Cette grande eau verte du poème se lira comme un éloge de toutes les mers qui ont généré chez JeanLouis Keranguéven le poème à la fois de l’angoisse du départ et du non-retour, mais aussi de la fascination du mouvement perpétuel. Ce recueil est aussi, grâce à la traduction de Jean-Claude Forêt, un hommage à la terre occitane qui l’a accueilli et qui lui a permis une approche poétique de « l’autre mer ».
Jean-Louis Keranguéven, poète d’origine bretonne et d’adoption montpelliéraine, a coutume de dire qu’il s’est trouvé déposé en terre occitane par une marée d’équinoxe au coefficient imprévu. Tirant derrière lui ses filets d’exil, il a publié dans diverses revues ainsi qu’une quinzaine d’ouvrages dont certains ont été récompensés. Obsédé par la quête du mot exact, qu’il doit à l’influence guillevicienne et des poètes chinois, il se réfugie souvent sur la canopée pour compter les vagues, celles de l’Océan comme celles de la Grande Bleue.
Bilingue français-occitan, traduction occitane de Jean-Claude Forêt
Cette grande eau verte du poème se lira comme un éloge de toutes les mers qui ont généré chez JeanLouis Keranguéven le poème à la fois de l’angoisse du départ et du non-retour, mais aussi de la fascination du mouvement perpétuel. Ce recueil est aussi, grâce à la traduction de Jean-Claude Forêt, un hommage à la terre occitane qui l’a accueilli et qui lui a permis une approche poétique de « l’autre mer ».
Jean-Louis Keranguéven, poète d’origine bretonne et d’adoption montpelliéraine, a coutume de dire qu’il s’est trouvé déposé en terre occitane par une marée d’équinoxe au coefficient imprévu. Tirant derrière lui ses filets d’exil, il a publié dans diverses revues ainsi qu’une quinzaine d’ouvrages dont certains ont été récompensés. Obsédé par la quête du mot exact, qu’il doit à l’influence guillevicienne et des poètes chinois, il se réfugie souvent sur la canopée pour compter les vagues, celles de l’Océan comme celles de la Grande Bleue.
Bilingue français-occitan, traduction occitane de Jean-Claude Forêt