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Théâtre des Origines

PRÉSENTATION



Y a t-il du PCI près de chez moi? Le PCI ça se mange? Comment ça se fabrique, d'où ça vient et où ça va?"
Cette conférence théâtralisée permettra aux enfants de s'initier au concept de Patrimoine Vivant, à la fois dans sa dimension universelle comme dans ses particularismes du lieu dans lequel se déroule la conférence. Il s'agira de faire découvrir aux enfants les "merveilles" des créativités humaines afin qu'ils en saisissent les sens et les fragilités. De la gastronomie en passant par les métiers d'art, les rituels festifs et les personnages légendaires (...), les enfants pourront à la fois s'interroger, jouer, découvrir mais aussi rencontrer des personnages issus d'un patrimoine leur appartenant.

INFORMATIONS PRATIQUES

Saissac : le 21 Novembre à 20h30
Ne saber + : http://www.theatredesorigines.fr
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Caz'elles

PRÉSENTATION 

De la fête de Qing Ming en Chine, en passant par la fête népalaise de Gai Jatra ou encore le Día de Muertos au Mexique, de Jack-O’-Lantern à la Calavera Catrina, quelles sont ces manifestations et ces personnages qui peuplent les fêtes des morts ? Et chez nous quelles étaient ces fêtes ? Partons sur les traces des romecas, fadas, babaus, dracs, damoiselas, gripets, mitonas… Rencontrons las mòrts-peletas : les morts de l’année qui n’attendent qu’à nous quitter, las trèvas : les morts qui ne veulent pas partir, las armas : les âmes charitables qui reviennent partager avec nous l’Apast….
Un conférence théâtrale pour découvrir les rituels des Fêtes des Morts, des traditions ancestrales dans bien des pays du monde, posant la question du destin des âmes après le dernier souffle et des échanges entre les vivants et les morts.  

INFORMATIONS PRATIQUES 


Le 16 Novembre à 19h au Caz’elles à Cazouls d’Herault
+ d'informations : http://www.theatredesorigines.fr 
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L'affaire des panneaux en occitan de Villeneuve-lès-Maguelone
Centre interrégional de développement de l'occitan (Béziers, Hérault)

En novembre 2010, une association porte plainte contre la commune de Villeneuve-lès-Maguelone, au sud de Montpellier : le maire a fait poser des panneaux indiquant le nom de la ville en occitan. Au terme d’un long parcours judiciaire, la cour d’appel de Marseille autorise le 26 juin 2012 Villeneuve-lès-Maguelone à garder sa signalétique bilingue.

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PRÉSENTATION 

Cette exposition est organisée avec l’association ARIANA / regards persans qui œuvre depuis 17 ans à la mise en valeur et à la synergie des civilisations occitane et persane, en partenariat avec le Conseil départemental de la Haute-Garonne, le CIRDOC et Convergencia Occitana.

La prochaine exposition à la Bibliothèque d’Etude et du patrimoine intitulée « Omar Khayyam au regard de peintres du XXe siècle, de Toulouse à Khorassan » du 1er octobre au 16 novembre, met en lumière les quatrains du poète persan Omar Khayyam (1048-1131) au regard de deux peintres du XXe siècle, Edmond Dulac (1882-1953), artiste toulousain et Hossein Behzad (1894-1968), miniaturiste iranien. Ces artistes proches historiquement l’un de l’autre mais appartenant à des cultures différentes tentent d’évoquer les quatrains d’Omar Khayyam avec des moyens esthétiques différents.
Temps fort en octobre :
Une conférence avec projection des peintures des artistes qui ont illustré les quatrains d’Omar Khayyam sera suivie de lectures de poésie en français, en persan et en occitan avec intermèdes musicaux du chanteur et musicien Primaël Despax.µ

17 octobre 2019 de 18h30 à 20h
Bibliothèque d’Étude et du Patrimoine. Salle Régionale

INFORMATIONS PRATIQUES 

Du 1er Octobre au 16 Novembre / Du mardi au samedi de 10h à 19h.
Bibliothèque d'étude et du patrimoine : 1 Rue du Périgord - 31000 TOULOUSE
Site Internet de la BEP : https://www.bibliotheque.toulouse.fr/
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Tu tanben

11h Ouverture avec expo prêtée par le Cirdoc : instruments « naturels » et le patrimoine sonore occitan
12h Ouverture de l'Apéro, Cantera, et musique avec la Triplette Infernale
14h30 Conférence sur Jean Jaures avec Philippe Hammel
16h Concert des Farfantèlas à l 'église de Boujan
17h Atelier fabrication ludique d'instruments de musique
18h Ouverture de l' Apéro et Cantera jusqu'à 19h30
21h Balèti avec Patin-Couffin


INFORMATIONS PRATIQUES

Salle des fêtes de Boujan-sur-Libron
Ne saber + : tutanbenoc@gmail.com 
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Fêtes de Laruns
Etnopòle occitan (CIRDOC-Billère)

Capitale du Haut-Ossau, Laruns est célèbre depuis l'apparition du tourisme thermal au XIXe s. et la venue de nombreux artistes et écrivains. Sa fête patronale Noste Dama (Nôtre-Dame) le 15 août est particulièrement remarquable.

Les Aubades

Tôt le matin, les musiciens vêtus de leur camisole (blouse) noire et les balladins revêtus de leur veste rouge parcourent les rues de la bourgade jouant des chansons en passe-rue. Ils s'arrêtent sous les fenêtres des personnes qu'ils souhaitent honorer pour leur faire une aubade musicale de leurs flûtes à trois trous/tambourin à cordes, accordéon et violon.

