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Per jòia recomençar
Stenta, Michèle (1945-....)
Cronica radiofonica sus las valors belas e principis que caracterizan la societat occitana medievala. Animada per Miquèla Stenta e registrada per Ràdio Lenga d'Òc (Montpelhièr).
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CIRDOC - Institut occitan de cultura
Pour cette nouvelle séance du Ciné-Òc, le CIRDOC - Institut occitan de cultura et l'association Tu Tanben accueillent le réalisateur Marc Oriol, à l'occasion de la projection de ce superbe film-portrait de Renat Jurié :

Renat Jurié, dins la votz dels sègles (2016, 73 min.)

C’est avec Joël Saurin, le bassiste du groupe Zebda, que Marc Oriol a eu l’idée de réaliser un film sur le chanteur traditionnel Renat Jurié et son biais de viure, son attachement à sa terre et son chant. Un chant profond accompagné avec simplicité et sans artifices par Jean-Pierre Lafitte et ses instruments en roseau qu’il fabrique lui-même, sur un répertoire de chants sacrés et de chansons profanes d’Occitanie.
Entre occitan et français, Renat Jurié, enfant d'un monde rural péri-urbain quasiment disparu, nous transmet une part de la mémoire collective dont il est le porteur engagé. Au fil de concerts avec son comparse de toujours et de scènes tournées dans sa ferme du Rouergue au gré des saisons, nous le suivons dans le temps retenu qui fait ce pays, sa langue et sa manière de penser.

Film en occitan sous-titré français
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Tout public

Plus d'infos :

Tu Tanben : tutenbenoc@gmail.com 
CIRDOC - Institut occitan de cultura : 04 67 11 85 10 / contact@oc-cultura.eu
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Eth Ostau Comengés
L’Ostau Comengés organise la soirée « Raconte-moi les Pyrénées ». Au programme : saynètes et chansons en occitan avec les enfants de l'école ; chants et musiques des Pyrénées d'Ariège avec Revelhet et projection du film Pierrot de Piulet.

Informations pratiques

Participation libre.
Organisation : Eth Ostau Comengés – 05 61 04 49 24 – contact@ostaucomenges.org
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Office public de la langue occitane
Le Rectorat de Bordeaux et l'Office public de la langue occitane lancent un appel à candidature à une formation, à destination des enseignants en poste au sein de l'académie et se destinant à l'enseignement de la langue occitane.
La formation comprend 468 heures sur 26 semaines ainsi que des stages en classe et au Cap&'Òc durant 7 semaines.
L'objectif est d'augmenter le nombre d'enseignants bilingues dans le premier degré et permettre aux enseignants du second degré de se former à l'enseignement de l'occitan sans perdre leur discipline d'origine.
L'appel à candidature est ouvert jusqu'au 13 mars à midi. Si vous êtes intéressés, adressez votre CV, votre lettre de motivation, votre lettre d'engagement à servir pendant au moins 5 ans dans un dispositif d'enseignement de l'occitan, ainsi qu'une copie du dernier décret de nomination par mail à ce.drh@ac-bordeaux.fr

La convocation est prévue le mercredi 15 avril 2020.

INFORMATIONS PRATIQUES
http://www.ac-bordeaux.fr/cid148454/vous-souhaitez-enseigner-occitan.html
Tel. Office public de la langue occitane : 05 82 60 02 80
Mail : contact@ofici-occitan.eu
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Les Bohaires de Gasconha
Assemblée Générale des Bohaires de Gasconha les 18 et 19 avril à Lectoure (32). La réunion se déroulera dimanche mais l'association propose une journée d'animation la veille avec au programme des ateliers autour de la pratique de l'instrument, une soirée bal et repas.

La pratique de la cornemuse de Gascogne est inscrite à l'inventaire du Patrimoine Culturel Immatériel national en 2014.
L'association des Bohaires de Gasconha rassemble les sonneurs, facteurs et enseignants de la boha des Landes de Gascogne. Elle a été fondée en 1993 et a pour objectif de développer la pratique de la boha et de tous les instruments à vent de tradition populaire gasconne.

Aujourd'hui, près de 200 adhérents à l'association des Bohaires de Gasconha et une quizaine d'enseignants diplômés d'état actifs dans les conservatoires et associations.

Inf. : Confirmer votre présence à l'AG avant le 5 mars / Pour en savoir plus sur l'organisation sur place, appeler Bertrand au 06 87 68 44 55
Site : www.bohaires.fr
FB : https://www.facebook.com/AssociationBohairesDeGasconha/
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CIRDOC - Institut occitan de cultura
Du 21 février au 10 avril 2020, le CIRDOC - Institut occitan de cultura accueille une grande exposition d'art contemporain dédiée à la création niçoise, en lenga dai país.
Les artistes invités, de Ben à Jànluc Sauvaigo en passant par le collectif Nux Vomica, offrent une plongée dans l'univers foisonnant, riche et coloré de la culture nissarde, par trop méconnue. De nombreux rendez-vous ponctuent l'événement : concert, conférences, projections, spectacle... Suivez le guide !

