Recèrca

Filtrar
Filtres actifs
Auteur : Aubanel, Théodore (1829-1886)
Portail : Mediatèca
Tipe : Libre / Data : 1899
Correspondance affectueuse et chaste entre l'illustre poète Théodore Aubanel et Mignon, ou l'Amigo que n'ai jamai visto, fille d'un diplomate russe de grande distinction qu'il ne rencontra jamais.
Mise en ligne : 22/05/2017
Tipe : Particion / Data : 19..
Particion manuscrita de la cançon Lis Estello de Théodore Aubanel. La mencion Heugel Editeur figurant en bas de la primièra pagina sembla indicar qu'aquela particion foguèt copiada dempuèi la particion editada en 1877 en cò d'Heugel a París.
Mise en ligne : 15/03/2017
Tipe : Revista / Data : 1855-1973
C'est en novembre 1854, quelques mois seulement après la création du Félibrige, que paraît le premier Armana prouvençau (1855). Entièrement rédigé en provençal, cet almanach est un outil didactique qui va permettre au Félibrige de s'adresser directement au peuple et plus particulièrement au peuple des campagnes. Il est, selon la formule de Mistral "bèn-vengu di païsan, gousta pèr li patrioto, estima pèr li letru, recerca pèr li artisto/bienvenu des paysans, goûté par les patriotes, estimé par les lettrés, recherché par les artistes" (Memòri e raconte, chap. XIII).
Chaque fascicule énonce les prochaines manifestations, les fêtes, mais aussi et surtout contient l'histoire de la Provence, afin d'instruire tous les provençaux de leur passé et de les initier à la littérature provençale. Les textes sont courts, la prose y occupe une large place ainsi que les textes humoristiques. Les articles sont souvent signés de pseudonymes (escais) et certains sont des pseudonymes collectifs comme le « Felibre Calu » et le « Cascarelet ».
Les textes écrits par Frédéric Mistral dans l'Armana prouvençau ont été regroupés et publiés en trois volumes, avec une traduction française de Pierre Devoluy, de 1926 à 1930,  Proso d'armana, Nouvello proso d'armana et Darriero proso d'armana.
Mise en ligne : 18/04/2016
Tipe : Libre / Data : 18..
Extrait d'un poème de Théodore Aubanel paru dans la Revue des langues romanes
Mise en ligne : 07/03/2014