Ces trois oeuvres sont à inscrire comme des amusements à l’intérieur de la fameuse “Querelle des femmes” qui se développe dans la littérature depuis Marguerite de Navarre et les Lyonnaises, et qui atteint Toulouse en 1534 comme le prouve la publication à cette date des Controverses des des sexes masculin et féminin de Gratian du Pont de Drusac.