on parle le pur Vellavien ; dans cette contrée tout est méridional, le caractère, le parler et les allures de la population ».

Son dictionnaire est publié pour la première fois dans les Annales de la Société d'agriculture, sciences, arts et commerce du Puy, (tome 34, 1878-1889). Il comporte deux parties : une première consacrée aux observations grammaticales et conjugaisons, une seconde consacrée au vocabulaire patois Vellavien-Français, puis du vocabulaire Français-patois Vellavien, complétée par un supplément et des poésies patoises.
Mise en ligne : 05/01/2017
Mise en ligne : 05/01/2017
Tipe : Libre / Data : 1835

Consulter le document sur Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62119167

Coumbettos dit Couquel était en 1835 un ouvrier ébéniste de Castelnaudary, sans instruction, mais doué d’une remarquable facilité pour composer et improviser de petites pièces patoises qu’il chantait lui-même et qui eurent bientôt une vogue extraordinaire.
La plupart de ses pièces, nous dit Louis de Santi, « ont été composées au cabaret à l’occasion de menus incidents dont les héros étaient ordinairement des ouvriers du faubourg qu’il habitait ou des camarades ». Santi précise à son sujet : « Beau garçon, âgé de 30 ou 35 ans, doué d’une superbe voix de baryton,  il était la coqueluche des ouvriers de cette petite ville. Malheureusement il buvait beaucoup et il a laissé la réputation aussi bien d’un incorrigible ivrogne que d’un joyeux compagnon ».

La plus célèbre de ces pièces, consacrée à Castelnaudary, a été la Coumplainto dél Capou dé la gato. La gato était une vieille femme très avare qui possédait un vieux coq qui disparut un beau soir de son poulailler. Elle accusa quelques jeunes gens, dont Couquel faisait partie, de l’avoir volé et de s’en être régalé - c’était le pendant du chat de la mère Michel - Couquel ne manqua pas l’occasion d’en faire une chanson qui fut le Capou de la gato, que tout le monde chanta bientôt à Castelnaudary. Le traiteur Lamocho dont il est question dans cette pièce tenait un cabaret sur le port fréquenté ordinairement par Coumbettos. Tous les personnages nommés dans la pièce Las mouninos étaient les amis de cabaret de Couquel ; ils ne sont, comme c’était alors l’habitude, désignés le plus souvent que par leurs surnoms et mentionnés dans les poèmes que sous leurs initiales. Ainsi én Corno (én C) était un plâtrier appelé Embrit, Ruqua (R) un jardinier, Cabos un forgeron, Gomart ou Gomard un ancien soldat ivrogne fieffé, Baptiste Dutar (D) un marchand de Castelnaudary. (Informations relevées par une note manuscrite dans l'exemplaire du CIRDOC).
Mise en ligne : 01/12/2016
Tipe : Libre / Data : 1816
En 1816, François-Just-Marie Raynouard publie le premier volume de son Choix des poésies originales des troubadours. Les preuves historiques de l'ancienneté de la langue romane. Recherches sur l'origine et la formation de cette langue et éléments de sa grammaire avant l'an 1000. 
Mise en ligne : 03/09/2015
Tipe : Libre / Data : 1888
Édition du texte de la Nòbla leiçon, recueil de poèmes occitans de l'Église vaudoise, d’après le manuscrit de Cambridge, accompagné de ses variantes et suivi d'une traduction française et de traductions en vaudois moderne, publié par Édouard Montet en 1888.
Mise en ligne : 03/09/2015
Tipe : Libre / Data : 1889
Étude consacrée aux traductions de la Bible en provençal et en dialecte des vallées vaudoises, publiée par Samuel Berger avec un appendice par Paul Meyer publié dans la revue Romania (t. XVIII) en 1889.
Mise en ligne : 03/09/2015
Tipe : Libre / Data : 1882
Registre manuscrit écrit en 1668 sous le nom de « Le livre de l’épervier » contenant un recueil de chartes communales et tarif de l’élection du Haut-Rouergue ou Millau en 1666. Ces chartes sont transcrites en occitan par un bourgeois de la ville de Millau du nom de Caylus, à partir d’un registre datant du milieu du XIVe siècle (1349) contenant les chartes originales. L’épervier qui a donné son nom au livre est reproduit en tête de l’ouvrage, sous les blasons de la couronne de France et de la ville de Millau. Il fait allusion à la franchise de droits de péage accordée par la ville pour les éperviers. Le registre cartonné in-4°, relié en basane fauve pour moitié et restauré avec un parchemin au dos, est conservé aux archives municipales de Millau cote AA11 (inventaire Affre, 1852). L’original contenant les chartes est conservé à la BnF. C’est Léopold Constans qui édite le texte en 1882 avec une introduction, un glossaire et une table des noms propres dans les publications de la Société d’étude des langues romanes (Montpellier).


