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Vayrette, Fabienne
Quinze novèlas entà parlar deu monde. Lo d'uei, de segur, qu'ei çò qu'ei, mes tanben lo d'un futur pròche e pas mens maishant. Los personatges de Fabienne Vayrette, hemnas sustot, ne's dèishan pas enganar. Emplegada de musèu saunejaira e determinada, servidor au caumatge prèst a tot entà escapar a la vita vitanta, joena diplomada japonesa a la punta deus hialats sociaus… vos estonaràn. Dab determinacion e coratge, ne baishan pas jamès los braç, quan seré de pedaçar la realitat. Pr'amor çò que vòlen, ei víver!
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Carnaval La Trivalla de Carcassona, edicion 2024 - Tè Vé Òc
Gros, Lise. Metteur en scène ou réalisateur
Emission del 13 de març de 2024

Lo Carnaval de la Trivalla

Lo Carnaval de la Trivalla, quartièr de Carcassona, jos la ciutat, foguèt plan preparat aquela annada pels mainatges de las Calandretas : Miquèl Decòr, Barbacana e la Rosela de Villedubert. N'avèm filmat l'integralitat e poiretz apreciar lo nivèl de lenga occitana dels mainatges.

[resumit : Tè Vé Òc]
AELOC

Le Centre départemental des Danses et Musiques Traditionnelles du Cantal (CdMDT15), association régie par la loi du 1er juillet 1901 créée le 6 avril 1994, avec le soutien de l’AMTA et de l’ADMD Cantal, a pour mission de promouvoir et diffuser une expression contemporaine de la culture musicale et chorégraphique du Massif Central, dans un esprit d’ouverture… Parce que la culture traditionnelle n’est pas synonyme d’hier mais de demain. Actuelle, vivante et en constante évolution, elle se situe à la croisée des besoins nécessaires d’enracinement et d’ouverture sur le monde.
Le projet associatif du CdMDT 15, construit autour de la connaissance et de la valorisation du patrimoine immatériel, a très longtemps proposé un véritable modèle d’action culturelle basé sur  les quatre volets que sont :

  • l’enseignement et la formation
  • l’animation et la sensibilisation
  • la création artistique
  • la diffusion et la programmation.

Ainsi, au fil des ans, nous sommes devenus les garants d’un enseignement individuel et collectif régulier privilégiant une approche globale par l’oralité et favorisant la pratique d’instruments dits traditionnels, ainsi que la danse et le chant.  Ces cours, qui réunissaient plus de cent-cinquante personnes, étaient  les supports d’ateliers de création artistique basés sur la pratique vocale, chorégraphique et musicale, ayant abouti à la réalisation de spectacles mêlant amateurs et professionnels. Le CdMDT 15 a été également à l’initiative de nombreux moments de transmission produits sous forme de prestations musicales, spectacles, stages, concerts, bals pour enfants, interventions en milieu scolaire, etc.

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Lei Deixonne : los regionalismes dintran a París
Florian Bart

On attendait de la poussière et on découvre de la vie. Quel étonnement, pour un académicien ! Cette affaire touche à quelque chose que Paris ignore - et ce qu’il ignore, comme chacun sait, n’existe pas.” (extrait de l’une des deux lettres de Max Rouquette à Georges Duhamel)


A la Libération, la question des langues régionales et de leur enseignement n'est pas prioritaire, voire jugée suspecte. Beaucoup de mouvements régionalistes, notamment en Bretagne et en Alsace, sont inquiétés pour leur connivence avec les forces d’occupation. Malgré tout, les régionalismes entrent dans une nouvelle ère et vont être saisis par le débat parlementaire à l'occasion de la loi Deixonne. Voici l’histoire d’une bataille politique de haute intensité, retracée à partir des archives d’une institution alors balbutiante, l’Institut d’Estudis Occitans (IEO), fondée en 1945.


En 1947, les trois principaux partis politiques sont dans l’ordre le PCF, le MRP (Mouvement Républicain Populaire, un parti centriste d’inspiration démocrate-chrétienne, ndlr) puis la SFIO. Parmi les deux premières organisations de l’Assemblée Nationale (PCF et MRP) se manifestent des sensibilités favorables à l'enseignement des langues régionales. Le 16 mai 1947, le député communiste Pierre Hervé dépose une résolution en faveur de l’enseignement du breton. Plusieurs députés PCF et MRP de Bretagne prennent la défense du texte. 