La Messe

La grand'messe de l'Assomption met à l'honneur les personnes portant le costume traditionnel qui se placent dans le chœur : les hommes avec les pantalons, chausses et la courte veste écarlate, les femmes recouvertes du capulet (long capuchon) de soie rouge. Cantiques traditionnels ou récents sont ici généralement chantés spontanément en polyphonie.

Le Bal

Dès la fin de la cérémonie religieuse, s’organise sur le parvis de l’église un cortège ouvert par les musiciens jouant des airs de passe-rues. Ce cortège traverse la place en direction du taulèr (litt. étal, le podium autrefois dressé sur des barriques sur lequel s’installent les musiciens et autour duquel se positionnent les danseurs). Le bal démarre alors selon un ordre bien établi ouvert par le très solennel branlo baish (branle bas) dansé une seule fois. Suivent un saut  dansé par les jeunes hommes, autrefois les conscrits, puis un branlo airejant. La suite du bal fait ensuite alterner série de branles et sauts.

Apéritifs et repas

Le bal se poursuit par un long apéritif. La municipalité offre dans un premier temps un vin d'honneur sous la halle. Il s'agit là de la première étape d'une longue journée placée sous le signe de la polyphonie. Par petits groupes d'amis ou bien tous ensemble, chacun exprime le bonheur des retrouvailles et l'identité valléenne par de très nombreuses chansons de table. Les chanteurs du village et ceux venus de toute la vallée s'acheminent ensuite vers les cafés de la place puis, tard dans l'après-midi, à l'appel répété des cuisinières, vers le repas de fête où la polyphonie ne s'estompe pas, Laruns devenant ce jour-là la capitale du País de las cantas (le Pays des chants)

Passacarrèra

L’après déjeuner est marqué par un passacarrèra (passe-rue) qui remplace la procession vespérale de la Vierge abandonnée dans les années 60 après le Concile Vatican II, procession dont l’origine remontait aux processions votives ordonnées par Louis XIII.
Le passe-rue voit chaque quartier converger en chanson vers la place centrale. La déambulation s’accomplit le temps de l’interprétation par des musiciens d’une strophe de chanson. Les chanteurs s’arrêtent alors formant un cercle barrant la rue chantant une strophe puis ils reprennent leur déambulation en musique.

Bals en soirée

A l’arrivée sur la place un deuxième bal se tient enchaînant branles et sauts. Un dernier bal a lieu plus tard, vers minuit alors que les chants qui fusent toujours des cafés ne s’arrêteront que tard dans la nuit. Chacun des bals se clôt par le branle.

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L'année 1967 voit la création du Festival de la Chanson Béarnaise à Siros petit village de la plaine du gave de Pau, au bord de la N.117 qui rassemble jusqu’à 15000 personnes et devient en quelques années l’acteur incontournable de la langue et la culture béarnaises.
Depuis cette date, tous les 4ème week-end de septembre, le village est le rendez-vous des groupes de chant, chanteurs individuels, conteurs et amateurs.

Il s'agissait à l'origine d'animer le village. Sur fonds de profonds changements socio-économiques, l’idée d’une manifestation autour des chants béarnais qui risquaient de disparaître surgit de l’inspiration de Robert Chandernagor relayée par l’ardeur de quelques jeunes sirosiens et Béarnais : A. Mariette, J. Hounieu, L. Mandère et A. Arette-Lendresse. Le succès fût immédiat. Comme si le bien parler et le bien chanter, formaient les piliers de l’identité béarnaise, des valeurs qu’il s’agissait d’affirmer et de transmettre. En quelques années, chaque village va générer un ou plusieurs groupes. Tout d’abord des « équipes de copains » encouragées par Jacqueline Hourcau en Vallée d’Ossau et Jo Eygun en Aspe et Barétous. Ce seront bientôt plus de 150 formations issues de tous les coins du Béarn qui se produiront au Festival et animeront au fil des ans une multitude de soirées Béarnaises.

Le Festival s’est attaché dès son origine, grâce à l’enregistrement sonore, à conserver une trace de l’ensemble des passages sur scène. Ces archives constituent aujourd’hui l’une des sources essentielles pour la transmission de la culture vocale et de la langue béarnaises aux générations futures.

Sur la scène du Festival, chant polyphonique et conte béarnais sont à l’honneur. Mais au-delà, toute la culture béarnaise est conviée.

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Hilh de puta : sketch de Jean-Claude Coudouy
Coudouy, Jean-Claude
Lo « hilh de puta » est une histoire signée Jean-Claude Coudouy dans laquelle il met en scène les différentes façons d'exprimer le juron « Hilh de puta » que ce soit lors de l'étonnement, du bonheur ou encore de la colère. « Lo hilh de puta » a été joué pour la première fois en 1970 au Festival de Siros. Jean-Claude Coudouy ne s'expliquait pas le succès de cette histoire humoristique, « peut-être grâce à sa musicalité, l'intonation du “ Hilh de puta ”, une valse à trois temps.
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Affiche 1997 du « Carneval independent » de St-Roch (Nice)
Pastorelli, Louis
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Le char de la Ratapinhata au Carnaval officiel
Pastorelli, Louis
En 1993 l'un des symboles de la Nice populaire, la Ratapinhata (chauve-souris) réinvestit le carnaval officiel de la Ville de Nice à travers un char créé pour l'occasion par l'artiste Ben (Ben Vautier).

Photographie de Louis Pastorelli.
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