« Tant qu’on parlera notre langue, notre art sera contemporain »

C’est cette citation, forte et sèche comme un coup de massue, inscrite par Ben sur une œuvre acquise en 2018 par le CIRDOC – Institut occitan de cultura, qui est à l’origine de l’exposition Nissa es Bellanda. L’art contemporain d’expression occitane vit, et vit bien. En particulier celui qui s’exprime en occitan nissart, tant il est vrai que l’effervescence et le bouillonnement créatif à Nice ont donné lieu, depuis des décennies, à un véritable renouveau de la création en lenga nòstra, ferment d’une culture de la résistance à l’uniformisation, héritière d’un imaginaire d’une grande richesse, tout à la fois métissé et profondément enraciné. Cette culture devenue souterraine à Nice, c’est celle de Bellanda, l’autre nom de la ville, dont on trouve trace dès l’époque médiévale dans La Vida de Sant Onorat, oeuvre du troubadour Raimon Fairaud.

Bellanda la mytérieuse

Bellanda, pour les artistes invités, c’est donc la part caché de Nice, son ADN, son âme profonde, loin des paillettes de la « Côte d’Azur ». Elle abrite en son sein un concept important, presque vital pour le peuple des Cagas-blèas (l’autre surnom des Niçois) : le pantai, autrement dit le rêve, étroitement lié à l’histoire de cette porte ouverte sur la Méditerranée, et qui sert de fil conducteur à une certaine contre-culture et à sa créativité débordante. Une culture « underground » comme on dit en bon français… Son symbole ? Une chauve-souris, la ratapinhata, synonyme de l’inversion des codes et de la création débridée.

Les artistes de Bellanda :

  • Jànluc Sauvaigo : peintre, poète, compositeur, musicien, auteur de bande dessinée… Depuis plus de 40 ans Jànluc Sauvaigo nous offre une œuvre riche et polymorphe, imprégnée de surréalisme. Au fil d’un voyage dans son monde, vous aurez l’impression d’être avec lui dans l’arrière-boutique d’un bar de la cité cachée. Un bar fumant dans une rue obscure où l’on peut écouter chaque jour des groupes jouant du blues, du folk, du jazz… au rythme des mots qui viennent colorer une poésie à la sonorité niçoise. 
  • Serge Dotti : enfant du Babasoc (la vieillie ville de Nice), c’est par le théâtre et l’art de la marionnette qu’il donne vie aux symboles, aux personnages-clés et au bestiaire de la culture niçoise.
  • Ben : exposé dans le monde entier, figure de l’avant-garde (avec le mouvement Fluxus notamment), Ben est sans conteste le plus connu des artistes engagés pour la reconnaissance et la promotion de l’occitan. Dès 1962 à Nice, il rencontre François Fontan (1929-1979), idéologue anticolonialiste, penseur du concept d’ethnisme. Fruit des échanges avec ce grand occitaniste : Ben s’engage par son art contre le « génocide linguistique », et porte haut les couleurs d’une Occitanie libre.
  • Louis Pastorelli : « Après plusieurs années d’absence, je reviens à Nice à la fin des années 1980, persuadé que si j’ai à faire et à affirmer quelque chose c’est ici, à Nice, qu’il me faudra le faire ». C’est en 1989 qu’il fonde avec ses complices le Hangar Saint-Roch, à la fois lieu emblématique et collectif d’artistes, plasticiens, sculpteurs, touche-à-tout qui mettent en commun leur envie profonde de démontrer que l’on peut vivre Nice, et pas seulement « à Nice ».
  • Vincent Calassi : dessinateur, peintre, sculpteur, il rejoint le Hangar Saint-Roch dès le début des années 1990 et s’engage pour faire vivre ce lieu d’expression libre et ouvert à tous. Mais aussi pour la renaissance de la langue niçoise, des fêtes populaires. Cela passera notamment par la chanson, à travers le groupe Nux Vomica, emblématique de ce nouveau pantai niçois.
  • Maurice Maubert : illustrateur prolifique, voyageur invétéré, il est de la troupe qui donne son âme au Hangar Saint-Roch et à ses émanations carnavalesques, artistiques, musicales. Dans son travail apparaissent des formes abstraites et colorées, nées de pigments, de terres, d’acrylique. Il expérimente diverses techniques et expressions : peintures, collages, drippings, sculptures, installations, et réalise des tableaux qui font irruption dans le réel, créant un espace symbolique et imaginaire.