Entre ces deux poids lourds de l’Assemblée nationale, la SFIO oscille et son électorat s’étiole. La guerre des partis fait rage. Les socialistes ont essuyé des revers électoraux depuis la Libération et subissent l’ascension des communistes. Leur appui au texte obéit à d’autres motivations qu’une adhésion sincère à l’enseignement des langues régionales. Ainsi, le député socialiste Maurice Deixonne s’insurge initialement contre ce texte de “Messieurs les apparatchiks et les curés (le PCF et le MRP, NDLR)”, fait pour “attaquer l'œuvre de Jules Ferry”. Sa réputation de parlementaire besogneux prêt aux tâches les moins gratifiantes le désigne, d’après l’historien Philippe Martel. Au sein de la commission parlementaire sur l’éducation, les trois principaux partis présentent chacun un rapporteur issu de ses rangs. La SFIO propose Maurice Deixonne et l’emporte grâce au désistement de la MRP Marie-Madeleine Dienesch. 


Cette proposition de loi pour l'enseignement des langues et dialectes locaux embrase l’Assemblée, au sein d'institutions républicaines marquées par des tendances centralisatrices, devenue hautement inflammable sur les questions d’unité nationale après l’Occupation allemande et la Résistance. Proposer l’enseignement des langues germaniques de l’Est quand le souvenir de leurs annexions allemandes est dans tous les esprits suscite de fortes réticences. La langue corse, considérée comme un “dialecte allogène proche de l’italien”, est écartée. Elle n’est intégrée à la Loi Deixonne qu’en 1974.


Des éditorialistes de tous bords commentent contre l’initiative parlementaire, perçue comme une double attaque portée contre la langue française et l’unité du pays. Les médias parisiens consacrent alors de larges espaces à la question des langues régionales, et les querelles d’initiés, comme celles de la graphie ou des particularismes dialectaux, font une brève irruption dans les articles de presse, le plus souvent pour jeter le discrédit sur ces passions régionales. 


Qu’il est beau de voir un homme tel que vous découvrir tout à coup un problème humain qu’il ignorait” (extrait de l’une des deux lettres de Max Rouquette à Georges Duhamel)


Habituellement ignorés, les porteurs de revendications linguistiques locales essuient alors une salve d’insultes et de railleries dans le consensus de l’Après-guerre. Les régionalistes montent au créneau. L’I.E.O se joint dans la bataille avec son allié breton d’Ar Falz, pour voler au secours de cette proposition de loi, qui sera finalement adoptée en janvier 1951. Officiellement abrogée en 2000 pour être intégrée au Code de l'Éducation, ses dispositions continuent d’offrir la possibilité d’une scolarité bilingue.


Le Monde, L'Époque, Le Figaro… Parmi tous les articles défavorables au texte, ceux du titre conservateur se démarquent. Ils sont de la main de Georges Duhamel, engagé volontaire dans la Grande Guerre et courageux sous l’Occupation. Il s’impose parmi les plumes les plus notables du camp centralisateur. Ancien président de l’Alliance Française et académicien, sa France ne compte qu’une seule langue. Son titre tranchant rappelle les déchirures de l’Histoire récente : “Un attentat contre l’unité française”. Les chroniques se succèdent sans qu’aucune n’omette de ramener les revendications linguistiques locales à l’Occupation allemande. Outre le maintien de l’unité nationale, l’enseignement simultané de plusieurs langues compromet la bonne assimilation d’une seule, redoute-t-il.


“(...) Beaucoup d’instituteurs semblent perplexes. Ils se plaignent de disposer de peu de temps pour satisfaire aux exigences d’un programme chaque jour plus lourd. Est-il sage de prendre sur les heures données à la langue française ? Certains voyageurs, qui ont observé au dehors, les résultats du bilinguisme dans les écoles du premier degré, reconnaissent que les jeunes sujets ne parlent correctement ni l’une ni l’autre des deux langues apprises.” Bilan d’une controverse, Georges Duhamel, Le Figaro, 19 mai 1950.


Tous les journaux revendiquant l’héritage de la Résistance n’y sont pas hostiles, loin s’en faut. Le journal Combat, né clandestinement pendant la Seconde Guerre mondiale, accueille la réaction de Charles Plisnier, président de l’Union fédéraliste des Régions européennes et favorable au texte. Pour le défendre, il rappelle que sa portée est très restreinte, qu’il ne s’agit que d’autoriser l’enseignement facultatif des langues dialectales


