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Dialecte : Languedocien
Auteur : Daugé, Césaire (1858-1945)
Sujet : Canso de la crozada
Sujet : Breviari d'amor
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Tipe : Libre / Data : 1890
Consulter sur Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k229402b/f40.item
Vinols de Montfleury nous explique dans sa préface de l'ouvrage que « dans cette partie du Velay circonscrite par les montagnes, on parle le pur Vellavien ; dans cette contrée tout est méridional, le caractère, le parler et les allures de la population ».

Son dictionnaire est publié pour la première fois dans les Annales de la Société d'agriculture, sciences, arts et commerce du Puy, (tome 34, 1878-1889). Il comporte deux parties : une première consacrée aux observations grammaticales et conjugaisons, une seconde consacrée au vocabulaire patois Vellavien-Français, puis du vocabulaire Français-patois Vellavien, complétée par un supplément et des poésies patoises.
Mise en ligne : 05/01/2017
Mise en ligne : 05/01/2017
Tipe : Libre / Data : 1816
En 1816, François-Just-Marie Raynouard publie le premier volume de son Choix des poésies originales des troubadours. Les preuves historiques de l'ancienneté de la langue romane. Recherches sur l'origine et la formation de cette langue et éléments de sa grammaire avant l'an 1000. 
Mise en ligne : 03/09/2015
Tipe : Libre / Data : 1888
Édition du texte de la Nòbla leiçon, recueil de poèmes occitans de l'Église vaudoise, d’après le manuscrit de Cambridge, accompagné de ses variantes et suivi d'une traduction française et de traductions en vaudois moderne, publié par Édouard Montet en 1888.
Mise en ligne : 03/09/2015
Tipe : Libre / Data : 1889
Étude consacrée aux traductions de la Bible en provençal et en dialecte des vallées vaudoises, publiée par Samuel Berger avec un appendice par Paul Meyer publié dans la revue Romania (t. XVIII) en 1889.
Mise en ligne : 03/09/2015
Tipe : Article / Data : 1926
Cet article de Joseph Anglade paru dans le Mercure de France le 1er janvier 1926 est le premier texte publié s’intéressant à la pensée et l’action de Jean Jaurès vis-à-vis de la langue occitane.
Le languedocien Joseph Anglade (1868-1930) est agrégé de lettres, spécialiste de la littérature occitane, professeur à la faculté de Toulouse depuis 1910 et fondateur de l’Institut d’études méridionales en 1914 et par ailleurs Majoral du Félibrige. Anglade est représentatif de l’évolution qui s’opère au sein des mouvements de renaissance occitane au cours de l’entre-deux-guerres : rapprochement des mondes savants romanistes et des mouvements renaissantistes, montée en puissance de tendances républicaines et progressistes face aux régionalistes conservateurs.
Jean Jaurès, panthéonisé deux ans plus tôt en 1924, devenait au même moment une figure importante à la fois du progrès social et intellectuel, de l’internationalisme et de l’identité nationale et républicaine en France. Joseph Anglade fut l’un des premiers à saisir l’intérêt de rallier la figure de Jaurès en voie de mythification aux problématiques du combat renaissantiste pour la reconnaissance et le soutien politique en faveur de l’occitan dans la France républicaine du XXe siècle.
Joseph Anglade propose ici, dans une revue nationale, un article plus stratégique que véritablement historique même s’il est riche de sources et d’informations. Il est clair que Joseph Anglade souhaite avant tout rendre compatible les écrits de Jean Jaurès sur la langue et la littérature occitane - essentiellement quatre articles parus dans La Dépêche entre 1909-1911 - avec le projet renaissantiste mené par le Félibrige au point de conclure que « Jaurès avait donc l’âme d’un félibre et d’un bon félibre » ! en reconnaissant tout de même qu’ « il aurait fait des restrictions sérieuses au sujet de certaines idées fondamentales - ou qui paraissent telles - de la doctrine félibréenne et qu’avant d’être déclaré dignus intrare, il aurait dû répondre à quelques questions d’orthodoxie ; car il avait par certains côtés une âme d’hérétique et de mécréant, félibréen s’entend. »
Au final, même s’il tente de dissimuler le profond désintérêt que Jaurès témoigna tout au long de sa vie pour les mouvements de renaissance occitane - à la différence de la pratique de langue occitane pour laquelle sa posture et sa pensée tranchaient avec celles des hommes politiques de sa génération - Joseph Anglade rappelle à juste titre l’intérêt et l’estime que le Jaurès critique littéraire portait à la littérature d’expression occitane de son temps.
Cet article paru en 1926 ouvre en tout cas une question jusque-là totalement - et sciemment ? - ignorée de la plupart des biographes de Jean Jaurès : celle de sa connaissance d'une réalité occitane, d’un certain intérêt pour la littérature occitane voire d'une pensée historique du fait régional occitan marqué par la Croisade contre les Albigeois notamment. Il faut cependant attendre les années 1970 pour que le chantier soit véritablement ouvert par les historiens et spécialistes de Jean Jaurès (André Armengaud, Rémy Pech, Ulrike Brummert) parallèlement à la célébration d’un Jaurès en véritable mythe d’une conscience collective occitane en construction chez les écrivains, artistes et intellectuels des années 1970 et 1980. Entretenant débats et controverses pendant une bonne décennie, les deux « partis », historiens et militants, mirent au jour une autre dimension de la question linguistique chez Jaurès, que ne traitait pas Joseph Anglade en 1926, celle de sa propre « occitanité », de sa pratique de la langue dans le discours public et de son évolution vers une pensée politique de l’enseignement de l’occitan à l’école en 1911, seule - mais puissante - revendication de Jean Jaurès vis-à-vis du « fait occitan ».

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Mise en ligne : 24/11/2015
Mise en ligne : 22/10/2014
Tipe : Son documentari / Data : 1913
Dialecte limousin
Mise en ligne : 22/10/2014
Mise en ligne : 22/10/2014
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