Les évènements autour de Nissa es Bellanda :

Du vernissage à sa clôture, l’exposition sera ponctuée de nombreux événements :
Vendredi 21 février :
  • 18h00 // 2 conférences : « La remirabla vida de la BD oucitana en la vila pantalhada de Bellanda » par Jérémie Marçais (enseignant, traducteur) + « Jànluc Sauvaigo, un beatnik perdut de la nissardituda » par Olivier Pasquetti (enseignant, doctorant à l’université de Nice-Sofia Antipolis)
  • 19h30 // vernissage en présence des artistes, suivi d’un concert du groupe Nux Vomica
Mercredi 18 mars :
  • 10h // Madama Rata, un spectacle tout public de Jànmarc Cana, dans le cadre du cycle « Dimècres en familha ». Musicien accompli au sein de La Bande à Cana, l’artiste prête ici sa voix à une petite marionnette chauve-souris appellée Madama Rata, bien connue à Nice pour ses reportages, micro-trottoirs et ses points météo… mais aussi pour son caractère bien trempé !
Jeudi 9 avril :
  • 18h // Projection des films Going Back to Nissa la Bella (réal. Christian Passuello) et À propos de Nice (réal. Jean Vigo), en présence de Christian Passuello et de Karim Ghiyati, directeur d’Occitanie Films 
Et tout au long de l’exposition… De nombreuses visites scolaires, mais aussi des visites sur demande !

Infos et contacts :

Lo CIRDOC – Institut occitan de cultura Mediatèca (site de Béziers)
Place du 14 Juillet – 34 500 BEZIERS
info@oc-cultura.eu
04 67 11 85 10
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Institut d’Etudis Occitans dau Puèi-de-Doma
La prochaine soirée des Occitanas aura lieu le mercredi 18 mars prochain, à partir de 20h30, au Café-lecture Les Augustes.

La soirée est organisée par l'Institut d'Etudes Occitanes (IEO) du Puy-de-Dôme, il s'agira d'un Café-occitan animé par Philippe Marmy : "Auvergnat, patois, langue d'oc ? Venez discuter, vous exprimer, essayer ou juste écouter, en toute simplicité... mais avec un seul mot d'ordre : on parle en occitan d’Auvergne ou d’ailleurs !"

Informations pratiques

Mercredi 18 mars 2020 - 20h30
Au Café-lecture Les Augustes, 5 rue Sous les Augustins (tram Gaillard) – 63000 CLERMONT-FERRAND

Renseignements :
Institut d’Etudis Occitans dau Puèi-de-Doma / 06 08 21 45 55 / paisdomes.ieo@wanadoo.fr
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La Bête en Gévaudan (Affiche du Théâtre de la Rampe)
Théâtre de la Rampe (Montpellier)

La Bête en Gévaudan est une pièce de théâtre en français et en occitan, écrite et mise en scène par Claude Alranq, jouée par le Théâtre de la Rampe à partir de 1981 et mise en musique par Los de Sauveterre.

Le texte de la pièce est paru la même année aux éditions Regas del Causse :

«Tout le monde la connaît, personne ne l'a vie : La Bête. Tout le l'a vue, personne ne la connaît : la Bête en Gévaudan.
La Lozère au XVIIIe siècle. L'ordre contre le peuple ; le peuple bâtisseur de légendes, magicien de la terre. La Bête en face, debout, couchée, dehors, dedans, sens dessus dessous. La Bête, ce lieu où le sens se perd.
La Bête, ce drame !
Ce drame que Claude Alranq nous livre comme la victine à ses bourreaux. Que le Théâtre de la Rampe et « Los de Sauveterre » nous jettent au corps comme la pierre à l'oiseau qu'elle vise.
La Bête en Gévaudan, un choc. Un immense espoir qui reflète et qui, brisé, tranche. On a mal et on en jouit.
« Que la Bête revienne »
« Sans ma Bête, qui suis-je ? »
(4ème de couverture)

 
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Keranguéven, Jean-Louis
Cette grande eau verte du poème se lira comme un éloge de toutes les mers qui ont généré chez JeanLouis Keranguéven le poème à la fois de l’angoisse du départ et du non-retour, mais aussi de la fascination du mouvement perpétuel. Ce recueil est aussi, grâce à la traduction de Jean-Claude Forêt, un hommage à la terre occitane qui l’a accueilli et qui lui a permis une approche poétique de « l’autre mer ».

Jean-Louis Keranguéven, poète d’origine bretonne et d’adoption montpelliéraine, a coutume de dire qu’il s’est trouvé déposé en terre occitane par une marée d’équinoxe au coefficient imprévu. Tirant derrière lui ses filets d’exil, il a publié dans diverses revues ainsi qu’une quinzaine d’ouvrages dont certains ont été récompensés. Obsédé par la quête du mot exact, qu’il doit à l’influence guillevicienne et des poètes chinois, il se réfugie souvent sur la canopée pour compter les vagues, celles de l’Océan comme celles de la Grande Bleue.

Bilingue français-occitan, traduction occitane de Jean-Claude Forêt
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Comité des fêtes d’Anoye
Le Comité des fêtes d’Anoye propose un stage de chant avec Guillaume Lopez suivi d’une initiation aux danses traditionnelles et d’un bal avec ThouxAzun (Guillaume Lopez, Clément Rousse).

Informations pratiques

Stage 8€ / Bal 10€
Renseignements : 06 29 94 64 89

En savoir plus : http://ostaubearnes.fr/agenda/?event=bal-trad-51
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