Voir l'article de Charles Plisnier plus bas


Car nous n’acceptons pas en tout état de cause que, responsable d’un échec éventuel de revendications que nous tenons, parce que nous les connaissons mieux que vous, pour légitimes, nécessaires et inoffensives, vous ne nous apportiez en échange autre chose que l’écoeurant ragoût de belles paroles sur la diversité française, le charme du folklore, l’intérêt des traditions, et l’enchantement que procure à un académicien en tournée de conférences la vue d’un cortège en costume provincial avec biniou et cornemuse. Nous vous en prévenons : vous ne nous aurez pas à la tartine de confitures. Les hommes qui vous parlent n’ont pas besoin de régents qui pensent pour eux.” (extrait de l’une des lettres de Max Rouquette à Georges Duhamel)


Les réactions du milieu occitan ciblent la chronique de Georges Duhamel, dont le titre ne passe pas. Max Rouquette, l’écrivain le plus notable de langue occitane dans la seconde moitié du XXe siècle, qui sera plusieurs fois pressenti pour le Prix Nobel, adresse une première réponse pleine de déférence. Mais Georges Duhamel ne cède rien de sa rhétorique unitaire et persiste dans de nouvelles chroniques. Max Rouquette devient cinglant.


Voir les deux lettres de Max Rouquette à Georges Duhamel plus bas

L’idée d’une opposition entre l’opinion parisienne et celle des territoires n’est pas toujours fondée. Dans un article intitulé La leçon de patois, la Dépêche du Midi n’est tendre envers les “patois” que pour mieux vilipender l’initiative. Le quotidien est proche des radicaux, dont le parti est intimement associé à la construction de la République. L’article affirme l’hostilité générale des campagnes languedociennes à la proposition de loi. Jusqu’à inverser le rapport établi par Max Rouquette : ici, c’est Paris qui délire en français en faveur du “patois”, et les locuteurs indifférents des langues de France qui s’exaspèrent dans leur dialecte des errances de Paris. De chaque côté de la ligne d’affrontement, la légitimité revient aux campagnes.


Il vaut mieux que nos parlementaires n’entendent pas comment leurs paysans électeurs jugent leur nouvelle lubie… en patois” (La leçon de patois, Emile Debard, Ma Dépêche du Midi, 7 avril 1950)


Pourtant, le même journal accueille la diatribe d’un majoral du félibrige, Raymond Lizop, au titre explicite : “Pour en finir avec M. Duhamel”. Dès les premières lignes, le chroniqueur du Figaro est érigé en Simon de Montfort d’une “croisade ridicule”. Sud-Ouest et Le Villefranchois libéré donnent, quant à eux, un accueil très favorable à l’initiative parlementaire.


Voir l'article "Pour en finir avec Mr Duhamel" plus bas


Les géants du premier XXe siècle n’en sont pas en reste. Une tribune datant d’août 1911 écrite par la grande figure -languedocienne- du socialisme, Jean Jaurès, est exhumée par La Dépêche de Toulouse. Le tribun y évoque une ouverture vers la civilisation latine, sans énoncer le moindre projet politique.


Voir la tribune de Jean Jaurès plus bas


De l’autre côté du Rhône et du clivage gauche-droite, le provençal Charles Maurras, théoricien nationaliste et royaliste passé par le Félibrige, s’indigne des réactions outrées que provoquent de si maigres ambitions depuis sa cellule de la prison de Clairvaux. Néanmoins, il prend ses distances avec la revendication occitaniste naissante. Faut-il l’imputer à son provençalisme -le vieil antagonisme entre les deux côtés du Rhône est bien présent dans sa lettre-, à un décalage générationnel, ou à son nationalisme fédéraliste ?


Comme vous dites, cette loi ne casse rien. Mais elle “permet” ! C’était donc défendu ? Les plus radicaux du félibrige n’osaient plus le soutenir. Eh ! bien, voilà l’aveu à l’Officiel. Mais quel mauvais vocabulaire ! Occitan ! Toujours le Sud-Ouest oratoire, intriguant et politicien. Le seul Occitan valable est dans Chateaubriand : la jeune occitanienne, future Mme de Castelbajac. Il aurait fallu dire : Provence, vous avez bien raison ! Mais les M.R.P ne savent pas avoir raison.” (Lettre de Charles Maurras à Xavier Vallat, 30 janvier 1951)


Le moment de la Loi Deixonne consacre également la transformation de la revendication régionaliste en terre occitane. Une passation s’opère en passant de la IIIe à la IVe République, du Félibrige, dépositaire depuis Frédéric Mistral du combat culturel des pays d’Oc, à l’IEO, porteur d’un occitanisme politique clairement énoncé. Ainsi, les revendications régionalistes passent “au camp des novateurs”, comme le relève Elise Joucla.


