Pastorale provençale rédigée en 1893 par des membres des Œuvres de Saint-Joseph, rue Puget à Marseille.
Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.
Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.
Félibre toulousain, Marius Bacquié-Fonade (1854-1910) est principalement connu pour avoir créé l'association des Toulousains de Toulouse et avoir posé les bases du Musée du Vieux Toulouse. Il est également membre-fondateur de l'Escolo Moundino et rédacteur en chef de la revue La Terro d'Oc (1894-1933). Il devient majoral du Félibrige en 1905.
Il rentre d'abord en contact avec Joseph Roumanille qui lui conseille de constituer une bibliothèque sur son fonds régional. C'est dans le cadre de ces travaux que Bacquié-Fonade s'intéresse à l'œuvre d'Auguste Fourès, décédé quelques temps plus tôt, et dont il juge les écrits remarquables. C'est ainsi qu'en 1895, Bacquié-Fonade écrit pour la première fois à Frédéric Mistral à propos de la mise en place d'un monument dédié à la mémoire d'Auguste Fourès. La correspondance sera dans un premiers temps assez tendue entre les deux hommes, aux tempéraments et aux inspirations distinctes, mais peu à peu une véritable complicité, puis une sincère amitié apparait au sein de leurs échanges.
Recueil de poèmes de Jean-Antoine Peyrottes devant certainement être réunis à l'origine dans le but d'être reliés en un volume ou afin d'êtres mis en forme pour une impression.
Ils sont réunis dans les fonds du CIRDOC - Mediatèca Occitana sous la cote Ms 324 (B).
Ce dossier de poèmes composé de 36 petits cahiers (dont il manque les n° 23, 24, 28, 29 et 33 à 35) a fait l'objet d'un certain classement par style ou type : poésies politiques, odes, etc. Y sont mêlés des poèmes souvent datés de 1836 à 1856.
Voir aussi les recueils de poèmes de Jean Antoine Peyrottes liés à cette ressource : Ms 324 (A) et Ms 324 (C)
Recueil de seize poèmes de Jean-Antoine Peyrottes devant certainement être réunis à l'origine dans le but d'être reliés en un volume ou afin d'êtres mis en forme pour une impression.
Ils sont réunis dans les fonds du CIRDÒC - Mediatèca Occitana sous la cote Ms 324 (C).
Les 16 poèmes sont accompagnés de trois documents posthumes (une invitation et un menu pour les fêtes en l'honneur de J.-A. Peyrottes données en 1893, ainsi qu'une lettre de trois pages de Salvador Peyrottes, fils du poète).
Voir aussi les recueils de poèmes de Jean Antoine Peyrottes liés à cette ressource : Ms 324 (A) et Ms 324 (B)
Poème du XIXe siècle, recueilli par la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers dans le cadre du Concours de langue romane.
Devise : "Que destroumen lous reys; que fasquen pats ou guerro, Que nibélen fortuno et ren, Lou lendouna beyran te paoures sul la terro...Or, la Caritat sera reyno en tout ten" Jacques Jasmin.
Cité dans le Bulletin de la Société Archéologique Béziers, 1866
Reliure cartonnée. Ex-bibliotheca sur étiquette imprimée collée au contreplat supérieur «Bibliothèque de Mle V. L. F. de Villeneuve Bargemont ». Numéro d’inventaire ms. « 7482 » et mention ms. « M. Arbaud » au contreplat sup. 102 f. parchemin (soit, 204 p.).