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Contributeur : BM Nîmes
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Mise en ligne : 24/06/2013
Tipe : Libre / Data : 1615
Fait partie d'un recueil factice avec :

Ex-libris signé Arthaud F. : Bibliothèque du Clergé de Toulouse :
Ex Dono Benedicti D' Heliot abbatia Professoria Regii
Ex-libris ms. : " Lotis "
Mise en ligne : 27/06/2013
Tipe : Libre / Data : 1835

Consulter le document sur Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62119167

Coumbettos dit Couquel était en 1835 un ouvrier ébéniste de Castelnaudary, sans instruction, mais doué d’une remarquable facilité pour composer et improviser de petites pièces patoises qu’il chantait lui-même et qui eurent bientôt une vogue extraordinaire.
La plupart de ses pièces, nous dit Louis de Santi, « ont été composées au cabaret à l’occasion de menus incidents dont les héros étaient ordinairement des ouvriers du faubourg qu’il habitait ou des camarades ». Santi précise à son sujet : « Beau garçon, âgé de 30 ou 35 ans, doué d’une superbe voix de baryton,  il était la coqueluche des ouvriers de cette petite ville. Malheureusement il buvait beaucoup et il a laissé la réputation aussi bien d’un incorrigible ivrogne que d’un joyeux compagnon ».

La plus célèbre de ces pièces, consacrée à Castelnaudary, a été la Coumplainto dél Capou dé la gato. La gato était une vieille femme très avare qui possédait un vieux coq qui disparut un beau soir de son poulailler. Elle accusa quelques jeunes gens, dont Couquel faisait partie, de l’avoir volé et de s’en être régalé - c’était le pendant du chat de la mère Michel - Couquel ne manqua pas l’occasion d’en faire une chanson qui fut le Capou de la gato, que tout le monde chanta bientôt à Castelnaudary. Le traiteur Lamocho dont il est question dans cette pièce tenait un cabaret sur le port fréquenté ordinairement par Coumbettos. Tous les personnages nommés dans la pièce Las mouninos étaient les amis de cabaret de Couquel ; ils ne sont, comme c’était alors l’habitude, désignés le plus souvent que par leurs surnoms et mentionnés dans les poèmes que sous leurs initiales. Ainsi én Corno (én C) était un plâtrier appelé Embrit, Ruqua (R) un jardinier, Cabos un forgeron, Gomart ou Gomard un ancien soldat ivrogne fieffé, Baptiste Dutar (D) un marchand de Castelnaudary. (Informations relevées par une note manuscrite dans l'exemplaire du CIRDOC).
Mise en ligne : 01/12/2016
Tipe : Libre / Data : 1855
Poésies occitanes et françaises de Claude Peyrot, ancien Prieur de Pradinas (en Rouergue)

Vous trouverez la numérisation de la seconde édition sur Google Livres

La cinquième édition (1855) est également disponible sur Google Livres. 
Mise en ligne : 02/09/2015
Tipe : Libre / Data : 1816
En 1816, François-Just-Marie Raynouard publie le premier volume de son Choix des poésies originales des troubadours. Les preuves historiques de l'ancienneté de la langue romane. Recherches sur l'origine et la formation de cette langue et éléments de sa grammaire avant l'an 1000. 
Mise en ligne : 03/09/2015
Tipe : Libre / Data : 1888
Édition du texte de la Nòbla leiçon, recueil de poèmes occitans de l'Église vaudoise, d’après le manuscrit de Cambridge, accompagné de ses variantes et suivi d'une traduction française et de traductions en vaudois moderne, publié par Édouard Montet en 1888.
Mise en ligne : 03/09/2015
Tipe : Libre / Data : 1889
Étude consacrée aux traductions de la Bible en provençal et en dialecte des vallées vaudoises, publiée par Samuel Berger avec un appendice par Paul Meyer publié dans la revue Romania (t. XVIII) en 1889.
Mise en ligne : 03/09/2015
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