Voir l'article d'Elise Joucla

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Association L' Aucèu Libre
Comité des fêtes de Salinelles
CIRDOC - Institut occitan de cultura
Occitanie Livre et Lecture
Los Rencontres de Salinelles de 2024 se desrotlaràn los 24, 25 e 26 de mai dins lo vilatjòt de Salinèlas, prèp de Someire (Gard).
Aculhit per la comuna dins l'irangeria e lo pargue del castèl, aquel eveniment es un temps d'escambi e de descobèrta a l'entorn de la literatura en lenga d'Òc, dins una perspectiva dobèrta e viva, que fa lo ligam entre los tèxtes grands de la tradicion literària d'Òc.  

DIVENDRES 24/05/2024 - cap. St Julien : « Serada medievala » - 20h00

« Cercamon : des textes à la musique »

>  Charrada amb Yves Leclair (traductor e poèta) : autour de la nouvelle traduction des œuvres de Cercamon (Collection Federop, Ed.Pierre Mainard).

> Lecturas d'un poèma de Cercamon : texte original, adaptation en occitan contemporain et traduction française.

> Espectacle musical amb lo duo La Beluga, Céline Mistral e Fred Montels.

DISSABTE 25/05/2024

Matinana, cap. St Julien : « Prosa D'uei : lo teatre occitan » - Lavoir de Salinelles

- 10h00 - Intervencion (conferéncia e discussion) - - Le Théâtre de Béziers (XVIIes.) : Jean-François Courouau (Un. Toulouse Jean-Jaurès) et Bénédicte Louvat (Un. Paris-Sorbonne).

« Batèsta » teatrala : opposant lecteurs et comédiens des différents horizons de l'espace occitan : Jean-François Courouau, Bénédicte Louvat, Véronique Fiol, Jean-Louis Blénet, Hélène Couedellot, Denise Daniel.

- 12h30  Pausa dejunar. Food Trucks


Mòstra e actualitat del libre d'òc

- 14h00 : Mòstra (salle des Maronniers)
Presentacion de l'exposicion Poésie - graphisme, acompanhada de lecturas de Jaume Privat. 

- 15h00 : Actualitat del libre d'òc (sala de l'Orangerie) Animada par Philippe Reig. 


Sièsto pouëtico, Orangerie du château :

- 16h30 :
Lo momenton dels pichons - l'entrevista 
Pels escolans de la Calandreta Aimat Serre (Renat Sette et Jaume Privat) amb doas cançons dels pitchonets de l'escòla d'Aspères

Sortida de residéncia - La miegjornalitat, qu'es aquò ?
Rencontre entre Hortense Raynal e Jaume Privat

- 17h45 : Performança poetica - La Vida fin finala
Renat Sette acompanhat de Gianluca Dessi', canta  18 poèmas de Jean-Yves Royer. 

- 18h30 : Se rencontrar a Salinèla (jos la pergòla)
Moment convivial a l'entorn d'un gòt. 


Serada festiva - Pargue del castèl

-19h00 : Obertura oficiala : en preséncia dels elegits e de las institucions partenàrias. 

- 19H30 : animation
de l’espaci editors. Actualitats de l'edicion en lenga d’Òc.

- 20h00 : sala dels castanhièrs (Taula redonda pro ) - Los editors occitans

A partir de 20H15 Repais foods trucks + animacion musicala musica d’Oc (CD)

20h45 - Concèrt Mouss T e lei Jovents

 

PROGRAMA DEl DIMENGE 26 DE MAI

«Debats actuals » - Orangerie du château
La musique d’hier à aujourd’hui : comment la tradition peut nourrir la modernité ?

10h00 : Conferéncia - La musique provençale, entre tradition et modernité : André Gabriel.

11h00 : Intermèdi musical per André Gabriel 

11h45 : Des romantiques aux enfants du folk : comment la création occitane actuelle se nourrit de la musique traditionnelle : Jean-Jacques Casteret (ethnomusicologue, Directeur adjoint du CIRDOC - Institut occitan de cultura).

INFORMACIONS PRATICAS

Durant los dos jorns : Salon del libre d’Òc / Exposicions

Editors, Librariás e Revistas

Credd’O, Édite-moi, Jorn, L’Aucèu libre, Aquò d’Aquí, Revista ÒC, Le Félibrige, Reclams, IEO-IDECO, Espaci Occitan deis Aups

Informacions : T/ 06 84 90 73 92 / 06 23 53 25 32
Facebook : LesRencontresdeSalinelles
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Illustre Mistral ! L'òbra en imatges : Libret de la mòstra
Muller, Maëlys
Brocadura editada per lo CIRDÒC-Institut occitan de cultura dins l'encastre de la mòstra "Illustre Mistral ! L'òbra en imatges", presentada a la Mediatèca (sit de Besièrs), del 4 d'abril al 28 de junh de 2024.
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La Ciutat
Le Mix
Jornada en Bearn : jòc escape game "Mission nosta identitat", talhièr dança e sauts, cants bearnès, talhièr iniciacion aus chancas gasconas. Lo dissabte 30 de març, gratuita. Sus reservacion tà l'escape game. Dab La Ciutat, Menestrers Gascons, Calandreta d'Artix, Chancaires.
Lo programa complèt a telecargar 

