Montaigne est au carrefour de trois langues : le latin, le français et l’occitan.
Tout comme Robert Lafont, Fausta Garavini s’interroge sur la situation linguistique et stylistique de l’oeuvre de Montaigne. Elle soumet à une critique explicative la célèbre phrase de Montaigne : “Que le gascon y aille si le français ne peut y aller”.