Consultable au CIRDÒC-Mediatèca occitana, CAC 2423
Mise en ligne : 03/08/2015
Tipe : Libre / Data : 1567

Résumé 

On ne connaît pas bien les circonstances qui ont pu présider à la composition et à la publication des Poésies gasconnes. 

Ce que l'on peut dire c'est que leur composition s’échelonnerait sûrement sur une longue période entre ses études à Toulouse et le moment où il revient à Lectoure. 

Note de  contenu 

Ce recueil poétique renferme : 

La Dédicace à Henri de Navarre et la préface française (Au Lecteur)  

8 Eglogues 

Ce sont des dialogues ou des entretiens de trois à cinq personnages rustiques, à la manière des églogues antiques, et en vers de dix pieds; deux autres sont les monologues d’un personnage qui se raconte lui-même en octosyllabe, dans une veine qui n’a rien de grec ni de latin. 

Les quatre premières ont pour sujet la guerre et les armes ; les quatres dernières sont les bergeries du temps de paix.  

En effet, elles portent la marque des troubles que connaît Lectoure entre 1561 et 1567, la ville est alors disputée entre catholiques et protestants. 

Il imite les Bucoliques de Virgile, en faisant parler des paysans et paysannes mais chez lui ils sont vraiment de Lectoure et témoignent de leur souffrance vis à vis des guerres de religion. Toujours au moins un personnage exprime les sentiments propres de Pey de Garros lui-même. 

6 suites de Vers Heroicz en vers de douze pieds forment la deuxième partie. Ce sont des monologues de héros antiques : Hercule, Alexandre le Grand, Pyrrhus, Annibal, Sylla, Jules César.

Plusieurs sources d’inspiration sont à l’origine de ces vers : 

Il imite les Hymnes de Ronsard parus en 1555 et 1556 

  • les Métamorphoses d’Ovide 
  • les Odes d’Horace 
  • les Hymnes du poète grec Alexandrin Callimaque
  • les Idylles héroïques de Théocrite 
  • les Vies de Plutarque

Ces vers sont originaux d’une part parce que les sujets parlent d’eux, de leurs exploits et de leur morts à la première personne. C’est une sorte de monologue aux Enfers. D’autre part parce qu’ils font leur confession, les héros montrent eux-mêmes la vanité de leur gloire et leur faiblesse. Ils sont soumis comme les autres hommes au destin, à la loi divine et à la mort. 

Pey de Garros montre ainsi ses soucis de moralité chrétienne et fait de sa poésie une méditation morale.  

4 Epîtres

dont les deux premières sont des lettres de moralisation à un “H.B.”, ami poète et médisant.  La troisième, adressée au même, porte la profession de foi littéraire de Garros. C’est un manifeste sur la dignité du gascon. 

La quatrième est de la main d’un personnage inconnu, désigné par des initiales A.B. L’abbé Couture a proposé d’y reconnaître Hector de Beaulieu, qui était organiste de la cathédrale de Lectoure. 

3 pièces diverses dont Cant Nobiau, un chant qui décrit un mariage gascon, une Chanson dédiée à P.H., probablement un chant d’amour déçu et une Elégie adressée à une femme. 

Selon André Berry, le recueil est inégal : “Garros, en dépit de quelques trébuchements, s’est élevé dans les Eglogues jusqu’au chef-d’oeuvre ; il a rejoint le passable dans les Vers heroïcz ; il a sombré dans le médiocre avec les deux premières Epîtres, et, remonté avec la troisième, a culminé dans le Cant nobiau, pour finir sur deux bluettes. Négligeable, en somme, dans les parties qui ne sont point du terroir, l’ouvrage reste valable dans la mesure où il est gascon.”

Description physique 

Cet exemplaire est celui de la Bibliothèque nationale de France, il porte la cote Res. Ye. 863

Reliure de parchemin avec traces de 2 lanières. 

On y trouve deux additions manuscrites de vers aux feuillets E4v° et H4v° et quelques corrections d’orthographe et de ponctuation. 

Mise en ligne : 04/08/2015
Tipe : Libre / Data : 1595
Les  Obros et rimos provvenssalos sont une des trois oeuvres imprimées de Louis Bellaud (1543 ?-1588), plus connu sous le nom de Bellaud de la Bellaudière. Ce poète provençal du XVIe siècle, est considéré comme le maître du sonnet occitan caractérisé par la forme et le rythme particulier hérité de la Renaissance italienne.
Cet exemplaire est celui de la Bibliothèque nationale de France, Rés. Ye-876-878
Mise en ligne : 04/08/2015
sus 7