05.59.80.58.80
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Guillaume Lopez
Serge Lopez
Louis Navarro
Alem Surre-Garcia

PRESENTACION

Alem Surre Garcia es nascut en 1944 a Carbona en país tolosenc. Escrivan occitan e francés, assagista, poèta, romancièr, cronicaire, traductor, dramaturg, libretista e conferencièr, plaça sa reflexion al còr de l'identitat de la cultura occitana dins son espaci mediterranèu e sos orizonts alunhats. Identitat culturala universala que los trobadors avián cantada als sègles XII-XIII dins un espaci dobèrt e rica de promessas d'avenidor.

Guillaume Lopez e Alem Surre-Garcia se son encontrats en 2001, dempuèi arrèstan pas d'escambiar a l'entorn dels Orients d'Occitània, de l'Al-Andalus. Seguisson ensemble las Palancas que traversan Pirenèus, montanhas que de tot temps an servida de colomna vertebrala, de luòcs d'escambis e de paratges, e an pas jamai constituit una frontièra. 
Dins aquel concèrt imaginat per Guillaume a l'entorn de l'òbra poetic d'Alem, los poèmas cantats, martelats o mormolhats, nos convidan al viatge o a la reflexion, non sens umor de còps, nos breçan o nos bolegan fins a nos desrengar dins las nòstras certitudes.
Lo triò Guillaume Lopez-Serge Lopez-Louis Navarro met en lum la poesia d'Alem Surre-Garcia e son rapòrt al monde e a l'alteritat. Un biais de tornar descobrir los camins feconds entre los çaî e laî, lo pròche e lo luènh.

Descobrir d'extraits de la creacion en linha sul site de la companhiá Guillaume Lopez : https://www.guillaume-lopez.fr/mot-alem/ 

EQUIPA ARTISTICA

Guillaume Lopez - Cant, flaüta
Serge Lopez - guitarra
Louis Navarro - contrabassa
Alfonso Bravo - son



FICHA TECNICA

Sus demanda alprèp de l'equipa artistica



CONTACTE DIFUSION 

Cie Guillaume Lopez : https://www.guillaume-lopez.fr
Tèl : +33 (0)6 22 44 19 97
Mèl : contact@lecamom.com
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Boyer, Henry
Martel, Philippe
Gardy, Philippe
Fournier, Georges
Lo tèxte occitan del periòde revolucionari prepausa un inventari descriptiu rasonat de la produccion imprimida e manuscrita en occitan de las annadas 1788-1800. Adjunh an aquel inventari, una seria d'apròches e de lecturas que permetan de mièlhs compréne la reparticion geografica dels tèxtes e lor significacion convergenta o divergenta segon los luòcs, los moments e las situacions.
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Cèucle occitan setòri
Jamais deux sans trois ! Le Novèl almanac setòri e de las ribas de Taur ne fera pas mentir l’adage. Voici donc l’édition 2024.
Comme nous en prenons l’habitude, les Cercles des rives de Thau participent à son contenu, et nous les en remercions, le Cranc de Massilhan, le Buòu de Mèsa, le Lop de Lopian.
Sète étant ville de peintres, l’an passé nous avons évoqué Gabriel Couderc, cette année c’est le tour de Pierre François, vu, non pas sur le plan strictement artistique (l’Almanac n’est pas un musèe) mais dans une approche plus sensible, à partir de témoignages de membres de la famille, et la reproduction d’œuvres de collections particulières.
Les joutes, jeu-sport emblématique languedocien, font dialoguer un ancien jouteur et un apprenti qui promet, tout juste sorti d’une école de joutes.
L’Almanac est bilingue. On y parle de la langue d’oc, du francitan, des noms de famille, des gavaches. On peut y jouer en oc avec des mots fléchés.
Et, pour l’actualité, sont présents l’enseignement de l’occitan dans les collèges de Sète et des rives de Thau ; le lycèe de la mer et son importance ; une entreprise specialisée dans les produits de la pêche.
Le tout illustré joliment par des artistes et agréablement par l’incontournable Radase, toujours au milieu, comme le tomata du Quartièr Naut.

Voici ce que vous trouverez dans ces pages. Bonne lecture !
sus 100